De retour à l'usine

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Et merde je commençais à stresser. Le regard de le mère d'Elisabeth était très triste et mal en point.

-Bon bin je vous dit à plus madame!
-Ouais bye.

Je repris la route. Il fallait que je retourne à l'endroit où j'avais été enlevé. Mais il me fallait l'aide de quelqu'un. Mathilde serai la meilleure décision. Elle m'avait dis son adresse et je la connaissais parce qu'on se voyait souvent. Grâce à mon enlèvement j'ai pu faire une nouvelle rencontre.

Chez Mathilde:
Ding, dong

-Oui?
-Salut Mathilde, tu viendrais avec moi à l'usine?
-Quoi! L'usine ou nous avions été enlever? Tes malade ou quoi?
-Ouais je sais que je suis malade mais mon amie Elisabet est surement dans se coin là.
-T'ai sur qu'elle est la?
-Non mais je préfère y aller avec toi.
-Vu que c'est pour sauver quelqu'un j'y vais avec toi
- Je savais que je pouvais conté sur toi!

Nous retournâme dans le véhicule où je démarra avec vigueur. Il fallait absolument que je retrouve ma meilleure amie et au plus vite

•*•

L'usine était construite de la même façon. Rien n'avait changé. Le regard de Mathilde laissa passer une trace d'inquiétude. Je voulu retourner de bord mais je pensa à Elisabet et à se qu'il pourait lui arriver. J'appuya sur le champignon et me stationna tous pès de la porte. Nous débarquions ensemble avec prudence. Mathilde avait pris deux couteau au cas ou des hommes nous trouverait. Matilde était derrière moi. Je tenais me couteau fermement dans mes main. Nous approchons de la prote. Il ne fallait pas faire un bruit pour ne pas se faire découvrir. Je mis ma main sur le poignée porte que je pivota doucement. Un grincement retentis. Je me colla au mur et Mathilde fit de même. Rien ne se produisit. Je me tenta une deuxième fois et j'ouvris la porte. Un escalier menais la ou nous avion été prisonnière. La peur m'envahis. Je me retourna ver Mathilde. Elle fixait un point en bas. La ou nous avion été violé.

-Tu sais, on n'est pas obligé d'y aller
-Non Daphné. Il faut sauver ton amie

Un bref sourire passa sur mon visage. Puis nous commençâmes à descendre à pas de loup l'escalier mal entretenus. J'avais peur qu'il s'effondre sous mon poids. À la fin de l'escalier nous avions fait le tour de la grande pièce lugubre qui nous avait hébergé. Une ombre toute noir se tenais debout dans un coin de la pièce.

À suivre...

L'enlèvement (TERMINER)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant