Le feu, le bois, la fumée.
Les flammes de mon amour brûlaient encore et toujours,
Aucun souffle de vent n'en venait à bout,
Au contraire le feu grandissait.
La chaleur ardente en moi rendait mon corps brûlant.
La braise rouge se ternissait peu à peu, elle se consumait.
Toit devenait débris, cendres et poussières.
L'air commençait à manquer, et la vue se troublait.
Le monde devenait noir, impossible de trouver le chemin.
Le feu, le bois, la fumée.
Asphyxiée.
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Des mots, des textes en joie et peine...
PoetryComme le dit le titre, ici vous retrouverez chers lecteurs, « des mots, des textes en joie et peine». Je ne sais pas s'ils auront une signification pour vous, si vous comprendrez ou s'ils ne seront que mots et lettres éparpillés sans véritable expl...