À l'ombre du vieux mur en pierre
Un seul rayon de de soleil touche mon épaule
Je frissonne, le vent me caresse comme un long souffle lointain
Mais mon épaule et mon cou baignés de lumière
J'apprécie la chaleur comme un baiser sur ma peau
J'hésite à partir me perdre dans l'herbe fraîche
Où mon amant de lumière me recouvrira toute entière
Où ses faisceaux ardents viendrons épouser mes lèvres, mes cheveux, mon corps
Comme parfaitement emboîtés
Mais il part soudain, sans un mot, sans un geste
Il fuit, il disparaît
Me laissant là offerte au désarroi, la frustration naissante et le regret
Mon amant rayonnant m'ayant abandonnée.
VOUS LISEZ
Des mots, des textes en joie et peine...
PoetryComme le dit le titre, ici vous retrouverez chers lecteurs, « des mots, des textes en joie et peine». Je ne sais pas s'ils auront une signification pour vous, si vous comprendrez ou s'ils ne seront que mots et lettres éparpillés sans véritable expl...