Chapitre 3

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Saluut !

Finalement, changement de programme, la vie a décidé de me laisser poster aujourd'hui ! Ce chapitre n'est pas vraiment super long, mais j'espère qu'il vous plaira quand même ... ou pas x)

Sinon merci beaucouuup pour les votes et les vues et vos commentaires qui me touchent juste trop trop trop trop trop sur l'autre mini fiction et un peu sur celle là *-* Concrètement, je dois vous le dire, je suis au bout de ma vie.

Bon, j'arrête de parler, et je vous laisse lire ! Bonne lecture !

Bisouuu

WW

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Quoi de plus déprimant qu'une chambre d'hôpital, quand vous êtes un jeune de 19 ans affalé dans un lit aux draps trop serrés. Thomas, dans l'impatience de sa jeunesse se plaignait toutes les deux secondes à son père : il faisait trop froid, puis trop chaud, les draps le grattaient, il voulait sortir de son lit, il avait faim, il avait soif, il voulait voir ses amis, il voulait voir Teresa, il voulait boxer, il voulait courir, l'enfant momentanément pénible, quoi. Oh combien de fois le père Edison eu envie de claquer son fils. Mais avec toute la patiente dont il devait faire preuve face à son enfant, il se contenta d'un doux sourire, et d'une phrase typique, mais qui marchait pour tout :

- Bientôt, mon chéri, bientôt.

Marc Edison regrettait à cet instant d'avoir banni Newt. Lui, aurait sût supporter les supplications clairement chiantes de son fils : il lui aurait flanquer une bonne droite, et Thomas aurait été obligé de se taire. Sa main le démangeait, mais il ne pouvait pas, au risque de faire penser au personnel que Thomas était un enfant battu. Quelle ignominie.

L'homme faillit bénir le ciel quand il entendit une infirmière entrer dans leur chambre. Il profita de cette intrusion pour s'éclipser, et partit à la recherche de nourriture : son ventre lui faisait faux bonds depuis plus de deux heures.

Thomas, lui, discutait avec l'infirmière, tentant tant bien que mal de lui expliquer ce qu'il s'était passé.

- Euh ... Ma copine m'a larguée, alors mes potes ont voulu me changer les idées. Ils m'ont ramené dans la salle de boxe, vous savez, celle en face du cinéma. C'est d'ailleurs là qu'a été mon premier rendez vous avec Teresa, je l'avais emmenée voir un film romantique, je m'en rappelle tellement ... il était ennuyant à mourir ! Mais, elle, avait aimé, alors j'étais content, quand même. Enfin, je m'égare, excusez moi.

- Je vous en prie, répondit l'infirmière en souriant. Continuez.

- Donc les gars m'ont ramené à la salle, et on s'est fait une soirée tous les six. Au début, y avait seulement de la bière, mais je crois qu'ils ont changé, mais je sais pas trop avec quoi. À partir de là, je ne me rappelle plus.

L'infirmière acquiesça, et nota quelque chose sur le calepin qu'elle tenait entre ses mains.

- Vous allez me laisser sortir ? demanda Thomas.

- Dès ce matin, normalement. Tes analyses sanguines sont bonnes, nous n'avons rien de grave à signaler. Ton père devra juste signer quelques papiers, et tu pourras y aller.

***

Newt avait quitté l'hôpital en houspillant. Comment Marc avait-il osé le virer, alors que c'était lui qui était resté au près de Thomas la moitié de la nuit ? Contrarié, le blondinet était retourné dans sa voiture. Trop fatigué pour pouvoir prendre la route, il s'était endormi, la tête sur le volant.

Un coup de poing, un coup de pied, la victoire ~ Newtmas [ EN PAUSE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant