Et si il ne fallait pas se fier aux apparences ? ( fan-fiction Percy Jackson )

CHAPITRE 11 : LA RENCONTRE AVEC SON "HÔTE".

PDV Tempus :

Je quittai la salle des trônes, génée. Je n'étais pas très fière de mettre montrée comme ça face aux dieux. J'avais fait l'effet d'une pleurnicharde et j'avais horreur de ça.

Je descendis de l'Olympe. Mes pouvoirs étant affablis, je ne pouvais me téléporter directement depuis le domaine des dieux. De plus, je ne savais pas où je devais aller...

Arrivée à l'acceuil, je me dirigeai vers les toilettes afin que l'on ne me dérange pas mais aussi pour qu'on ne voit pas. Oui, cela ferait bizzare pour de simple mortel que je disparraisse comme ça, sans laisser de trace.

J'ouvrai la porte menant aux latrines. Les toilettes étaient à l'image de l'acceuil. Il ne s'était évidemment pas embêté à changer le papier peint ou le carrelage.

Au fond de la salle, il y avait 3 portes menant chacune à un cabinet. Une porte plus grande que les autres arborait le logo des personnes handicapés. Ces dites portes étaient peintes en bleu cobalt, sans aucun motif.

En face des cabinets, 3 lavabos peu profond. Des robinets surplombaient chacun d'eux. Derrière, un grand miroir était éclairé par des LED.
J'entrai dans le cabinet destiné aux personnes handicapées pour avoir plus de place ( c'est que cela prend de la place d'avoir des ailes aussi grande ! ) Je fermai la porte, pas à clé cependant et attendit de savoir si quelqu'un m'avait suivit.

Personne.

J'étendis mes ailes et commençai à prononcer l'incantation. Je fermai les yeux, me concentrant sur Percy et les autres, à l'endroit où ils pourraient se trouver, de sorte que je puisse me téléporter à ce dit endroit. Je ne savais pas si j'étais capable de faire ça mais il fallait que j'essaye.

Pour les dieux. Pour Percy et les autres.

PDV Percy :

Je fus réveillé par le clapotis de l'eau tombant sur le sol pierreux. J'entendis des voix chuchoter à côté de moi. Deux voix féminines, il semblerait.
J'ouvris les yeux et les clignaient plusieurs fois pour qu'ils s'habituent à l'obscurité ambiant.

Je m'étirai. Un cliquetis de chaîne me fit prendre conscience du métal froid enlassant mes poingnets et mes chevilles. J'étais enchaîné.

Je regardai autour de moi pour savoir où je me trouvai. J'étais dans ce qui semblait être une caverne. Des torches éclairaient faiblement l'endroit, ce qui donnait à la grotte un air sinistre.

A côté de moi se trouvaient Annabeth et Clarisse. Elles étaient entravées par les mêmes chaînes que moi. Je crus voir un autre ensemble de chaîne derrière Clarisse. Je remarquai que nous nous trouvions au fond de la caverne et que les chaînes étaient comme incrustées dans la roche.

Voyant que j'étais réveillé, les filles se tournèrent vers moi.

Elles étaient entièrement trempées. Cependant, cela faisait longtemps qu'elles étaient allées dans l'eau car leurs vêtements commençaient déjà à sécher.

Je vis avec étonnement que j'étais moi aussi mouillé. C'était étonnant car étant un fils de Poseïdon, il est normalement impossible pour moi d'être mouillé.

- Salut, bien dormi Cervelle d'Algue ? me demanda Clarisse d'un ton sarcastique.

- Ça peut aller, il manque peut-être un ou deux oreillers, répondis-je sur le même ton.

- Ce n'est pas le moment de vous disputez ! Je ne sais pas si vous avez remarqué mais on est déjà assez dans la merde pour que vous en rajoutiez, nous fit remarquer Annabeth.