Fares
-Younes occupe toi de ma réunion s'il te plaît.-ai-je lancé avant de quitter mon bureau. En sortant j'ai croisé Melissa, ma secrétaire.
-Melissa informe Younes de ma réunion. Il y ira à ma place. Je dois partir.
-oui, bien-sûr monsieur Al-Saïd.
En chemin j'ai enfilé ma veste de costume. J'ai sorti mon téléphone et j'ai appelé mon chauffeur.
-Jessime viens me chercher à la compagnie maintenant.
Au bout de dix minutes il est arrivé. J'ai ouvert le portier et je me suis assis au sièges derrières.
-à l'hôpital vite!
Il a démarré vers la destination.
J'étais habitué à ce genre d'appel, et chaque fois je laissais tout tomber et j'allais à l'hôpital. Younes me sauvait toujours. Ma fille n'avait que cinq ans et elle avait le leucémie. Oui, la lumière de ma vie était entrain de s'éteindre, et je ne pouvais rien faire pour la sauver. Je l'ai ramené dans les autres hôpitaux des autres pays, mais c'était échec. À part Dieu personne ne pouvait plus l'aider. Et on a dû d'admettre à ce destin qu'on pourra pas fuir. Le seul chose qui me restait s'était de remplir sa vie de bonheur jusqu'à ce quand son heure arrivera. Mais je n'étais pas sûr de pouvoir affronter quand elle partira.-Jessime ATTENTION!-ai-je crié en voyant une personne juste devant nous.
Il a direct freiné.
-t'a bu ou quoi Jessime?
-désolé patron.
On était à l'entrée de l'hôpital, je suis sorti de la voiture et je me suis précipité vers la personne que mon chauffeur allait écraser. C'était une jeune fille, elle était à terre.
-désolé-ai-je dit en lui tendant la main pour la relever. Après avoir hésité elle a prit ma main et s'est relevée.
-merci.
-on vous a pas touché?
-non, je suis tombé à cause de choc.
-okey, encore une fois désolé, bonne journée.
Sans attendre sa réponse j'ai couru vers l'entrée. J'ai cherché la chambre où devait se trouvait ma fille. Je suis y entré. Elle dormait. J'ai soufflé de soulagement. Je me suis assis sur la chaise qui était à côté du lit. J'ai déboutonné ma veste de costume. Je lui caressais les cheveux. Elle était tellement belle. Elle avait une peau blanche. Elle avait des longs cheveux châtains, la seule chose que sa mère lui a donné.
-monsieur Al-Saïd?
Je me suis retourné et vu le médecin de ma fille.
-bonjour Fares.
-bonjour, dites moi son état?
-je dois vous dire que son état s'est aggravé. Elle a les symptômes que sa maladie devienne de plus en plus pire. Maintenant elle va souvent tomber dans les pommes. Elle sera souvent malade, fatiguée. Ce sera normal.
VOUS LISEZ
Amira-mon mariage arrangé
Romance-Fares laisse-moi partir! dis-je -Non, tu es ma femme dit-il en m'attrapant violemment par le poignet. -Toi même tu m'as dit que notre mariage n'est que un mensonges. -Amira tu resteras avec moi, rapel toi du contrat. Tu n'as pas de choix. Tu es à m...