Jusqu'à ce que la mort nous sépare [L.S]✔

7. PDV Louis

Je ris à gorge déployé suite à une blague de Harry. Il me fait signe de me taire en mettant un doigt devant ses lèvres, mais il était à moitié hilare alors ça ne faisait pas très crédible. Je mets mes mains sur ma bouche pour tenter de diminuer le volume.

Il est assez tard, nous devions éviter de réveiller tous le voisinage.

Je sors difficilement les clés de notre maison, car Harry dépose des baisers sur mon cou. Une fois la porte déverrouillée, je tire mon mari à ma suite avant de la refermer.

Je me tourne vers Harry avec des yeux brillant d'amusement. Il me regardait avec amour et tendresse. Je souris face à son expression, j'étais tellement heureux ce soir. J'avais passé une merveille soirée, j'avais l'impression d'être dans un rêve.

Je m'approche de mon bouclé, je pose délicatement mes mains sur ses joues ; il ferme les yeux de contentement, il se met même à frotter sa joue contre ma paume. Je ris doucement, il ressemble à un chat comme ça. Je pose doucement mes lèvres sur les siennes, c'est étrange, j'ai l'impression que c'est la première fois que je l'embrasse.

C'est comme si j'étais traversé de milliers de petits choques électrique. Harry passe sa main sur ma nuque, me collant un peu plus à son torse, et me caressa doucement du bout des doigts. Je serre légèrement sa chemise au niveau de son cœur, j'en veux plus. Je passe ma langue sur sa lèvre inférieure pour avoir l'accès à sa bouche. Il m'accorde l'entrée dans un frisson d'anticipation. Nos langues s'entremêlent, ses mains viennent se placer dans le creux de mon dos, les miennes s'accrochent à son cou.

J'ai des papillons en folies dans le ventre. J'ai l'impression de revivre ma première fois. Les grandes mains de Harry passent sous mon costume pour caresser la peau de mon dos. Je détache mes lèvres des siennes, pour gémir dans son cou. J'ai le souffle court, et surement les pupilles dilatées de désire.

Je dépose des baisers brulants sur le cou de mon amour, je sens sa respiration faire des accros. Il prend mon visage dans ses mains pour que nos regards se verrouillent l'un dans l'autre. Je peux y voir de l'envie et de la possession, je frissonne d'anticipation.

« Louis, je t'aime. Me chuchote Harry du bout des lèvres.

-Je t'aime aussi Harry. Lui dis-je sur le même ton, en passant une main dans ses boucles.

-J'ai envie de te faire l'amour mon ange.

-Je suis tout à toi, pour aujourd'hui et jusqu'à la fin »

Il me fixe pendant quelques secondes, avant de passer ses avant-bras sous mes fesses pour me porter. Je pousse un petit cri de surprise, et je me mets rire lorsqu'il commence à marcher.

Durant le trajet, j'essaye de le déstabiliser en lui mordillant et en lui suçotant le lobe d'oreille. Il gémit, grogne de frustration, ça m'amuse de le voir dans cet état. A un moment, il me plaque contre un mur pour m'embrasser fougueusement, j'ai l'impression de me noyer tellement son baiser me fait perdre pied. Je suis totalement perdu, j'ai chaud et mon cœur bat la chamade. Harry me lance un regard canaille avant de reprendre son périple.

Il ouvre la porte de notre chambre d'un coup de pied, son empressement me fait doucement ricaner. Je me reçois une légère tape sur la fesse, je couine de surprise, mais la légère brulure laisser par la main d'Harry m'échauffe plus qu'autre chose. Je me mors la lèvre pour retenir un gémissement.

Harry me pose sur le lit, avec un air gourment.

« Arrête de me regarder comme si j'étais un gâteau. Je marmonne avec une voix empreinte de désir.

-Tu es ma sucrerie préféré Lou. Me souffle Harry au creux de l'oreille. »

Cette fois, je ne peux retenir mon gémissement. Son genou est entre mes jambes, près de mon sexe dur de désir, sa langue titille l'arrière de mon oreille, j'ai toujours été sensible à cette endroit. Je m'accroche au dos de sa chemise, j'ai dû le griffer dans mon action, mais il ne réagit pas.