Chapitre 5 : Rencontres

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-------Anna -------

Je courais, criai, j'entendais au loin ses pas comme un écho qui résonnait en moi sans cesse tel un cauchemar. J'entendais sa rage d'animal sauvage et ses cris monstrueux . Ses cris... Ils me donnaient la chair de poule je ne voulais pas qu'il m'attrape sinon tous mes efforts fournis pour échapper à ses griffes auront servit à rien. Je voyais les gens défilaient à une vitesse effrayante. Les fêtards se retournaient fassent au boucan que nous faisions. Lui qui me menaçait, moi qui pleurait comme une enfant malgré ma puissance d'adrénaline qui m'envahissait. Je lui balançais de dos des branches en espérant qu'il se l'ai prendraient dans la figure ce qui était peine perdu car ses hurlements de tigre me parvenait comme s'il était à quelques millimètres de mon corps.

"Reviens ici pétasse" m'aboya-t-il de rage

Je devin maintenant en mode décomposition, je pensais que je le devancerai de plusieurs mètres, ou bien qu'il se serait arrêté pour une autre fille. Je savais qu'il allait me rattraper c'est évident comme le nez au milieu de la figure. Même si je n'avais encore que quelques secondes or je courrai moins bien à cause de mes claquettes de clou qui à chaque pas piquaient mon pied et me donnait un affreux mal de crâne. En effet je trébuchais à chaque pas , je devais donc faire attention de mes moindre gestes alors je tentai ma dernière chance:

"AU SECOURT, A L'AIDE !" Criai-je

Je me réveillai tout à coup, en sueur je venais de faire un horrible cauchemar. Je soufflai pour calmer ma panique. Je me décidai après quelques minutes à observer mon monotone plafond blanc, de me lever. Mon état s'était quelques peu radouci, mais je ne me sentais toujours pas en super forme. J'avais encore mal à la tête et atteinte d'une fatigue immense, elle devait peut-être trop m'aimer. Je dis d'un râlement:

"Fatigue sort de se corps"

Je me dirigeai lentement vers la salle de bain, je fis l'impasse sur le miroir je n'avais pas envie de mettre mon moral encore plus à bat sinon se serait la mort assurée. Je me déshabillai assez rapidement, je voulais sentir l'eau sur ma peau et ne plus penser à rien. Rien que l'apaisement, la buée, la chaleur se coller à ma peau. Après quelques minutes à me détendre je pris dans mon armoire les vêtements qui me passaient sous le nez et les enfilèrent. Je descendis les marches me dirigeai vers la cuisine. Comme d'habitude, ma routine du matin. Je vis l'heure 11h, j'avais autant dormis que cela? Oh.. J'ai dormis comme un bébé alors, malgré ses épouvantables cauchemars. Je pris un verre de jus de fruit et décidai de chercher une trace de vie dans cette maison. Mais je n'y trouvai personne. Bizarre.. Ma mère avait surement du allez faire les courses mais mon frère je ne comprenais pas pourquoi il n'était pas là. Cela faisait deux jours qu'il n'était pas rentré ! Et je n'avais pas eu l'occasion de lui demander des explications, malgré mon harcèlement contre son téléphone.  Alors j'espérai qu'il serait à la maison aujourd'hui.

Il était midi et je décidai de mettre la table et regardais la télé sans aucune attention. Soudain j'entendis un grincement de porte. Je me retournai alors mais ma tête, qui avait peut-être dut trouver ce moment trop brusque, me fit  une douleurs épouvantable. Je tendis une main vers ma gorge pour essayer de réduire cette douleur d'écrasement et l'autre en la mettant devant ma bouche pour ne pas laisser entendre mes gémissements de douleurs. Mais je gardais toujours un œil sur cette porte. La télé me rassura étrangement cela me laissait l'impression de n'être pas totalement seule. Mais alors que j'allais pour me lever vers l'entrée de notre maison pour voir si quelqu'un avait réellement ouvert cette porte ma mère entra alors en criant:

Obsession [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant