Chapitre 16

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PDV Alexander

Wouha... Cette fille est un concentré d'énergie à l'état pur ... Un petit rayon de soleil. Je souris à cette idée.
Je suis songeur... J'étais bien avec elle, comme si je la connaissait depuis toujours ... Je scrutait ses grands yeux verts quand elle me disait de me taire. Ils pétillaient de malice incontrôlable. D'accord, je l'admet j'aime bien cette fille. Mais pas en tant que ma copine ou d'un éventuel plan cul hein ! Non. Je suis juste bien avec elle. Je sais je sais !! c'est ridicule, on se connaît depuis à peine quelques jours , et moi je parle d'elle comme si j'avais toujours vécu avec elle... Perdu dans mes pensées, j'oublie de rentrer après m'être stationner devant chez moi. Je réfléchi à beaucoup de choses quand des petits coup sec, tapé contre la vitre teinté de ma voiture, se font ressentir. Ils me sorte de mes pensée. Je lève le nez et vois mon père ...
Aaarrrggg L'ENFER. Je souffle bruyamment en descendant de ma voiture. Mon père ne se donne même pas le peine de me saluer, et une fois qu'il a vérifier que je n'étais pas garer sur sa """"magnifique pelouse"""" il se casse. Quel connard celui la ! Avec ma mère ils ont décidé de venir s'installer pour je ne sais quelle le raison ici, il y a à peu près 5semaines. Le gang m'a rejoint au bout de la 3ème semaines, et ...
...
On échappe malheureusement pas à sa famille. Qu'est ce qu'elle a encore à gueuler comme un putois elle ? Pfff ça commence sérieusement à me gonfler du jouer au jeu de la "Famille Parfaite" ... A ce que je vais compris, au cris insupportable de ma mère, on va à un barbecue chez des ""Amis"" mdr si seulement mes deux abrutis de parents pouvaient avoir la même notion du mot amis que moi ...
Je rentre à l'intérieur. Ma mère gueule (encore) :
- Alex ! Amène toi ! Tout. De. Suite.
Tient, me dit elle en balançant des habits. Je regarde les fringues, puis ma mère.
Elle me lance un regard froid. Je lui rit au nez.
- T'étais où ?!? Son ton est glaciale
- Chez Jared, dis je, en riant encore.
- Qu'est ce qui te fais rire comme ça abrutit ?
- T'as vraiment cru .. Q-que j'allais p-porter ça ?!? Ahahahahahhahaha
Je désigne une horrible veste grise anthracite de smoking, peut être très cher, peut être très chic, mais aussi atrocement laide.
-Je vais mettre un jean bleu foncé non délavé, une chemise blanche à manche longue, et des chaussures de smoking noir. A ça je peux ajouter une ceinture noir, et ... C'est tout.

-Ça sera toujours mieux que le reste.
- C'est censé insinuer quoi ?? Dis je en me tournant vers mon père.
- Que tu t'habilles comme un clochard.
Un voyou, un délinquant.

Un sourire sadique se dessine sur mon visage.
- Tu étais où ? Me questionne encore ce conard.
- J'ai déjà répondu, mais je vais te le redire pour que tu me lâche. J'étais chez Jared. Ça pose problème !?

- Oui figure toi. Tu passe ton temps à traîner avec une bande de voyous et tu ne fais plus rien de ta vie. Tu finira mal espèce de sale petit con.

Je lui explose de rire au visage.
- Ahahahahahahaha, de un j-je m-me t-tape qu'il y ai-i un problème. De deux Ne t'inquiète pas. Je ne terminerais pas mal. On en a discuté des milliards de fois; je refuse catégoriquement de finir comme toi donc ... Je ris encore. Relax ça se passera bien ajoutais je avec un sourire.

Mon père vois rouge, il serre et resserre ses pong. Ma mère se met à hurler avec une voix stridente.
- Je t'interdis de parler comme ça à ton père !!
Je me tourne vers elle.
- Qu'est ce qui t'es arrivée Maman ? Avant t'étais déjà complètement barge mais c'était supportable. Mais depuis qu'on est arrivé ici t'as péter les plombs ...
Oula ! Le drame !
Ta gueule foutue conscience.
Mon père s'approche de moi menaçant.
Il m'attrape le bras et serre. Fort.
Ma mâchoire se serre, mon regard se fait noir.
-Lâche moi. Tout de suite. Sauf si tu veux arriver avec un coquard. Ce que je te déconseille fortement.
Je me dégage violemment.

JOKER. (Terminé) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant