4. Le cours de sport

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Je me réveil, comme tout les matins à sept heures. Aujourd'hui on est jeudi ce qui veux dire que demain je pars, demain ma nouvelle vie commence, et demain je sais qui sont mes vrais parents, qui m'ont donnés la vie. Je n'ai toujours aucune idée de à quoi ils peuvent ressembler, je suppose que je leur ressemble. Je suis exitée et j'ai peur.

Je me lève après cinq minutes passées sur mon iPhone à regarder mes notifications que j'ai eu dans la nuit.
Je vois dans mon fil d'actualité "Ils ont en réalité cinq enfants..."
Mon coeur commence à palpiter je ne sais pour quelle raison, je clique sur le lien pour voir la suite mais malheureusement le lien rame et je n'ai pas le temps d'attendre que ça charge, si je ne me lève pas maintenant je vais être en retard en cours.

Je mange jusqu'à sept heures vingt et me prépare jusqu'à sept heures quarante cinq. C'est bon je suis prête je peux enfin y aller.
Mon lycée est aussi dix minutes à pied de chez moi puisqu'il est au centre ville.
J'arrive aux alentours de sept heures cinquante cinq toujours cinq minutes avant la sonnerie de huit heures pile.

La cloche sonne et me voila partis pour deux heures de littérature. Le temps passe étonnement vite je trouve car je me retrouve vite en cours de sport. On fait du foot, la plupart des filles ici présente déteste le foot car c'est un sport de mec mais pas moi, j'adore le foot et je ne me débrouille pas si mal.
Pour ce match on m'a nommée capitaine comme toujours. Mon équipe est composée de huit membres, que la partit commence.

Durant le match la plus nul des joueuses de tout les temps se tord la cheville, meme si ça fait un membre de moins dans mon équipe ça ne change pas grand chose vu qu'elle ne servait à rien. Mon prof fait intégrer un joueur d'une des deux autres équipes qui ne sont pas entrain de jouer dans mon équipe. Ça tombe évidemment sur Carl. C'est le gars le plus prétentieux que je connaisse et c'est bien pour ça que je le déteste. Lui il me déteste parce que je réussi toujours tout mieux que lui et pour quelqu'un de prétentieux, son ego en prend un coup, d'autant plus que je suis une fille parce que Carl est resté bloqué sur l'idée que les femmes ne doivent s'occuper que de la maison et des enfants. Quel idiot, donc dès que je le bat dans n'importe quoi, c'est comme une victoire personnelle.
Le match continu, j'ai le ballon. Je cours à toute vitesse pour essayer d'atteindre le but, je ne suis qu'à une quinzaine de mettre. Je tombe. Cet idiot de Carl vient de me pousser pour récupérer le ballon alors que nous sommes dans la meme équipe et que je maîtrisais parfaitement le jeu mais non, c'était plus fort que lui, il ne supportais pas l'idée que je marque et non lui.
Finalement il ne marque meme pas, pf quel raté. Je lui lance un :
- J'espère que t'es content espèce d'abrutit.
- Tu l'aurais pas mise non plus.
- Prétentieux.
Il rigole. Il est content de ne pas m'avoir laisser marquer mais je ne compte pas me laisser faire.
Cinq minutes plus tard je suis à nouveau en possession du ballon je ne suis plus qu'à une dizaine de mètres à peine. J'aperçois Carl me foncer dessus à toute vitesse mais je décide que cette fois je l'aurais. J'accélère un peu plus et il ne parvient pas à me rattraper. Laïa lui fait un croche pied et le pauvre petit Carl se retrouve à meme le sol. Je me retiens de rire et à cinq mètres du but je frappe dans le ballon. Le goal saute du mauvais côté et je marque le premier but du match et le dernier car même pas une minutes plus tard c'est la fin du match. Satisfaite de moi je vais m'installer dans les gradins aux côtés de Laïa pour regarder les deux prochains matchs.
Un quart d'heure avant que la cloche sonne, le prof siffle dans son sifflet et nous fait signe d'aller aux vestiaires il n'y a plus le temps de jouer la finale. Je suis un peu déçu parce que je sais que je ne l'a jouerais jamais.

Je me rhabille, met du déodorant et retouche légèrement mon maquillage et fini par donner un coup de brosse à mes cheveux. Je suis prête. Nous sortons avec Laïa et une autre amie Sydney et nous nous retrouvons directement à la cafétéria. Aujourd'hui c'est poulet frites, génial.
Nous mangeons en une demi heure avant de sortir.

C'était inimaginable. "Je suis une Beckham"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant