•J'aurais voulue une fin heureuse•

Partie 4

J'étais chez Mariam histoire de pas galèrer solo mdr quand je reçois un sms d'un numéro que je connais pas

+3306...: wsh la "fausse princesse"
Moi: t'es qui?
+3306...: ton futur inshAllah
Moi: MDDR
+3306...: nique ta race c'est ton boss
Moi: Ziad?? Comme t'as eu mon num ?
Ziad: haha jte dis pas

Sa fou la haine mais bon je peux rien faire j'ai jamais su d'ailleurs comment il l'a eu mais pas grave.
Depuis je passais vraiment ma vie à lui parler H24, quelque chose que j'aurais jamais cru, du matin au soir, il me disait beaucoup de choses, sa me touchais d'ailleurs il commençait a se confier sa me fessait plaisir, il essayer de me connaître mais je suis pas très ouverte, mais petit à petit j'aimais parler avec lui c'était une sensation bizarre mais j'aimais bien.
Un mardi soir me propose qu'on aille en cours ensemble le lendemain matin vu que je suis solo et lui aussi, bon j'accepte, c'était la première fois que j'allais rester seule avec lui comme si c'était un rdv de fou mddr.
Quand je descends il était déjà en bas à m'attendre mddr sa posture la il était contre le mur avec une jambe dessus, la tête baissé avec sa capuche, dite vous qu'avec son apparence il me fait la bise et on commence à marcher, mdrr depuis j'ai trouvée sa chelou quand on se fessait la bise mais bon je me suis vite adaptée. Donc on marché vers l'arrêt de tram quand d'un coup il commence à rigoler tout fort je le regarde mal dès 7h du matin il est excité lui arhh il rend ouf

Lui: MDDDRRRR TINA WSH C'EST QUOI TES CHAUSSETTES LA?

Ah le batard, mddr en fait j'ai toujours eu un flow de chaussettes de couleur rose, violet, bleu, non vraiment c'est critique mais je pensais pas que sa se voyait du coup j'ai commencer a rigoler avec lui, depuis chaque matin quand il venait me chercher il regarder mes chaussures pour voir les différents style de chaussettes que j'ai, c'est un gamin comme même mddr. Dans le tram on était face à face et on parlait pas, je sais pas mais j'étais grave timide j'arrivais pas le regarder du coup je baissais la tête et je jouais avec mes cheveux quand je le crame entrain de me fixer avec un sourire
Moi: quesqu'il y a?
Lui: non non rien ;)
Euuh d'accord.. Je rentres dans mon lycée et lui dans le sien quand il m'envoye un message

Ziad: t'es trop mignonne quand tu joue avec tes cheveux

J'étais choquée je savais pas quoi dire du coup je réponds pas.
Chaque mercredi je le voyais en partant en cours et on rentrant on était a chaque fois ensemble pendant le trajet, il me mettait direct à l'aise on rigolait beaucoup, une fois on rentre dans le bus je m'assois et lui il se met derrière moi, je lui boudais parce que j'ai du l'attendre 30 min dans le froid et j'ai pas compris pourquoi il se met derrière moi du coup je le regarde mal et je sens qu'il tirer mes cheveux et commence à jouer avec, je disais rien je le laisse faire sa fessait du bien, quand il décide de s'assoir à côté de moi mais je détourne mon regard vers la fenêtre. Ce mongol était pas du même avis mdrr il me tape fort sur ma cuisse et j'ai commençais a lui faire des guillis, vraiment on était 2 gamins à se taper au fond du bus. Il penche sa tête vers mon cou et me dis dans l'oreille en chuchotant «arrête de bouder» sa ma frissonner sur tout mon corps, on aurait dis qu'il me contrôler c'était vraiment bizarre. Et c'est de là que tout à commencer.

Je passais mes journées à le parler du matin au soir, des fois même il m'empêchais de dormir et on fessait des nuits blanches, pendant qu'on avait pas cours on essayait de se voir bien-sûr en cachettes pour que personne nous crame alors on partait tout le temps dans un parking a côté de nos lycées et je passais mes heures la bas avec lui. La toute première fois qu'on sait vu que tout les deux, c'était un sketch je vous jure mddr, on arrive dans le parking sur un petit coin j'étais à côté de l'entrée et lui a cote de moi on parler tout sa quand d'un coup je vois Denis passer je cours vite et me cache derrière Ziad, lui il comprend pas j'ai essayer de mitho mais sa marche pas comme sa il est aller le chercher se fou. En revenant ils chuchotaient mais j'entendais tout