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J'avais du mal à m'amuser, pas aujourd'hui. J'étais assis sur un banc avec mon skate à côté de moi, je pensais. Le plus souvent , j'essayais d'imaginer ma vie autrement.

Je restais là, les larmes gelée laissant des marques sur mes joues. Il faisait sombre, la pluie tombait. C'était bien la première fois cette été, ce n'était pas ce soir que les gens iraient se baigner. Je me disait que je pouvais rester encore un peu, ma sœur ne remarquerait pas mon absence. Je voulais tellement paraître "je m'en fou", mais en vérité je ne m'en foutais pas du tout.

J'avais besoins de vivre, d'avoir quelqu'un à mes côté. Une personne pour me prendre dans ses bras lorsque j'allais mal. Ma meilleure avait l'air de s'en contre foutre, elle ne le remarquait même pas. Je me sentais le plus vide, je n'avais plus envie de rien. Lorsque je voyais les autres rigolaient, les personnes à qui je tenais me laisser tranquille j'avais envie de m'écrouler et de fondre en larme. Mais je me retenais, j'essayais d'être quelqu'un de forte. Ne pas lâcher était ma devise, mais je savais qu'un jour j'allais tout laisser tomber et je ne serais pas sûr des dégâts que je ferais.

J'avais peur que l'on me repousse, que l'on me plante un couteau dans le dos. C'était pour ça que j'étais si réservée, je ne voulais pas souffrir. J'entendis un orage, je sursautais. Je me levais, il était temps de rentrer.

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Je rentrais chez moi, je m'étais bien trompé. Les gens sautaient bien dans la piscine, ils me désespéraient. La musique me casser les tympan, des ados dansaient autour de moi. Certain s'embrassaient et étaient même prêt à conclure, je les regardais avec dégout. C'est la que je vis ma sœur, elle dansait avec ses amies. Elles allaient faire des conneries, mais elle ne pourra pas compter sur moi pour ranger le lendemain. Je montais à l'étage, il n'y avait personne. Je refermais la porte de ma chambre, au moins ils avaient respecté mon intimité. J'allais sur le balcons pour fumé un peu. C'est là que je découvris Dallas. Il ne voulait pas me lâcher ce mec, il se retourna vers moi.

Moi: Va rejoindre tes potes.

Lui: Non je suis bien ici.

Je le rejoignais, il admirait la vue.

Lui: Qu'est ce que tu faisais? Ne me dis pas que tu le vois encore.

Moi: Ca ne te regarde pas.

Lui: Mais c'est un salaud ce mec tu ne peux pas lui faire confiance.

Je soupirais, il avait raison. Mais je ne pouvais pas le détestais malgré tout le mal qu'il me faisait subir, je m'étais accrocher à lui.

Moi: C'est mon choix, tu n'as pas à t'en mêlé tu n'es pas mon père.

Lui: Tu es comme toutes les filles, tu as besoins de quelqu'un de bien dans ta vie.

Sous le peu de lumière qu'il y avait, je le trouvais magnifique. Il se rapprocha de moi, il posa ses lèvres douce sur les miennes. Il enleva ses mains de la barre, il les mit autour de ma taille. Moi je m'étais mes mains dans ses cheveux, et je m'amusais à les décoiffés. J'avais des papillons dans le ventre, je savais qu'il pourrait prendre soin de moi. Je me sentais voler, il souriait. Je ne voulais plus me détacher de lui, je sentais ses muscles se contracter. C'était parfait, mais quelque chose ruina ce rêve. Je me souvint de nos rapport et qu'il sortait avec Bella, je ne pouvais pas faire ça à ma propre sœur. Je le repoussais, il manqua de tomber du balcon. J'étouffa un cri, je fus soulagé en voyant qu'il était toujours en vie. Mais j'étais folle de rage, comment avait-il put faire ça?

Moi: Sors de là, dégage, ne reviens plus jamais me voir.

Il sorti, j'étais énervée contre lui mais aussi contre moi. Je ne voulais pas tenir à lui, l'amour était le pire des sentiment que l'on puisse avoir.


Salut! Merci pour les personnes qui lisent ma fiction et qui votent dites ce que vous en penser en commentaire.

Une Vie Presque Parfaite (Cameron Dallas)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant