Destination

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Un des hommes sortit cinq cartes et m'en donna une qui devait sûrement me servir de papier. Je le regarda effet surprise, sur cette carte était indiqué « Amorsha Telenskera », c'était de faux-papiers peut-être étais-je recherchée dans toute la Russie. Nous passion devant la sécurité qui vérifia nos cartes. Curieusement je n'eue pas la moindre envie de les interpeller et de leur annoncer que j'étais Aleksandra la petite fille potentiellement recherchée. Nous avancions lentement dans l'aéroport à la recherche du hall d'embarcation. Le beau jeune homme qui m'avait aidé à sortir du coffre quelques instants auparavant marchait nerveusement à mes côtés. J'en profita pour lui adresser la parole.
- Qui es-tu ?
- je m'appelle Aakash.
- tu es russe ?
- non, Aleksandra tais-toi et avance nous sommes en retard.
Je fus stupéfaite qu'il connaisse mon prénom. J'exécuta l'ordre d'avancer. Nous arrivions enfin au hall où deux hommes vêtus d'un très beau costard vert nous attentaient. Ils relayaient tête de flan et un autre homme. À mon plus grand plaisir. J'étais malade à cause de la neige qui avait fondue dans les souliers, et timidement j'essayais tant bien que mal d'essuyer mon nez. Un des gardes le tendit un mouchoir, auquel je me précipita d'attraper et de l'utiliser. Ils discutèrent entre eux pendant quelques minutes et vint le tour de monter dans l'avion. Sur lequel était inscrit des notations que je n'avais jamais lu, ce n'était en tout cas pas du Russe. Un des gardes m'obligea à m'assoir entre l'un d'eux et Aakash. Un écran était installé devant chaque siège ce qui devait nous permettre de patienter durant les trois heures de vols. J'attacha ma ceinture, une belle femme vêtue d'une tunique rouge pétillant et d'une coiffe écaillé passa à côté de moi pour se plaça au milieu de l'allée. C'était une hôtesse de l'air. Elle nous expliqua les choses à faire en cas de problèmes. Je n'avais prit que deux ou trois fois l'avion ce qui était déjà extraordinaire à l'époque. La dame finissait son monologue, quand elle ajouta une phrase qui risquait de tout changer.

Lisa

Aleksandra Où les histoires vivent. Découvrez maintenant