Chapitre 5: ma famille?

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-T'es enceinte? dit Z.

Je hoche la tête.

-Et tu ne veux pas le lui dire si je ne me trompe pas? demande Z.

-Exacte, dis-je.

Z se met donc à réfléchir.

-Es-ce que tu veux bien être ma testeuse sur un certain projet confidentiel? Tu es dans les conditions idéale et tu sera très bien rémunérer... Ne dis pas non tout de suite, la réponse peut attendre. Bien entendu c'est sans danger pour ton nourrisson.

Deux mois plus tard, des parents sans plus aucun sous et une fille enceinte qui cumule trois bouleau à la fois...

-Z, j'accepte ta proposition de testeuse. dis-je.

-Bien, à partir de maintenant je paye tes études. répondu Z.

Je me réveille, j'ai mal au crane. On dirais que je me suis prise une grosse cuite. Je ne suis plus sur mon canapé. J'entends soudain une gifle, un gémissement de douleur puis un rire. J'ai un bandeau sur les yeux, je suis attacher sur une chaise et du scotch est sur ma bouche. J'essaye de crier, je m'agite. J'entends un grincement de porte puis un grands claquement. Je me débat, je tombe avec la chaise.

On me prend par la chaise. J'entends un nouveau grincement puis un murmure.

-Tu n'aurais pas dût venir nous chercher. chuchote la voix de Qween elle a l'aire brisée.

On me détache puis, s'enfuie pour fermer la porte d'une cellule. Je libère mes yeux et ma bouche. En face de moi je vois la cellule de Cam et celle à coter, celle de Enrique. Je regarde à coter de moi, il y a celle de Qween et Alex.

-Que vous est-il arriver? demandais-je énervée.

-Il nous a retrouvé et capturé.

Des larmes coules sur mes yeux, avant hier, ça faisait neuf-cent ans que je n'avais pas pleurer. J'essaye de me téléporter mais n'y arrive pas. Puis soudain me viens une idée. Je hurle de toutes mes forces.
 Un sbire de Calvin arrive.

-Je vais t'apprendre à te taire! cri ce dernier.

Il m'attrape par les cheveux puis avec le peu de force que j'ai, je le fais tomber pour ensuite le mordre et boire de son sang. Je sais que ça ne se fait pas mais si je veux les libérer, j'ai pas le choix. Soudain je me met à m'étouffer. Crotte! Calvin a dût mettre de la fuiolia, une plante qui fait pas vraiment du bien au vampire. Elle les rends encore plus vulnérable que les humain. Je m'accroupie. Calvin arrive enfin.

-Qu'es-ce que tu m'a fait espèce de psychopathe? criais-je.

Il me prend dans ses bras pour me porter. Je me débat avec le peu de force qu'il me reste. Il nous amène aux salon. Il me pose et m'assois sur un canapé.

-Écoute moi maintenant. dit-il. Si tu le fais, je te promet de relâcher tes amis.

-Bien, dis-je fatiguée. Que veux tu ou même qu'as-tu à me raconter?

-Je t'ai effacer la mémoire Yvonne définitivement mais je te dois de te le rappeler. On s'est marié, on a eu Tara et Deven. Je t'ai hypnotiser pour que tu ai une version différente de celle réel parce que Carmen mon ex-petite amie voulais te tuer mais j'ai régler le problème. Quand on hypnotise un vampire pour qu'il oublie quelque chose c'est définitif. A la mort de Tara causer par Carmen tu étais détruite alors tu m'as demander de t'effacer la mémoire. Ma chérie, tu a milles ans et moi trois-mille ans mais malgré tout en trois-mille ans je n'ai jamais cesser d'aimer une seule chose à part Deven et Tara, c'est toi! Tu as raison, au début je ne voulais pas de Tara mais dans tout tes souvenirs, lorsque tu vois un corbeau, c'est moi. Tu n'étais pas seul quand tu as accoucher, j'étais là, quand tu as perdue espoir, j'étais là et sous forme humaine car je t'aime et je ne veux pas que tu soit seul dans la souffrance éternelle, je suis là pour y mettre fin.

-C'est pas possible, murmurais-je. Comment se fait-il qu'il n'ai l'aire que d'avoir six ans?

-Parce que les enfants vampire ne grandisse pas avant mille ans. Quand il les aura, il va pousser d'un coup et aura l'aspect d'un homme de dix-huit ans.

Je sent mes yeux se remplir à nouveau de larmes. Mes yeux se ferme, je suis faible, beaucoup trop. Je meurt.


J'ouvre les yeux. Je le vois, il pleur, je suis sur le canapé, morte. Mes amis ne sont plus enfermés. Ils pleurent. J'essaye de leur parler mais, je n'y arrive pas. Deven! Il est là.

-Papa, pourquoi je vois maman en deux fois. murmure-t-il. Elle est sur le canapé et à la fois en train de verser une larme au dessus de la table en volant.

Tout le monde le regarde avec de gros yeux. Je me met devant Calvin il a pas l'aire de me voir. Je lui fait une grimace. Et Deven rigole.

-Maman arrête, me dis Deven, papa va pas être content après, il va faire la tête!

-Je m'en fiche, il me vois pas, répondis-je à Deven, il me verra plus et puis, il faut que je parte. Je dois trouver la lumière.

-Maman, nous quitte pas, cris Deven, d'une voix brisée.

Je vais voir Deven. J'ai les larmes aux yeux, je touche sa joue.

-T'inquiète pas mon bébé, dis-je, je veillerais sur toi d'en haut.

-Attends! dit-il, je sais comment faire pour que tu ressuscite. Il nous faut ton double, le passeur, Isa et Colins.

-Qui sont Isa et Colins? Demandais-je. Et puis c'est quoi le passeur?

-Attend, doucement, il faut que je te réponde en plus de répondre à Papa et les autres.

-Attend, j'ai peur, je les vois plus et ne les entends plus! Criais-je.

-Ne t'inquiète pas c'est normal, ton âme se déconnecte de la terre, il faut qu'on se dépêche.

Je me concentre et réussi à de nouveaux les voire mais je ne les entends pas... Je ne les revois de nouveau plus. Deven disparais.

Je ne vois plus rien. La noirceur m'envahis, je suis seul. Je vois soudain apparaître la femme de joie qui m'as pris mon mari. Carmen.

-Alors toujours pas morte la trainée, me lance-t-elle.

-Va-t-en, sinon je risque de m'énerver. dis-je.

-Oh! Et tu vas me faire quoi? demande-t-elle. On a pas de pouvoir ici.

Quand ton âmes et pure tu as toujours un pouvoir.

Je lui balance une boule de feu. Ça lui brule les cheveux.

-Mais t'es malade! crie-t-elle.Je te rappel que tant que tu ne vois pas la lumière tu reste ma coloque dans le néant!

Je m'allonge.

-Me parle pas, répondis-je, et le peu de cheveux qui te reste, restera sur ta tête.

Je ferme les yeux et je sombre encore plus profondément dans le néant, je suis fatiguée de me battre.
Et puis je ne dois absolument aucune explication à Carmen. Je la hais, un point c'est tout.

Les doublesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant