Le destin de Loona

La bibliothèque oubliée

Les jours qui ont suivis, nous nous sommes arrêtés dans différent village afin de les libérer du contrôle de la nation du feu.
Notre objectif est simple, nous devons nous rendre dans la tribut de l'eau du nord afin de m'apprendre à maitrisée l'eau.
Je dois suivre le cycle de l'apprentisage pour devenir l'élue.
Je maitrise déjà l'air, mais je dois maitrisée les trois autres.
D'abord l'eau qui se place juste après l'air, ensuite la terre et pour finir le feu.
Les derniers jours, nous avons du avancer sans nous arrêter parce que d'après Sokka nous étions suivis.
Lorsque nous nous arrêtons prêt d'une quantité d'eau, moi et Katara nous nous mettons à pratiquée les techniques pour apprendre à contrôler l'eau.
Il va s'en dire que Katara n'a jamais eu de professeur pour lui enseignée à contrôler son pouvoir. Durant la période où j'étais sous la glace, la nation du feu était venu dans leur village et ils avaient amenés tout ceux qui possédaient cette maitrise.
Y compris leur mère.
Je ne peux pas imaginer la douleur qu'ils ont ressentis parce que moi je n'ai jamais connue mes parents contrairement à eux.
Quant à moi, je n'ai jamais pratiquée une autre maitrise hormis celle de l'air.
Un soir alors que Katara et moi pratiquions les techniques sur le parchemin que des hommes de la terre lui avait remis, nous avons eu des échangents avec le monde spirituels et j'ai essayée de la convaincre de me laisser aller dans un des temples sacrés des nomades de l'air, mais d'après Sokka, il y aurait de forte chance que je me fasse attraper.
Je n'ai pas voulu les écoutées surtout lorsque je me suis apperçue que je ne serais pas capable de maitriser l'eau tout seule, alors je suis partie pour le mystérieux temple.
Il faisait nuit lorsque je suis partie sur le dos de Appa et maintenant, il fait jour.
Je crois que cela m'a pris trois ou quatre heures pour atteindre le temple.
Le seul temple au monde que seul les nomades de l'airs connaissent l'emplacement.
Étant la dernière représentante du clan de l'air, je suis donc la seule personne au monde, vivante il faut quand même le préciser, à savoir où il se trouve.
J'attérit à l'entrée et je dis à Appa de rejoindre Sokka et Katara alors que je décide de fouiller le temple.
J'ignore pourquoi je voulais tellement venir, mais je crois qu'il y a quelque chose ici qui peut m'aider à maitriser l'eau.
Je range ma lance dans la pochette dans mon dos et j'entre dans le temple qui est fortement habimé.
Je serais prête à parier que ce n'est pas le temps qui la détruit de la sorte.
Peut-être la nation du feu.
Je marche en sachant déjà où aller, la salle du souvenir.
Je pousse les portes, mais je ne vois que les étagères détruites et une grande quantités de livres et de documents brûler.
Je pousse un soupir et je commence à farfouiller un peu partout.
Personne n'est venu ici depuis près de 100 ans, mais les documents sont dans un état convenable pour la plupart.
J'ouvre des livres, mais les mots sont si pâles que je ne peux rien lire.
Je les jettent par dessus mon épaules et je regarde les documents qui ne sont pas mieux.
Je pousse un gorgnement avant de jeter le dernier livre que je tenais contre un mur. Cela suffit à faire un trou dans le mur qui est assez léger et mince.
Je ne vais rien trouver ici qui va m'aider !
- Tu te trompes, mon enfant.
Je me retourne rapidement en pointant mon arme devant l'inconnu.
Un vieil homme se tient dans le cadre des portes et il est habiller avec des vêtements du royaume de la Terre.
Je baisse lentement mon arme en le regardant.
Non combattant.
- Vous êtes qui, au juste ? dis-je méfiante. Seule un nomade de l'air connais l'emplacement de cet endroit.
L'homme qui est assez vieux je dois le dire me faire un sourire.
- Ce temple est ouvert aux nomades de l'air, mais c'est le royaume de la Terre qui doit le préserver.
Je regarde la salle où je me trouve en disant que la nation du feu a tout détruit.
- Mais dis moi, ma chère, qui es-tu ?
- Le dernier maitre de l'air.
L'homme perd rapidement son sourire et il se met à bégayer.
Je roule des yeux en m'efforçant de rester calme.
- Je cherchais des documents qui pourraient m'être utile.
- Et bien ce n'est pas ici que vous allez les trouvez, ma demoiselle.
- Où sont-ils ?
- En lieu sûr, mais dis-moi, jeune fille, qui es-tu réellement ?
Je pousse un long soupir avant de lui dire que je suis l'élue.
Ce dernier, étrangement, ce met à sourire et il me fait signe de le suivre.
Nous marchons pendant quelques minutes avant d'aboutir dans une immense pièce avec des statuts, des objets tels que des armes et également des vieux parchemins exposés.
Je suis impressionnée de voir cette salle encore en état. En tout cas, elle est en bien meilleur état que les autres.
- Comment se fait-il que cette pièce soit encore là ?
- La nation du Feu ne connaissent pas cette pièce. Ils sont passés devant sans la voir.
Je marche jusqu'à une statut d'un jeune garçon.
Détail important sur ses statuts, tout ceux et celles qui sont représentés ici sont assez jeunes.
Je me demande même s'ils ont véçus longtemps.
- Comment ont-ils devinés que tu étais l'élue, jeune fille ?
- Ils m'ont fait passer des tests et je les ai tous réussit. Lorsqu'il a fallu que j'accepte mon rôle durant la cérémonie, je n'ai pas été capable de faire le mouvement et je me suis enfuis. Je me suis enfuis parce que j'ai été lâche et parce que je ne voulais pas avoir cette responsabilité sur les épaules.
- Je vois... Tu étais terrifiée par un tel fardeau.
Cela ne m'aide pas à me sentir mieux.
- Et j'espère que tu me pardonneras pour ce que je vais faire.
Je fronce les sourcils, curieuse avant de me retourner pour le regarder.
L'homme du royaume de la Terre se met à reculer et très vite des archers de la nation du Feu me pointent leur flèches suivi bientôt de soldats avec des lances.
Je me met en mode défensive, mais je réalise rapidement que je ne pourrais pas m'en tirer aussi facilement.
Je pourrais toujours faire apparaitre mes ailes et partir vers le toit, mais les archers risquent de me les déchirés avec leur flèches.
Et guérir des ailes n'est pas aussi facile qu'on pourrait le croire.
Aussi, je me contente de me mettre à genoux pour qu'ils m'amènent avec eux.