Je n'en reviens toujours pas !
Pendant mon évasion secourue, nous avons du nous battrent contre d'autres soldats de la nation du Feu, mais grâce à mon sauveur, nous avons réussis à nous en sortir.
Lorsque nous devions nous battrent, j'avais quelques difficultés à me battre surtout à cause de la douleur dans mes poignets, mais heureusement pour moi mon sauveur continuait à venir à mon aide.
En sortant dehors, nous avions du nous battrent séparément.
J'avais été envoyés sur le côté et j'avais pu mettre en pratique toute ses longues heures d'entrainements pour maitriser l'air. J'ai pu les mettrent à distance facilement puisque j'avais beaucoup plus d'espace pour utiliser l'air et lorsque j'avais une ouverture, j'avais été fortement tentée de prendre la fuite par les airs, mais un regard en arrière m'a fait doutée de mes actes.
Laisser mon sauveur à son triste sort pendant que je m'en tire moi ce n'est pas de l'honneur.
J'ai tournée les talons et, en battant des ailes, je m'étais poser aux côtés de l'inconnu et nous nous étions battu ensemble pour les repoussés.
C'était comme si nous étions en parfaite symbiose et que nous nous étions toujours battu ensemble.
Nous avons été surpassés en nombre et mon sauveur c'était servit de moi comme otage pour pouvoir sortir de leur base.
J'étais d'abord surprise et furieuse qu'il agisse ainsi, mais j'en avais conclut que nous n'avions pas le choix.
Lorsque nous avions traversés le pont, une flèche nous est rapidement tombée dessus.
D'avantage sur le masque de mon sauveur que sur moi. J'étais trop curieuse pour me préoccuper des soldats du Feu qui courraient vers nous. Je m'étais penchée et j'avais retirer le masque qui n'était brisé que vers la commisure des lèvres du côté droit. En retirant le masque, j'étais complètement abasourdite pour faire quoi que ce soit. J'étais fortement tentée de le laisser la au sol, mais il m'avait quand même sauvé la vie.
Il avait prit tout les risques pour me sortir delà et même si je savais quel était ces intentions, je ne pouvais pas le laisser étendu là au main de ces barbares.
J'avais fait appel à l'air pour créer un épais brouillard et j'avais du faire appel à toute les forces que je possédais dans mes ailes afin de le transporter sans aggraver ses blessures.
Le soleil est en train de se lever tranquillement et je suis là à m'assurer que le prince du Feu ne meurt pas suite à la flèche qu'il a reçu au visage. Il n'en gardera pas une grande marque hormis la coupure sur ses lèvres du côté droit. Heureusement, il n'a pas beaucoup saigné alors ce n'est pas trop grave. Je tourne la tête et je joue avec le bois pour éviter que le feu ne meurt.
Après avoir créer le broullard, j'ai du volée pendant près de deux heures dans le royaume du Feu avant de me poser dans cette forêt. Normalement, cela prendrait cinq heures de venir à pieds avec les quelques falaises, les courants et les ravins.
Vive les maitres de l'air et leur ailes!
Je trouve ça un peu bizarre de m'occuper de quelqu'un et surtout si le concerner a tenté de m'enlever pour me ramener chez lui afin de me tuer, mais c'est comme si une petite partit de moi voulait lui faire confiance.
Je lève les yeux et j'en déduis qu'il doit être huit heures du matin.
Il faut que je rejoigne Katara et Sokka sinon ils vont s'inquiéter.
Je regarde à nouveau le prince Zuko et je remarque quelque chose d'étonnant.
Une brûlure sur le côté gauche de son visage, mais vers son oeil.
Il a été brûlé pour quel raison ?
Une conversation que j'avais surpris avec des soldats de la nation du Feu me revient brusquement à l'esprit.
"Le prince en disgrâce doit être en train de fulminer de rage."
Il a été rogné du trône pour quelle raison ?
Ne pouvant m'en empêcher plus longtemps, j'avance ma main et je touche délicatement l'endroit où il a été brûler.
Cela doit faire longtemps qu'il garde cette cicatrice... comme la mienne.
Je continue de toucher sa brûlure en regardant son visage et je glisse mes doigts vers la marque sur ses lèvres qui commence déjà à cicatrisé.
Ce qui m'étonne c'est que sa peau est brûlante.
Je me demande à quel niveau il a atteint dans sa maitrise du Feu.
Je cligne plusieurs fois des yeux en me rendant compte de ce que je fais et je me dépêche de me lever.
Je fais apparaitre mes ailes et, d'un puissant battement, je décolle dans les airs.
Rendue en hauteur, je jette un dernier regard au prince inconscient avant de prendre la direction d'où mes amis se trouvent à l'instant.
Cela me prend un certain temps avant de les retrouver dans une clairière s'apprêtant à monter sur Appa.
Je bat des ailes en les regardant et Sokka finit par lever la tête vers moi en agitant sa main.
Je commence à me poser au sol lorsque Katara se retourne pour me regarder avec un profond soulagement.
Elle cours vers moi et me serre si fort dans ses bras que j'ai pratiquement peur de manquer d'air.
- Dis, la grande, heu... j'arrive bientôt à plus respirer.
- Désolée, mais j'étais réellement inquiète pour toi.
Je lui souris doucement et Sokka s'avance vers nous en me désignant mes poignets.
- Que t'est-il arriver ?
- Je... j'ai eu quelques problèmes, mais rien de grave.
- Nous allons partir une fois que nous aurons correctement soignée tes poignets.
- Je vais bien, je t'assure.
- Loona, me dit Katara avec autorité, c'est non négociable.
Je pousse un soupir en allant m'asseoir pendant que Katara utilise ces connaissances avec les plantes pour soigners l'enflure sur mes poignets.
Même si je suis en sécurité avec mes amis, je ne peux pas m'empêcher d'être un peu nerveuse.
La nation du Feu à placé des pions un peu partout pour me piéger et je doute que je puisse me fier à quelqu'un d'autre maintenant.
Mais, étrangement, mon esprit se retrouve occuper à s'inquiéter pour le prince.
C'est-il réveillé en sécurité ?
Se souvient-il de tout ?
Est-il mon ennemi où mon allié ?
Pleins de questions qui n'auront pas de réponses de si tôt.
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Le destin de Loona
General FictionIl y a 100 ans, tout allait bien dans notre monde. Nous vivions des moments de paix et de prospérité. Les quatre nations : Les tributs de l'eau, le royaume de la terre, la nation du feu et les nomades de l'air vivaient en harmonie. Un grand respect...