Chapitre 2

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PDV Namjoon

7h00 mon réveil sonna. Je l'éteignis et me levai en mettant mon peignoir. J'arrivai dans la petite cuisine et me préparai un petit déjeuner : une banane, un verre de lait et deux toats. Je les engloutis sans laisser de survivant et me dirigeai vers la salle de bain pour prendre ma douche. J'ai faillis m'endormir au moins 3 fois puis en ressortis. Je mis une serviette autour de ma taille et allai m'habiller. Je me vêtis d'une chemise blanche, d'un blazer Bordeaux et d'un pantalon noir.
7h45 il me restait un peu de temps avant de devoir partir, je décidai d'aller faire mon lit quand mon téléphone sonna. C'était un message de Jimin
:" Hey Namjoon, ne t'inquiète pas mais je vais rentrer dans quelques jours. J'aimerais rester un peu plus longtemps avec Hoseok. Fighting !"
Je lui répondis:
"Yah! Comment oses-tu me laisser tout seul? Aishh.. Fais attention à toi."
Je m'allongeai sur le canapé et regardai le télévision. Je fermai les yeux et retombai dans mes souvenirs.

Dans une petite maison de campagne se trouvait un jeune garçon aux cheveux bruns, d'une dizaines d'années. Il était allongé sur le canapé, la télécommande à la main, en train de zapper de chaîne en chaîne. Quand tout à coup quelqu'un sonna à la porte, le petit alla ouvrir car ses parents n'étaient pas là, comme tout les soirs. Il ouvrit la porte et tomba sur un homme gigantesque d'une trentaines d'années. Il devait lever la tête pour apercevoir son visage. Il portait un masque et une casquette. Il pris le petit par le bras et le jeta dehors. Celui-ci essaya de se débattre mais en vain, il se retrouva dehors, les fesses dans la neige. Il se releva et voulut ouvrir la porte, qui avait bien entendu était fermée par l'homme. Il avait du la fermer à clef donc le petit bonhomme ne pouvait pas l'ouvrir. Il regarda par la fenêtre et vu cet homme prendre la télévision. Il se rendit compte que c'était bien un voleur et couru vers la gendarmerie.
Le vent glacial lui piquait les yeux, mais qu'importe, il devait avertir quelqu'un au plus vite. Il glissa sur du verglas et tomba encore une fois sur les fesses. Il ne put s'empêcher de lancer un gémissement plaintif mais se releva vite malgré la douleur. Il boitait à présent, ce qui ralentissait sa course. Il arriva enfin au post de police 20 min après que l'homme soit entré. Il ouvrit la porte et s'engouffra à l'intérieur. Il couru vers le bureau et appuya longuement sur la sonnette pour montrer sa présence. Un homme arriva et lui demanda le problème. Il lui expliqua, les larmes aux yeux et les lèvres tremblantes. Le policier lui dit qu'il pouvait rester ici et qu'il allait envoyer des gens sur place. Le petit fit un signe de tête et alla s'asseoir sur un fauteil. Il fini par s'y endormir et le lendemain il se réveilla dans son lit, trampé de sueur. Il se leva d'un bon et courut vers le salon, quand il arriva il était vide et seul sa mère le comblait. Il s'approcha d'elle et voulut lui faire un câlin. Celle-ci le repoussa en lui criant dessus, les larmes perlées sur ses joues :
- Mais putain pourquoi tu l'as pas arrêté ? On va devoir tout racheter par ta faute! Tu aurais du nous prévenir ! Pourquoi es-tu aller au post de police? Tu sais très bien que ces objets ne nous appartenaient pas! On va avoir de gros problèmes à cause de toi si ils retrouvent les meubles et découvrent ce qu'il y avait dedans!
Elle le gifla et se remit à pleurer. Le petit restait bouche-bée face à l'attitude de sa mère. Ses yeux étaient mouillés et il tremblait.
Son père arriva dans la salle comme une furie, une bouteille de whisky dans la main. Un leva la bouteille vers son fils avant que sa mère ne lui prenne le bras:
- Non! Arrête ne le frappe pas! Je l'ai déjà puni!
-Laisse moi! Je ne veux pas aller en prison à cause d'un môme!
Il laissa tomber la bouteille sur le sol et poussa sa femme qui tomba à la renverse sur le sol. Elle lui criait d'arrêter, en vain. Il se dirigea vers le petit et le frappa, une deux trois quatre cinq six fois avec son pieds dans ses côtes. Pendant que celui-ci pleurait et hurlait :
- Papa! Arrête j'ai mal! Aïe Papa ! Arrête de me frapper !
Mais il continua, il le tira par les cheveux et le lança à l'autre bout de la pièce. Il leva une main vers lui. Il se mit en boule, près à recevoir le coup. Mais le père se ravisa et alla dans la cuisine. Il prit un couteau dans sa main droite et descendit la lame le long de son bras gauche. Il rigolait nerveusement, puis fit de même sur l'autre bras. Un se laissa tomber au beau milieu de la cuisine, baignant dans son propre sang. Il était mort

Amoureux De Mon Patron [Sugamon] [Namgi] (Arretée Là)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant