Amoureux De Mon Patron [Sugamon] [Namgi] (Arretée Là)

Chapitre 8 (lemon)

 Tout d'abord, je tiens à m'excuser de ne pas avoir continuer jusqu'à aujourd'hui... Je n'ai aucune excuse, mis à part les cours et encore... Désolée, je vais essayer de reprendre cette fiction et d'être le plus assidue possible.

!!!!ATTENTION!!! : LEMON, si tu n'aimes pas, je t'invite à attendre le prochain chapitre où d'aller le lire si il est sorti. Bisous sur tes fesses :3

#pdv namjoon

Son corps était à portée de main, nos regarde se dévoraient, nos souffles s'entremêlaient, c'était parfait. D'une main baladeuse, je vins déboutonner son pantalon pour y glisser ma main et venir toucher son fessier, la main dans son caleçon, sa peau douce sur la mienne. Je souris vicieusement, mon bas ventre se réchauffait grâce aux pensées obscènes qui me traversaient l'esprit. Je l'embrassai chastement avant de lui mordre la lèvre et descendre mes croissants de chair le long de son torse dont j'avais au préalable enlevé le tissu qui le recouvrait; mes lèvres rencontrèrent son téton, que je mordillais et léchais tendrement, créant des bruits de succion mélanger à ceux de sa respiration saccadée et chaud s'écrasant contre mon crâne, cassants le silence de la pièce. Je le retournai et le plaquai au cuir du canapé, épousant ses formes délicates. Je m'assis sur son bas-ventre, mes doigts pianotant le long de sa peau blanche et pure comme de la neige, un sourire déforma mon visage et je murmurais, d'une voix sensuelle et suave à son oreille:

- Blanche Neige... je t'ai trouver un nouveau surnom...

Visiblement, ça ne lui plaisait pas trop, je compris cela quand il agrippa mes cheveux pour m'obliger à le regarder dans les yeux et me murmura, vexé et à la fois amusé:

-Fais attention à ce que tu dis, tu pourrais très bien te retrouver sans boulot demain...

-Toi, c'est sans cul que tu vas te retrouver. lui répondis-je.

Il ouvrit la bouche pour rétorquer quelque chose mais la referma aussi tôt. A bout de souffle à force de rire, je m'écrasai sur son torse en reprenant ma respiration, malgré que le vue de son corps et la peau de ma joue contre son buste n'arrangeait pas mon rythme cardiaque. 

-Passons à la vitesse supérieure, cher patron 

Je me redressai et le fixais, un long moment, de toute ma hauteur. Je mordis ma lèvre et vins l'embrasser, puis je laissai mes lèvres se promener sur sa mâchoire, parfois y ajoutant ma langue, retraçant l'os quelque peu saillant... Puis mes babines allaient plus bas, à leur guise. Elles rencontrèrent un obstacle des plus délicieux : son téton. Les lippes laissèrent place à ma langue, qui venait titiller ce bout de chair qui faisait se cambrer ma moitié et pousser quelques gémissement de temps à autre. Un sourire vicieux se dessina aux coins de mes lèvres tant j'aimais le voir dans cet état...grâce à moi... Ma main, très baladeuse, se mit à s'aventurer toujours plus bas, baissa son caleçon et vint caresser son membre, déjà bien gorgé de sang par mes actions encore bien insignifiantes à côté de ce que je comptais lui faire... Yoongi se cambra et poussa un long gémissement quand ma main rencontra pour la première fois son engin. Je me mis à rire puis relevai la tête vers lui pour admirer le résultat de mon travail sur son visage.

-Putain... Mon souffle se coupa. 

C'était moi qui avait créé ça? Mon dieu... Ses joues rougies, ses lèvres rosies, ses cheveux en bataille sur son front, sa bouche entre-ouverte à cause de sa respiration rempli d'excitation, ses yeux me suppliant toujours plus... Je croyais avoir vu la plus belle chose de ma vie. Je dégluti bruyamment et me penchai pour happer ses lèvres, chastement. Délicatement, j'enlevai son pantalon ainsi que son caleçon. Il était nu, à ma merci. J'avais envie de lui faire tellement de choses... Il me mettait dans un état de transe. Je fermais les yeux un instant, histoire de me reconcentrer, la pire des choses serait de lui faire mal. Tout en aillant les yeux fermés, je descendais toujours un peu plus vers son membre gorgé d'envie. Quand je rouvris les yeux, je l'avais devant moi. Je me léchai les lèvres et vint porter son membre à ma bouche, doucement, sensuellement, frustrant. Je voyais son petit corps se cambrer et sa bouche s'ouvrir pour sortir un gémissement.