Leila Bâ ; j 'ai 18 ans ; ma vie vient de basculer ; mon pére est peut être mort ; ma mére j 'imagine son désarroi lorsqu' elle le saura mon jeune frére ; il sera orphelin à 15 ANS , ,ma vie je l ' avais planifiée , j ' en avais rêvé ; de mes études...
Merci de lire ma chro , bonne lecture j ' espéere que ce chapitre vous plaira ******************************************************************************************************************************
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Ce que je voyais me subjuguer , je m ' attendais à tout sauf ca . Si on avait quitté l ' orient disons que Ayman me l ' a ramené en plein années 1800 . Voyez vous le décalage , je veux dire c ' est étonnant de voir une tente avec des tapis superbes et des poufs deposés par deesus et un buffet plutot un festin disposé dans une vaisselle princiére en or . C ' était juste imaginable . Je ne me lassais pas de ce paysage .
Ayman : Trés chére lorsque vous finiriez votre contemplation , accepteriez vous que je vous aide à descendre de cheval .
J ' avais même forget , je suis toujours sur Layal .
Moi: Bien sur , quel gentleman vous faites .
Ayman : C ' est tout moi .
Moi: Oh toi alors , ne laisse pas ton égo démesuré rompre le charme , narcissique va .
Ayman : Quel charme , si y ' en a un c ' est que j ' ai atteint mon objectif .
Moi: Lequel ?
On marchait en direction de la tente qui rayonnait de mille couleurs c ' était magnifique , tout ca pour moi . Ayman me tenait par la main , je me serai dégagée de son emprise en temps normal . Mai ce soir je voulais juste profitée . Et pour dire ca ne me déplaisait pas ; son contact était agréable .
Ayman : Si tu veux le savoir , faudra d ' abord répondre à la question , tu l ' as déjà lu je crois ?
Moi: Oui , mais comment oserais tu arrêter tout cela si ma réponse s ' avérait fausse ?
Ayman : De la même manière que j ' ai orchestré tout cela y couper court sera d ' autant plus facile .
Ok donc c ' était quite ou double . On s ' installa néanmoins sur les poufs , j ' étais en position assise avec mes jambes croisées comme les moines . Et c ' est vrai je cogitais sur l ' énigme .
Moi: Tu pourrais me laisser me concentrer . Arrête de me regarder comme ca .
Ayman : J ' ai le droit de contempler la beauté de ma femme non .
Moi: Maintenant tu reconnais que je suis ta femme . Eh ben !!!
Ayman : Je ne l ' ai jamais nié . Là n ' est pas la question ; on discutera quand tu auras trouver , ne te plante surtout pas .
Moi: Cela te rendrait il triste ?
Ayman : Oui car on ne passera pas cette soirée ensemble et toutes mes surprises tomberont à l ' eau .
Moi: Encore d ' autres , là tu m ' épates . Depuis le début , j ' ai collecté comme qui dirait des indices et ça doit être les clés qui me mèneront au trésor .
