NDA : références

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À la demande de @Romain-Vidal, et éventuellement pour les autres à venir, voici une petite liste non exhaustive des inspirations (conscientes) qui ont guidé ce texte...

En tout cas elle n'apporte aucun éclairage particulier sur le texte et l'histoire, les éléments ayant été pour la plupart sauvagement détournés.

– La 6e symphonie en A mineur (tragique) de Gustav Mahler, une de mes œuvres préférées...

– L'album "The Wall" de Pink Floyd.

l'Horloge de Baudelaire.

– Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, en tout cas sa description du « dernier homme » qui m'a beaucoup marqué. Je la détourne certainement par rapport à sa portée initiale.

– Boris Vian, L'Écume des Jours : le seul souvenir que j'ai de ce livre est que... c'est génial... il faut que je le relise...


Détails explicites :

– 5. : Le Cheval bleu, Franz Marc

– 5. : L'Araignée qui pleure, Odilon Redon (et d'autres dessins)

– 6. : cette citation des Chants de Maldoror (à part ça je n'aime pas cette œuvre et je n'y comprends rien) : « beau comme la rencontre fortuite, sur une table de dissection, d'une machine à coudre et d'un parapluie »

– 8. : en couverture. La Tour de Babel, Bruegel l'ancien.

– 10. : Œdipe et le Sphinx, Gustave Moreau

– 10. : L'Ange blessé, Hugo Simberg

– 11. : le discours du progrès est inspiré par des extraits du Manifeste du Futurisme de Marinetti (la vitesse et la violence)

– 11. : je pensais aussi à Pygmalion et Galatée, Jean-Léon Gérôme


Ambiance générale :

Quatre arbres, Egon Schiele

Le Cri, Edward Munch (que ferait-on sans cette œuvre de toute façon ?)

– Des cartes de tarot et leurs symboles (plutôt vague)

– l'ambiance des tableaux de Salvador Dalí (La métamorphose de Narcisse, La persistance de la mémoire par exemple)

– quand je pense au bric-à-brac de Lucifer, je pense aussi au Cadeau de Man Ray.

Der Blaue Reiter (le cavalier bleu) et Die Brücke (le pont), deux grands courants allemands de l'expressionnisme.


Cette liste n'a pas vocation à être complète, mais si vous trouvez quelque chose que j'y ai manifestement oublié, je suis preneur.

Le dernier HommeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant