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        Le froid s'infiltre dans les vêtements, pénétrant chaques parcelles de peau. La fille reprend conscience, elle ressent son sang sangouffrer dans ses veines. Des fourmillements se chargent de la réveiller entièrement. Elle n'a aucune idées de l'heure, ni de l'endroit. Juste un hama de désolation autour d'elle, l'oeuvre humaine. Ce croyant les maîtres des êtres vivants, les hommes détruisent, étalant leur hypocrisie.

        Elle bouge sa main gauche. Érafflant le sol poisseux. La fille retrouve peu à peu ses sens. Elle sent un liquide chaud couler sur la peau froide de son bras. Alors la douleur, qui jusqu'à là s'était tue, système psychologique que la merveilleuse conscience humaine a cré lors de trop forte agression extérieur, se ravive.
Elle gémit, la souffance est horrible. La balle lui avait transpercé la fine peau de son bras gauche, détruisant ses muscles parfaits. Profitant alors pour mettre à mal son système défensif.

        Les gémissements attirent l'attention d'hommes n'aillant comme toit qu'un hama de plaques en fer. Ils avancent d'abords troublé par cette faible protestation glutural. Puis découvrant la fille dans cette fine brèche, se précipitent. Elle est dans un très mauvais état. Le plus jeune des hommes est épouvanté par l'abus de sang qui se propage de sa plaie béante. Son estomac ne tennant plus, il va exterioriser sont faible repas en dehors de cette maudite usine. Le vieille homme, possédant un coeur de pierre, une âme forgé par les épreuves de la vie, ne s'émeut pas de cette macabre découverte. Il vérifia le poul de la jeune femme. Elle était bien vivante.

- Akito! Bouge ton cul et arrête de dégueuler, elle a besoin de soins et tu va m'aider à la transporter à l'hopital! beugle le plus vieux

        L'homme conserné entre. Il a peur. Son ami de fortune est capable des pires atrocités. Ils transportent alors la jeune fille dans un endroit connu pour qu'un riche fonctionnaire, se pavanant avec ses vêtements derniers cris, use de sa générosité en l'envoyant aux urgences. Ils partiront discrètement. Personne ne les remarquent. D'une utilité fort apréçiable quand on y pense.





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Vos avis? J'ai passé pas mal de temps à l'écrire....
Bonne lecture pour la suite!!! <3<3

Le prix de l'humanitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant