.III.

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BIP...BIP...BIP...
La tête de la jeune fille est agréssée par ce bruit répétitif et hirritant.

BIP...BIP...BIP...
Elle n'en peu plus. La fille ouvre d'habord faiblement les yeux, mais sentant le soleil, elle grogne et les referment.

BIP...BIP...BIP...
Alors elle se décide à bouger ses mains, engourdis, cherche à savoir où elle se trouve. Son lit et dur, mais les dras sentent bon, malgré la transpiration qui les innonde. Lorsqu'elle a ouvert les yeux pour la première fois, elle a entreperçut des grandes fenètres ouvertent, cherchant à faire passer la fraîcheur matinal. La jeune fille se sent bien dans cet endroit.

BIP...BIP...BIP...
A part ces bruits. Elle s'enerve! Mais pourquoi viennent-ils déranger son état de plénitude?

BIP...BIP...BIP...
Elle ouvre les yeux et essaye de s'assoir, mais une douleur cuisante se fait sentir. Son bras est entouré de bandages. La balle a sûrement  était retirée. Crispant la machoir pour éviter de se plaindre, elle regarde les alentours du lit. Sa chambre est blanche immaculée, simple, rudimentaire. On y trouve seulement son lit, une table de chevet et un électrocardiogramme. D'ailleur c'est cet appareil qui l'a dérangé! pense-t-elle. La fille comprend alors qu'elle se trouve dans un hopital.

- Putain de merde! dit-elle d'une voix basse.

La fille commence à se rappeler des événements d'hier. Mais elle n'a aucune idée de se qui c'est passé après sa perte de connaissance.

Plus grave! La police va sûrement  pauser des questions. Il faut qu'elle fasse profil bas. Ses poursuivants vont revenir si la fille s'attarde trop. Mais elle a un temps d'avance, ils ne savent pas où elle est. Puis la jeune fille répéte en boucle ces quelques phrases afin de ce détendre, ce persuader qu'il n'a plus de danger, un autre phénomène psychologique que notre belle âme à cré.

- Il ne faut pas céder à la panique, comme hier. Il faut réfléchir, anticiper, faire preuve d'intelligence même si elle me fait cruellement défaut!

Elle entend soudainement un toussotement. La fille ne c'est pas rendu compte que l'infermière la regarde avec stupéfaction, peur et une pointe d'amusement. C'est à se moment là qu'elle se rend compte qu'elle avait crié la phrase.

- Il me semble que vous allez bien, pas la peine de demander alors! Je vais vous laisser, il faut que vous vous reposiez. dit-elle d'une voix amusée.

La fille soupire puis interpelle l'infermière:

- Escusez moi! Comment suis-je attéris dans cet hopital?

L'infermière se retoune étonnée vers la fille et questionne:

- Vous vous en souvenez pas?

- Si je m'en souviens mais j'aime bien parler de choses inutiles! dit-elle siniquement.

La première palit et repond:

- Escusez moi! Cette question est idiote. Lorsque l'on vous a retrouvé dans la rue, c'était la panique. Les policiers, pompiers et journalistes sont vite arrivés et vous ont suivi tout le trajet.

- D'accords merci! répond rapidement la fille.

- Mais je dois vous mettre en garde! Les journalistes sont encore dans l'hopital donc ne sortez pas de votre chambre!

Et l'infermière s'en va tranquillement. La jeune fille reste interdite. Si les journaliste savent où est son hopital, alors ses poursuivants vont le savoir bientôt. Elle crispe ses doigts, mort violament sa lèvre inferieure. Il faut qu'elle trouve une solution pour s'échapper.










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Hey!! Ça va?
Comment vous trouvez l'histoire jusqu'à là? Vous aimez le caractère de cette fille?
J'ai essayé d'utiliser une technique depuis le début de l'histoire pour que vous soyez en quelque sorte en "distance" avec le personnage!!!

Le prix de l'humanitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant