Élémental

5-ENSORCELÉE

_ Et par curiosité, je suis sensés être une élémental de quoi moi ?

On toca à la porte.

_ l'école ferme !

_ Cinq petites minutes s'il vous plais ! Répondit madame CHESS.

Je soupirais, regrettant de ne pouvoir discuter encore longtemps avec mon professeur.

_ Et bien, à voir tes yeux et d'après ton histoire, je dirais une élémental d'eau.

Cela me fit l'effet d'une claque. L'eau ? J'ai toujours eu peur de l'eau. L'eau à tuée mes parents et mon frère. Ma famille. L'eau n'a fait que m'apporter malheurs. Et c'est sensé être mon élément, mon ami, mon autre moitié de moi même ?

_ Aller, conclut elle. File! Et vient donc demain m'annoncer ta décision. Nous discuterons de ton élément une prochaine fois.

Je mit mon sac sur mon épaule, tentant de retenir mes larmes de nouveau, et rentrais au foyer. Je pleurais beaucoup ces temps ci. Je ne me souvenais pas d'avoir été une petite fille si fragile. Quand à mon choix à faire, j'étais indécise.

Admettons que tout cela soit vraie. Si madame CHESS pouvait lire dans mes pensées, elle pouvait trouver facilement les mots pour m'amadouer et pouvait me mentir sans que ne ne m'en rende compte. Mais si elle disait vraie, cela voulait dire que je courais un grand danger. Étais-je vraiment capable de tout quitter ? Après tout ; il ne me restait plus rien. Plus de famille, plus de maison ni d'affaires. (le bateau ayant être détruit, ma maison, ses meubles et tout ce qu'elle contenait ont être vendu pour en racheter un autre pour le propriétaire).

Le lendemain, je décidais de suivre mon professeur en qui j'avais toujours eu confiance plutôt que l'inconnu que j'avais rencontrer sur la plage et qui m'avait confisqué quelques souvenirs de ma vie.

_ Je viens avec vous. Affirmais-je avec détermination.

Je la vie sourire.

_ Nous partirons demain, le temps de régler quelques petit soucis. Officiellement, je vais t'adopter puis tu rejoindras notre centre de formation. Je suis persuadée que tu à pris la bonne décision.

Je l'espérait aussi.

*****

Elle discuta longtemps avec le directeur du foyer. Celui ci me redemanda plusieurs fois si j'étais vraiment sûre de mon choix, mais je ne changeais pas d'avis. J'avais pris ma décision.

Le matin venue, je prenais la voiture avec madame CHESS (qui au passage, s'appelait Sabine). Vers midi, nous arrivâmes à une gare de TGV où elle discuta avec un type, qui nous fîmes entrée sur un quai qui, normalement, était inutilisé. Au bout se trouvait un angare dans lequel se trouvait un vieux TGV. Le types partit chercher un autre individu, qui rentra à la tête du train. J'en déduisit qu'il en était le conducteur.

Nous entrâmes sans tiquer dans le wagon de notre choix. Il était vide.

_ Bienvenue dans notre train ! Retentit une voix. J'en déduisit que c'était celle du conducteur. Direction le C.A.F. Un contrôleur viendra s'assurer de votre identité et un chariot sera mit à votre disposition. Bon voyage !

_ Mais nous n'avons la de tiquer. Comment allons nous faire ? Et puis c'est quoi le C.A.F. ? Demandai-je quelque peu paniqué.

_ Le C.A.F, me répondit elle, est le Centre d'Apprentissage et de Formation. Quand à nous, nous n'avons pas besoin de tiquer. J'ai une carte d'enseignant au C.A.F. et nos yeux nous permet de prouver que nous somme des élémentals.

Quelques minute plus tard, un contrôleur vain et effet contrôler la carte d'enseignant de Sabine, mais surtout, nos yeux. Il fit une blague ou deux avec mon accompagnatrice que je ne compris pas, et ne s'offusqua pas de mon manque d'intérêt.

Vers midi, un jeune d'une vingtaine d'années arriva avec un chariot chargée de sandwichs et de boissons. Je choisie un panini tomates mozzarella basilique et un verre d'Oasis. Pour la boisson, le garçon me tandis un gobelet en plastique, et hauta le capuchon d'un cylindre de plastique d'où surgit un petit filament liquide. Je sur sautai, avant de me rendre compte que cela était ma boisson ( qui arriva directement dans mon gobelet après avoir dessiner un coeur dans l'aire, me faisant rougir ) le jeune élémental d'eau me souris puis reparti.

Je discutait longuement avec madame CHESS avant de finalement m'endormir vers quatre heure. À dix-neuf heure cinquante-neuf, soit une minute avant vingt heure, je me levais brusquement, totalement réveillé. Sabine, qui ne dormais pas, m'interpella. Mais je ne l'entendais pas. Droite comme un I, je partais le long des rangée de sièges. Je devais partir. Maintenant. Madame CHESS me criait à présent de revenir, mais mon cerveau ne voulait pas entendre. Je devais aller à la plage. Coûte que coûte.

Je marchais à une allure d'automate, regardant droit devant moi. Je n'avais qu'un seul objectif : la plage. Et vite. Je n'avais pas d'autres pensée. Plus rien n'existait plus autour de moi que cette objectif ultime. Je ne pensée plus. Je ne voyait plus. Je n'entendait plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Tout mon être n'aspirait plus qu'à retourner sur cette plage.

Au moment où, sans m'en rendre compte, j'ouvrais la porte du dernier wagons et m'apprétais à sautée, quelqu'un m'agrippa le bras.

_ J'aurais du m'en douter.

Une douce chaleurs se dépendit en moi, partant de mon bras, et se propageant dans tout mon corps, me paralysant, puis plus rien.

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Hello!!!

Je sais que cela fait longtemps que je ne suis la allée sur wattpad. Je suis désolée. Je n'ai pas encore réussi à m'organiser pour le boulot.

J'ai tout de même un chapitre d'avance au cas ou 😉

J'ai posté à la demande d'une personne un nouveau chapitre 2. N'ésitez pas à le lire.

Bisous bisous❤❤❤