2-INSTALÉE

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Cela faisait à présent une semaine que le bateau avait coulé. Comme on était à présent en Septembre, je me retrouvais dans un nouveau collège plus près de mon foyer. Et oui. N'ayant plus de parent, donc plus de tuteur, j'avais été internée dans un foyer.

Étant assez discrète, je ne m'étais pas encore fait d'amie à proprement parlé. Il y avais bien à la cantine la table des associables avec Charlotte, Clio, Maxence, Vincent et une autre fille dont je ne me souvient jamais du nom, mais on ne pouvais pas dire si nous étions des amis. Nous mangions ensemble. Rien de plus.

Il y avait aussi Élodie, une damme de la cantine du foyer. Elle avais été très accueillante et m'avais tout de suite été sympathique. Elle trouvait toujours le petit mot encourageant. Vraiment gentille.

Ce matin, c'est vendredi, et je ne suis vraiment pas motivée. Si seulement maman était là... Non. Pas le temps d'être nostalgique.
Je me préparais en vitesse et prenais le bus.

Arrivée au collège, je tentais vainement d'éviter Cédric et sa bande de voyous.

_ Alors comme ça on fais la tête? M'interpellat l'un d'eux.

_ Bah alors, la "ma famille à préférer mourir que de me côtoyer". On a le cafard?

Je sentie ma vue se brouiller.

_ Tu répon pas? Continuèrent ils en me suivant.

_ Aller. Fil nous ton porte monnaie. Si tu prend le bus matin et soir, c'est qu't'a du fric.

N'ayant pas le choix, je leur filais mes quelques sous.

_ Et t'en parle à personnes. T'a compris la bolos?

_ Bah... à qui tu veut qu'elle en parle? Elle a plus de parents.

Je partie sans me retourner, la tête basse, ignorant leur rire gras derrière moi.

Fichue journée.

Ainsi se suivirent les cours, ainsi se suivirent les mauvaise blagues tel que le sel dans l'eau, la carafle d'eau mistèrieusement renversé sur mes habits, les bousculades et l'encre ayant par le plus grand des azard fuis dans mon casier.
Bref... Mon cotidien depuis que nous avion due présenter la profession de nos parents, que j'avais parlée au passée et que je n'avais pas été capable de retenir mes larmes

Seul l'espoir d'un avenir meilleur me permettais de tenure le coup. Ainsi que la mémoire de ma famille bien sûre. Ils n'apressirais pas que je m'arrête alors que contrairement à eux, j'avais survécu à la tempête.

Le soirs venus, je rentrais à pieds, n'ayant plus de quoi me payer le bus. De retour au foyer ( je n'arrivais toujours pas à l'appeller ma maison ) je me lançais dans mes devoirs. De temps en temps, je regardais la photo de mon petit frère où figuraient aussi mes parent et moi même pour me redonner du courage. Lors ce que j'eu finit, il faisait encore jours, et il n'était pas si tard que ça. Beaucoup moins que je ne l'imaginais. Il me restais juste le temps pour aller sur la plage et continuer a faire mon deuil.

Je partie donc, le coeur en pièce, sur la jetée. Espérant trouver le calme et la paix.

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Coucou tout le monde !!!
Je dois vous prévenir qu'a cause de mon emplois du temps de ministre je posterais des chapitre uniquement quand j'en ai le temps (autant être honnête avec vous.)

Bref...

Ce chapitre à été rajouté car une personne qui e l'a conseiller (et que je remercie fortement 😉❤) N'éitez pas à me fait part vous aussi de vos conseilles.

Ciao mes chaton. ❤❤❤

ÉlémentalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant