Je t'haine. //b.s

Chapitre 14.

Je m'étais figée après ce qu'avait dit Zac. Je ne voulais pas le revoir, pas après la dernière altercation qu'il y avait eu. Et, à ce moment-là je maudis Bradley de ne pas avoir répondu à son putain de téléphone et de m'avoir raccroché au nez.

Zac me tirait sur le bras, m'obligeant à avancer. Je tournais la tête et voyait plusieurs gars assez bizarre me regardait de haut en bas. Je les reconnaissais, c'était ceux qui étaient avec Ethan la dernière fois. On montait des escaliers et on arrivait à une sorte de bureau fermé par une porte. Il tapait trois fois et quelqu'un criait d'entrer. On rentrait, la main de Zac toujours sur mon poignet. J'essayais de reculer, je ne voulais pas rentrer ici. Je reconnaissais les cheveux ébouriffés d'ethan, il était de dos sur son siège. Il y avait une bouteille à sa droite, et de la drogue à sa gauche. Celui-ci se retourna vers moi et affichait un sourire.

Ethan : Elena...

Il s'appuyait sur ses coudes et me regardait. Je le regardais dégoutée, comment avait-il pu changer comme ça ?

Ethan : Barre-toi Zac.

Zac me lâchait le poignet après avoir râlé et il sortait en claquant la porte, ce qui me faisait sursauter.

Elena : Tu me dégoûtes.

Ethan : Je le sais. soufflait-il.

Elena : Pourquoi tu fais tout ça ? J'veux dire, tu m'as eu pendant plusieurs années tu n'peux pas me laisser ?

Ethan : T'es à moi, Elena.

Elena : J'aurais pu l'être. Dis-je d'une petite voix.

Ethan : Pardon ?

Elena : Rien.

Ethan : Répètes.

Elena : Non.

Ethan : Répètes ! criait-il en tapant du poing sur son bureau.

Elena : J'étais amoureuse de toi !

J'avais criée tellement fort qu'Ethan me fixait, étrangement d'ailleurs. Il avait un regard dur mais je n'arrivais pas à lire ce qu'il exprimait.

Et, il se mit à rigoler. Un rire moqueur, il s'en tenait le ventre. Je baissais la tête, sentant la rage monter en moi.

Ethan : Toi, amoureuse de moi ? riait-il. Tu te fou de moi !

Elena : Vas te faire foutre. Disais-je doucement.

Ethan : Tu n'as même pas essayé de me chercher, pas une nouvelles, rien ! criait-il. Je pense que celui qui était le plus amoureux entre nous deux, ce n'était pas toi.

Il me regardait avec un regard dur, mais je pouvais voir une lueur de tristesse. J'allais ouvrir la bouche pour lui répondre, mais rien ne sortait.

Ethan : J'ai remué ciel et terre pourte retrouver Elena. C'est pour ça que je suis ici aujourd'hui. Mes parents n'ontpas voulu me dire où tu avais déménagé. J'ai essayé de te joindre plusieursfois, tu avais changée de numéro. Par contre, toi tu avais le miens. Tu auraispu me joindre, et tu prétends avoir été amoureuse ? il riait doucement. 

Elena : Pourquoi tu ne me l'as pas dit ?

Ethan : T'étais ma meilleure amie, et je n'voulais pas gâcher ça. Si j'aurais su.. il se passait une main dans les cheveux.

Elena : Tu as bien fait de ne pas me le dire. Me ressaisissais-je.

Après toutes ces menaces, il pensait que j'allais être douce avec lui ? Il fronçait les sourcils et me regardait dans les yeux.

Elena : Tu es devenue une pourriture, et je n'aime pas regretter.

Son regard devient noir, si noir que je pouvais parfaitement voir mon reflet dedans. « Zac ! » criait-il. La porte s'ouvrait dans un fracas, me faisant sursauter. « Occupes-toi d'elle. » Je paniquais, je ne voulais pas qu'on me touche.

Elena : J'espère fortement que redeviendra comme avant ! criais-je les larmes aux yeux.

Comment un garçon si adorable avant ai pu devenir une pourriture ? Zac me trainait, on traversait la salle où il y avait plusieurs hommes et l'un deux nous stoppait.

... : Alors c'est toi la personne dont était tant amoureux Ethan ? riait-il suivit de ses copains.

Je le fusillais du regard et Zac me tirait dans une autre pièce, de l'autre côté du bureau. Dans cette pièce, une chaise était posé au milieu de la salle, éclairée par une faible lumière. Un matelas était dans un coin, usé. Je faisais une grimace lorsque je voyais des taches blanches, des préservatifs usés. Ils avaient violées des filles. Je paniquais, je ne voulais pas être l'une d'elles. Zac me balançait sur cet affreux matelas, et fermais la porte. La pièce était sombre, très sombre. Aucune fenêtre n'y était, ce qui ne m'étonnait pas. La porte s'ouvrait une nouvelles fois sur Zac, la mâchoire crispée.

Zac : Assis-toi, là. disait-il en pointant la chaise.

Je bégayais, je ne voulais pas y aller. Ma tête bougeait de gauche à droite et les larmes coulaient. Il s'approchait de moi, me saisissait le poignet et me tirait vers la chaise. Il sortait une corde qu'il avait rentré il n'y à même pas deux minutes, et me ligotais pieds et mains avec. Il levait la main sur moi, et c'est ici que ça commençait.

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nouveau chapitre, pourris, court. 

Ian Somerhalder joue le rôle d'Ethan! 

♥♥