Le casino du sex.Tome 2: Maîtrise !

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  - Du nouveau ? Demanda Steven à son associé

  - Une nouvelle marchandise est censée  arriver dès la fin de ce mois. La cargaison devrait arrivée le trente, la veille du mariage de qui tu sais.

  - Et qui est la malheureuse élu ?

  - Je pense que vous la connaissez puisse qu'il s'agit de votre jolie gamine. 

Steven le dévisagea du regard, Léon et Tailla allaient bientôt se dire oui devant l'hôtel ? Comment cela pourrait-t'il être possible ? 

 - Et depuis quand au juste ?

  - Quelque temps après ton départ, tout est partie si vite on a rien vu venir mais bon ce n'est pas ça le plus important. Maintenant il  faudrait s'organiser de manière à pouvoir intercepter la marchandise. 

  - Prévenez l'inspecteur Warner de tout ceci et faite lui un rapport plus que détaillé. Je dois vous laissez à présent, il ne faudrait pas attirer l'attention. 

Il déposa son verre et alla se mêler à foule ne quittant pas Tailla des yeux. Elle était seule, c'était donc le bon moment pour agir. Ce fut très rapide. Tailla fixait profondément son verre comme perdu dans ses pensées lorsque Steven lui empoigna le bras et l'extirpa de la salle avant de l'amener dans les toilettes pour femmes et s'y enfermer avec elle dans une des cabines. Tailla se dégagea puis lui flanqua une gifle bien appliquée.

 - Toi aussi tu m'as manqué ma toute belle. 

 - Je ne te permets pas. Qu'est-ce que tu fais ici ? Qu'est-ce que tu me veux ? Je croyais que tu voulais me voir loin de ta vie.

  - C'est toujours le cas sauf que j'aimerais bien que tu m'expliques à quoi toi tu joues. Tu t'es fiancée à Léon ? Mais qu'est ce qui t'es passé à la tête ?

 - A ce que je sache cela ne te regarde absolument pas. Je n'ai plus aucun compte à te rendre et j'ai le droit de faire ma vie avec qui je veux. 

Il la saisit par la Taille et la plaqua contre lui, leur visage séparé que de quelques mini mètres.

  - Tu peux bien recommencé ta vie avec tous les hommes du monde ça m'est bien égale. Tu sais pourquoi ? 

  - Parce que le seul homme que tu aimes c'est moi. Je le sais. 

Il lui vola un baiser passionné et envoûtant dont seule lui en avait le secret, baisé qui fut lui aussi suivit d'une gifle. Mais Steven ne s'arrêta pas là et commença à soulever sa robe, acte également suivit d'une gifle encore plus forte que les précédentes.

  - Continu de me frapper si tu veux tout ce que tu y gagnes c'est de m'exciter encore plus.

  - Retire tes mains de mon corps. 

  - Ce corps comme tu le dis m'appartient.

Tailla n'arrêtait pas de se débattre protestant de tout son cœur.

  - Ce corps a cessé de t'appartenir dès l'instant où tu as déchiré ce contrat, lorsque tu m'as demandé de quitter ta maison et lorsque tu as envoyer ma sœur me chercher il y a environ un mois. Mon corps a cessé de t'appartenir lorsque pendant c'est un mois tu m'as ignoré alors que j'avais le plus besoin de toi. C'est à cet instant que mon corps à cessé de t'appartenir.

  - On en reparlera plus tard. 

Il la retourna et la plaqua contre la porte. Il souleva sa robe et baissa ses bas. Il avait tant rêvé de revoir ce cul de feu qu'elle avait. Il baissa la barquette de son pantalon et sortit sa bite déjà dure et grossit prête pour l'action et la pénétra sans ménagement. Son corps sentit aussitôt un grand soulagement. Il la baisait avec brutalité et malgré ses cris de protestions il continua bien décidé à satisfaire les désirs de son corps. Au bout d'un moment ses protestations se sont transformées en gémissement, elle jouissait tellement que son liquide recouvrait entièrement sa queue. Pourtant ça ne l'empêchait pas de lui supplier d'arrêter.

  - Je te conseille de la fermer. Nous sommes dans un endroit publique et n'importe qui pourrait t'entendre, je suppose que tu ne voudrais pas que tout le monde apprenne que tu es en train de te faire culbuter alors que ton fiancé se trouve dans la pièce d'accotée. Une chose que j'aimerais mettre au claire avec toi. 

  - Et quoi donc ?

  - Jamais au grand jamais je ne te laisserais te marier et encore moins avec ce criminel de Léon.

Il abattit son dernier coup de rien et jouit plus qu'il ne jamais fait, pareil pour Tailla. Il retira sa bite et la retourna de nouveau de manière à ce qu'il puisse se regarder face à face...

  - Nettoie moi.

Tailla le dévisagea d'un œil mauvais et s'exécuta. C'était sa seule chance de sortir d'ici au plus vite. Elle s'accroupit et le suça comme une vrai pro de la pipe, s'appliquant à ne rien laisser derrière elle. Le travail finit il rangea sa bite et lui ordonna de s'arranger. Pas besoin de le lui dire deux fois. Il lui déposa un baiser sur la joue avant de lui murmurer quelques parles à l'oreille.

  - On se reverra et là tu n'auras d'autre choix que de me dire vérité ? Tu détestes cet homme et ce n'est pas à moi que tu diras le contraire. 

  - Je n'ai rien à te dire Steven. C'est pourquoi pour ta propre sécurité je te supplie de rester loin de moi...

  Sur ces mots elle sortit de la cabine aussi vite qu'elle le put et s'en alla...