True Love - GirlsxGirls -

Chapitre XI

Je l'observe scrupuleusement elle ne veut pas me dire ce qui c'est passée, ce que ces hommes on fait de moi. Donc je la regarde, admire ses yeux marron remarque pour la première fois la petite tâche verte dans le coin son oeil droit exactement comme celui de Dameron. Les souvenirs me rendent immédiatement triste j'essuie rapidement la larme qui à voulu s'échapper mais pas assez vite pour que Marion ne le remarque pas.

- Tu veux un mouchoir? Demande-t-elle.

Mes larmes commencent à couler abondamment.

- Marion s'il te plaît dit moi ce qui c'est
passé, est ce qu'ils mon violés? S'il te plaît parle moi, dit quelque chose.

Je peux pas me retenir de la secouée avec une violence que je ne reconnais pas. " Parle" répétais-je, jusqu'à ce qu'elle me dise de me calmer elle aussi en larme.

- C'est ton Tobias qui a fait ça, ton connard de Tobias, c'est ce fils de pute qui a voulut abuser de toi.
- NON! NON! C'est pas possible!

Ma tête tourne, mon coeur bat. Mes pieds ne me retiennent plus, je peu pas y croire.

- TU MENT!
- Je t'avais prévenue, je t'avais dit de ne pas lui faire confiance. Crie-t-elle.
- Tu penses vraiment que c'est le moment de me faire la morale? Une dernière fois, dit moi ce qui c'est réellement passé!
- Inès, il n'as pas eu le temps de te toucher, je suis arriver et je les en ai empecher.
- Tu m'as protégée? Ça veut dire que tu m'aimes, pour de vrai?

Pour seul réponse elle me prend dans ses bras et m'embrasse, le goût de ses lèvres m'a manqué, je pense qu'il n'existe pas de meilleur moyen pour dire je t'aime. Je ne sais toujours pas où je suis ni quelle heure il est, mais dans ses bras tous ça n'a aucune importance. Je me sens bien et en sécurité comme dans les bras de Dameron, sais un mensonge de dire qu'il ne me manque pas, mais bizarrement je retrouve un peu de lui en Manon.

- À quoi pense tu? Lui dit je en écoutant son coeur battre.
- Je réfléchit à une idée de voyage.
- J'ai toujours rêvé d'aller aux Antilles.
- Fait tes valises, on part. Dit elle ce levant d'un coup.
- Qu'est ce que tu raconte, vient te recoucher.
- On n'as rien qui nous retiens ici, partons.

Je m'assoie pour réfléchir ce qu'elle dit n'est pas faux plus rien ne me retient ici, ni ma famille, ni mes ex amis.

- D'accord.

Elle me saute dans les bras et m'embrasse langoureusement, et doucement commence à glisser sa main dans mon short. Instantanément l'image de ces hommes tentant de violer mon intimité prend le déçus.

- Arrête s'il te plaît.

Je retire sa main, sur le coups elle n'a pas compris mais mon regard lui suffit. Je me lève un peux stressée.

- Il faut que je retrouve ma voiture, et que je passe récupérer de l'argent chez moi, on part demain!