Joke

Chapitre 7

Mon père : Mais ce n'est pas tout..

Point de vue de Juliette

J'étais encore sous le choque de tous ce que mon père venait de nous révélé alors qu'il avait encore quelque chose à nous annoncé.

Voyant que nous attendions la suite, mon père ne se fit pas prier.

Mon père : Cette maladie est hereditaire.

BAM.

Mon père : Autrement dit...

Raph : Soit un de nous deux l'avons, soit carrément nous deux, ou avec un peu de chance aucun de nous..

Mon père : Tu as compris. Souffla-t-il.

Wow, wow, wow. Je n'ai aucun mot pour décrire ce que je ressent en ce moment.
Si je peux résumé en gros :

Mon père est revenu pour nous annoncé que demain il risquais sûrement de ne plus faire partis de ce monde, mais qu'il avais une fortune assez importante dont il nous faisait don. Assez cool vous me direz hein. Mais le petit hic c'est qu'il nous avait surement refilé sa merde.

Je ne sais absolument pas quoi penser de tout ça. Je suis un peu perdu, vraiment.
Mon père reviens du jour au lendemain nous annonçant qu'il est malade. Dois-je être triste? Je n'ai aucunes émotions.
D'un côté il est gentil, il vient nous dire qu'ils nous donnent son argent et ils nous préviens en prîme que nos jours sont sûrement comptés aussi. SUPER.

Je fût d'un coup prise d'un énorme coup de chaleur. Je m'empressa de sortir de cet appartement qui pu la mort, pour me laisser fouetté en pleine face par l'air frais de dehors. Mon dieu que cela me fit un bien fou.
Je resta bien dix minutes à prendre l'air avant de remonter dans l'appartement où je trouva mon frère et mon père assis et en pleine réflection.
En me voyant rentrer mon père se leva.

Mon père : Écoute je comprend que ça puisse être frustrant pour toi mais il vas falloir que l'on aille faire les tests pour savoir si vous êtes atteint ou non ou même si vous êtes porteur de la maladie. Cela pourras vous permettre d'être "soigné" pour vous retardé un maximum le jour où tout sera finis.

Je savais qu'il avait raison. Mais, et si c'était vrai? Je n'avais vraiment pas envie de savoir que mes jours était sûrement compté ou encore moins ceux de mon frère.

Mon père : Ce qu'on vas faire c'est que je vais vous laissez digérés tout ça seuls. Lundi je viens vous cherchez après tes cours Juliette, et nous iront à l'hôpital faire les test. Plus vite ils seront fais, plus vite nous seront fixé.

Raph : D'accord.

J'hocha ma tête en guise de réponse et le laissa sortir de l'appartement.

Quand nous fûmes seuls avec mon frère, je monta en vitesse dans ma chambre afin d'être seule.

Cela faisait quelques heures que j'étais assise la sur mon lit à regardé par la fenêtre quand mon frère vint toqué à ma porte. Il ne prononça pas un mot et vint me rejoindre sur mon lit pour prendre dans ses bras. J'enfouis ma tête dans son cou afin de sentir son odeur apaisante tandis que lui me serrait de plus en plus fort.

Nous sommes restés comme ça pendant de très longues minutes jusqu'à que mon frère prennent la parole.

Raph : Tu sais si j'ai cette maladie....

Moi - Non! Le coupais-je. Ne dis pas ça, s'il te plais.

Je ne peux même pas imaginer ce que serai ma vie si mon frère venait à perdre la vie.