Joke

Chapitre 8

"Je ne veux pas savoir."

Après 15 min de voiture nous arrivons à l'hôpital ou mon frère nous avez rejoins. Nous nous dirigeons tous les trois vers l'entrée et vers l'accueil puis mon père pris la parole.

Mon père : Écoutez je sais que vous n'avez pas vraiment envie d'être ici avec moi mais j'essaye de vous évitez le pire.

Moi : C'est bon pas besoin de me faire un discours. On vas faire ces tests et on verra bien. Dis-je en soufflant.

Je veux juste sortir de cet hôpital.

Nous avons dû faire tout un tas de papiers avant d'être reçu par un médecin. Il nous expliqua les tests que nous allions subir puis nous avons commencer par un prise de sang. Je regardais mon frère qui n'avais pas l'air tout à fait rassuré, il as peur je le sent. Je pris sa main et la serra. Je sentis sa main se serré à son tour contre la mienne.
Nous avons ensuite enchainer avec une échographie du coeur puis par une radio du poignet droit.
Après 2h passé à faire des examens puis 30min à attendre les résultats le médecin revins nous chercher pour nous donner la fameuse réponses que nous attendions.

Nous avons pris place dans le bureau et nous attendons silencieusement que le médecin prenne la parole.

Il se racla la gorge puis pris calmement la parole.

Docteur : Bon alors j'ai bien tout vos résultats.

Oui super mais encore?

Docteur : Vous êtes tous les deux porteurs de la maladie. Attention porteur ne veux pas dire malade, mais malheureusement un de vous deux l'es.

Respire Juliette respire. Il y a des traitements, il y a des solutions. Raphaël ne peux pas partir comme ça.

Docteur : C'est vous mademoiselle.

Pardon? Alors que je me voyais déjà vivre l'enfer des hôpitaux pour mon frère, en faite c'est moi?
Je n'ai aucunes réactions.

Moi : Il y a des traitements?

Docteur : Bien sûr, et évidemment je vous prescrit tout à partir de maintenant. Il vas falloir que vous veniez tous les mois pour faire des examens pour voir la progressions de la maladie et ainsi voir si nous vous changeons votre traitement.

Moi : Et il me reste combien de temps?

Il souffla.

Docteur : Et bien pour l'instant nous ne pouvons pas savoir. En revanche, sur vos examens nous avons remarquer que vous étiez à une stade de la maladie assez avancé.

Moi : Comment ça "avancé"? Je ne me suis jamais sentis malade. Je regarda mon père légèrement affolée.

Docteur : Ce qui est normal puisque cette maladie est extrêmement rare et ne se manifeste pas. On le découvre seulement en cas de crise cardiaque ou en faisant des tests très précis comme ceux d'aujourd'hui.

Je ne sais plus trop ou me mettre en ce moment même. Ça fait beaucoup en 2 jours comme nouvelles ça.

Je reste silencieuse.

Docteur : Il faudrait commencer les traitements au plus vite. Si vous pouviez revenir la semaine prochaine, on commencera la première séance.

Je hoche seulement la tête en guise de réponse.

La fin du rendez-vous se passa "rapidement", ils ont fait tout un tas de papiers que je devais signer comme quoi j'étais d'accord pour me faire soigner.

Une fois finis, nous sortons de l'hôpital et je m'empressa de retrouver l'air frais de dehors.

Arrivée à la maison, je monta directement dans ma chambre afin de rester seule pour essayer de digérée la chose.
Mon téléphone se met à vibrer.
C'est Sasha.

《Moi : Allo?

Sasha : Ah mais dis donc tu es envie toi?

Moi : Malheureusement pour toi oui. Qu'est ce qu'il y à?

Sasha : Alors je ne sais pas ce qui te rend d'une humeur massacrante mais à mon souvenir ça ne viens pas de moi donc passe tes nerfs ailleurs hein!

Moi : Oui pardon, c'est pas toi.

Bip Bip Bip...》

Et merde, je suis tellement conne j'envoie balader la seule personne qui s'inquiète pour moi.

Mon téléphone se met à vibrer une seconde fois, c'est un message de Sasha.

《Dans 10 min devant chez toi.》

Je souris, et descendit mettre mes chaussures.

10 min plus tard, Sasha me fit signe qu'elle étais là alors je descendit la rejoindre.

Moi : Salut!

Sasha : Salut merdeuse! Me lance-t-elle avec un lèger sourire en coin.

Je lui rendis son sourire et on commença à marcher.
Je lui raconta tout ce qu'il s'est passer ses 2 derniers jours. Je lui balança tout d'un coup. J'avais besoin de parler, de me confier et ça fais du bien.
A la fin de mon récit, elle me pris dans ses bras avant de me regarder.

Sasha : Je suis là ok? Je vais pas te lâcher, je vais te suivre, te surveiller partout où tu ira et s'il faut j'irais avec toi à l'hôpital chaque fois où il faut que tu y aille!
Tu compte énormément pour moi Juliette.

Je lui souris.

Sasha : Aller viens je t'invite on vas manger une crêpe!