Sahara - Mon Amour Pour Ce Sultan

Il m'a bien eux.

En plaine nuit, je me rêveille, Samuel n'étais plus là. Je regardais mon bébé et pensait à son père. Je réfléchissait quand je pense que j'avais le numéro de Fayçal enfaîte. Je compose il était trois heure du matin.

Sa sonne.

Lui: Allô ?

Moi:...

Lui: Allô répondez il se fait très tard et je n'est pas que ça a faire.

Moi: Fay.... Fayçal ?

Lui: Hind ?

Je renifle.

Lui: Tu est où ?

Moi: Fayçal il faut vraiment que tu m'aide.

Lui: Cela dépend en quoi ? Tu est où ?

Moi: Tu n'a pas besoin de savoir où je suis, juste est ce que tu...

Lui: Hind il ne sera rien, dit moi ou tu est ?

Moi: À l'hôpital de **** ******.

Lui: QUI EST BLESSER.

Moi: Nous tous.

Lui: Ok jarrive.

Je raccroche. Samuel ne répondais pas à son téléphone. J'attends j'attends,  quand j'entends le bruit de sirène de la police, je regarde à la fenêtre et voit Fayçal avec Souleymane et une troupe de police.

Moi: Merde....  Nan nan nan

Je prend mon bébé avec tout ses papiers ses vêtement et les médicaments posé sur la table et me dirige vers l'ascenseur, biensur je ne descend pas au rez-de-chaussée, je descend au premier étage et prend les escaliers, je descends.

...: ELLE EST LA.

Je cours vers la sortie du parking quand j'arrive je fonce sur des hommes. Qui eux attrape mon enfant et me pousse en arrière, je suis tombé à terre.

Moi: DJIBRIL... DJIBRIL NOOOOON.

Je rempais pour le rattraper, la troupe de Souleymane arrive.

L'un deux: Madame Hind ****** vous êtes en état d'arrestation, tout ce que vous direz sera retenu contre vous.

Moi: DJIBRIL, MON FILS... DJIBRIL IL ONT PRIS MON BÉBÉ...DJIBRIL.

Je criais après mon fils, deux flic on suivit la voiture, je m'étalais je ne voulais absolument pas qu'il me touche. Je tombe sur le regard de Souleymane et Fayçal.

Je n'arrivais même pas à parler, Fayçal à vu dans mon regard de la haine et du dégoût. Il baisse son regard, je ne dis plus rien jusqu'au poste de police. Au début j'étais dans une cellule. Un garde était la et nous surveillais tous, j'étais dans une cellule partagée. Je n'arrivais même plus à respirer.

Souleymane arrive, il voulait me prendre.

Lui: Ouvre la porte.

...: Je n'est pas les clé Monsieur, c'est monsieur Fayçal qui l'es à.

Lui: Va les chercher.

Il y'avait à côté de moi une fille qui cherchait la bagarre, je ne la caclculais pas plus, et donc ça l'énervait. Je regardais Souleymane, enfin ont se regardaient. Elle me donnait des coups sur la tête, j'en est tellement eux marre que je lui est donner un coup elle est tombé à terre, elle c'est relevé et ma cogné au mur,  on se baggarait, elle se debrouillais quand même en étant soûle. Souleymane criait de l'autre côté, je sens une main sur mon bras qui me tire loin d'elle et m'enferma dans une salle avec une table et deux chaises.

Deux heure plus tard, je commençais à devenir folle, je pleurais, je me griffais les seules mots qui sortait de ma bouge était '' djibril, et mon bébé ''.

Je m'endormis dos sur le mur.

J'entends des claquement, je sursaute et me relève en me mettant position attaque, ce n'était rien d'autre qu'un flic.

Lui: Asseyez-vous je vous en pris.

Je m'assois, il me tend un plateau avec du pain et un bol de kellogs, je ne fessais que regarder la vitre derrière lui. Je savais et sentais qu'il était la.

Lui: Manger.

Je le regarde.

Lui: Bon allons droit au but,  ou est le projet criminel ?

Moi:...

Lui: Je ne le répèterai pas.

Je lâche un sourire, c'était la phrase de Souleymane à l'ancienne.

Il se lève et retiré mon voile.

Lui: Écoute moi bien p'tite....

Moi: Espèce de CON T'AURAI PAS DU.

Je me retourne, attrape sa cravate, l'étrangle et le col au mur.

Je fus projeté sur l'autre mur, l'autre flic essayait de reprendre son souffle.

Moi: Aïeu.

Souleymane: Rahul sort de la.

J'avais super mal au dos, je me relève. Il va vers la vitrine et appuie sur le bouton. Sûrement pour ne pas qu'il nous voit.

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