Chevaliers, Sans Le Vouloir

Prologue

Salut, alors voila ma deuxième histoire après Un Garçon Différent. J'espère que vous aimerez, c'est la première fois que j'essaie un livre comme ça, dans les fantastiques vous voyez?? Je vous souhaite bonne lecture et vous encourage d'ores et déja à votez, partagez et commentez si vous aimez les chapitres qui vont suivre. Bon assez blablater, je vous laisse.

Bisous
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Je me réveillai au son du réveil. Je détestais ce truc donc, ce fus donc sans regrets que je l'envoyai en vol plané à l'autre bout de la pièce. Si j'trouvais l'homme qui avait créé ce truc, il passerait un sale quart d'heure. Sauf qu'il est probablement déjà mort!! Pour une fois que tu as raison la voix.

Je remontai ma couette sous mon menton et me retournai dans mon lit, prête à ressombrer dans mon sommeil. C'est alors que mon père toqua à la porte. Il était pas vraiment mon père, mais il avait épousé ma mère quand j'avais cinq et je ne pouvais que le considérer comme mon père, vu que ce dernier était mort avant ma naissance. Mais Ben m'avait toujours traité comme sa propre fille et je l'aimais comme s'il était mon vrai père. Sa voix me parvins à travers la porte et je grognai.

-Ida, tu te lèves!! C'est l'heure ma puce!! Dépêche toi!!

-D'accord p'pa!! J'arrive!! dis-je sans bouger d'un millimètre

-Alors commence par sortir de ton lit, je sais que t'y est encore, pas de ça avec moi!!

-Tu me connais trop bien! Juste encore cinq minutes!!

-La dernière fois que t'as dit ça, t'as pris une demi-heure alors non!

Je me levai en soupirant. Je me présente, Naïda Jones, 15ans. J'ai les cheveux et les yeux noirs, ainsi qu'une magnifique couleur chocolat au lait, héritée de mon vrai père. Ma mère est morte quand j'avais 10ans et depuis, je vis avec mon beau-père Ben Jones. Ehh ouiiii!!! Bravo les Einsteins, je porte son nom. Il m'a officiellement adopté après son mariage avec ma mère 10ans plus tôt.

Je me dirigeai vers la salle de bain en sifflotant, me douchai et m'habillai simplement d'une robe blanche et de mes bottines de la même couleur. Je ne me maquillai simplement d'un trait d'eyeliner et d'un peu de mascara. J'étais pas comme toutes ces filles qui se transforment en pot de peinture pour se sentir bien dans leur peau. Je jetai un coup d'oeil dans mon miroir pour juger du résultat et poussai un cri strident, surprise de mon reflet.