Fate And Love

Thief

Julie avait tout essayé, mais aucune ouverture n'avait semblé se présenter. Quand elle sut que Myriam allait aller à la crémaillère de William elle se dit que c'était le moment. Cela pouvait paraître étrange mais Julie savait crocheter les portes. Un jour elle avait perdu ses clefs et au lieu d'appeler un serrurier comme tous le monde aurait pût le faire, elle avait ouvert sa porte avec un trombone, cela lui avait prit plus de deux heures mais elle réussit. Elle décida par la suite de s'entraîner pour maîtriser cela à la perfection. Cela pouvait sembler étrange mais Julie avait souvent une pensée tellement différente de la masse. Elle réussit sans trop de difficultés à crocheter la porte de Myriam. Elle vola les enregistrements. Elle eût plus de mal à refermer la porte. Elle entendait quelqu'un monter. Elle se dépêcha. Elle réussit juste à temps. Elle partit et se dirigea vers chez elle. Elle avait hâte de découvrir le contenu des enregistrements. La nuit était tombée. Un homme apparut devant elle armé d'un couteau. À l'évidence le lieu où vivait Julie était plus dangereux que ce qu'il semblait. "Donne moi ton sac et vite!" dit l'homme. Julie le reconnut. "Tu es celui qui a pissé sur la tombe de Matt ! Tu t'es reconverti dans le vol ?" il sourit "Je fais bien des choses mais on est pas là pour parler de mon curriculum vitae" cela étonna Julie qu'il dise cela d'une telle manière. "Ecoute, tu veux de l'argent je te le donne mais laisse le contenu de mon sac tranquille." elle plongea sa main dans son sac pour prendre son portefeuille. L'homme s'approcha. "Lève ta main, pose ton sac par terre et barre toi maintenant, sinon je te plante." le sang monta à la tête de Julie. Elle ne voulait pas perdre les enregistrements ni ses papiers d'identité. Mais elle ne pouvait pas prendre de risque avec sa vie. Elle retira sa main et partit. Dans la pomme de celle ci il y avait sa carte d'identité. Elle était terriblement déçue d'avoir perdu les enregistrements. Elle se demandait comment elle allait expliquer ça à John