New born

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Myriam était au téléphone avec la gardienne où John était entrain "d'emménager ". "Tu ne peux rien faire pour éviter cela ? Tu te rends compte du danger de le placer là ?" "Myriam,je sais bien mais il faut que tu comprenne, tu connais l'état des prisons en surpopulation, je n'ai aucune place ailleurs je n'ai aucune marge de manœuvre, je suis désolé." "Dans ces conditions tu peux m'assurer sa protection ?" "Ce n'est pas plutôt son codétenu qu'il faudrait protéger? Je veux dire, ton copain a tué quelqu'un." "Lui aussi est enfermé pour meurtre que je sache." "Ne t'inquiètes pas Myriam je m'occuperais personnellement de sa protection." elle raccrocha. John était conduit dans sa cellule. Il avait sa tenue de détenu. Il avait été fouillé de toutes parts, il se disait que dans des conditions normales il se serait sentit humilié, mais là non. Il regardait autour de lui et se disait qu'ici était son nouveaux chez lui. Étrangement cette environnement semblait être pour lui une seconde naissance, comme si il s'éveillait une nouvelle fois au monde. Et malgré le caractère peu rassurant et aussi paradoxal que cela puisse paraître il se disait qu'ici il pourrait réfléchir calmement. Si tout ceci était sa maison, il approchait alors de sa chambre. Le maton ouvrit la grille et un rictus presque moqueur trahit l'étonnement de voir cette personne ici. "Je te laisse faire connaissance avec ton codétenu, et ne vous disputez pas pour le lit du haut." dit le matons sur un ton moqueur. En réalité le codétenu était plus étonné que John. "John je..." Thomas ne trouvait pas les mots. John remarqua les différentes blessures de Thomas, à l'évidence sont statut d'ancien policier n'était pas bien vu ici. Il constata aussi le fait que Thomas essayait de s'exprimer tant bien que mal. "Tu as entendu le monsieur, ne nous disputons pas, je prends le lit du haut." John s'installa. "Je suis désolé. Je n'ai jamais pût te le dire, mais saches que je lui suis." "Ça me touche, sincèrement, je vais donc me montrer honnête, pour être franc je ne suis plus aussi calme où même raisonnable qu'avant, donc je vais te prevenir pour que tu sois bien conscient, si un jour je suis de mauvaise humeur, que je me suis levé du mauvais pied ou juste qu'il m'en prend l'envie, je te trancherais la gorge. Et si je n'ai rien pour te la trancher je te mangerais le visage avec mes dents." John lui montra ses canines. "Crois moi elles sont plus aiguisées qu'elles n'en ont l'air.

Fate And LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant