Tu seras mienne, parole de Maraudeur

Chapitre 3:Remise en question

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J- Je suis...

Marl- Non, tais toi !dit-elle en me coupant plus énervée que jamais. Tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenu...

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CLAC !!!

Je me prit une clac monumentale de Mckinnon et Elle et Alice me gratifièrent d'un regard noir avant de sortir retrouver Lily.

Cette claque je l'avais mérité je lui est fait mal.Je me rendais compte que se que m'avait dit - ou plutôt criée- Evans, était vrai, elle avait raison : Premièrement, Je ne lui montrait pas qui j'étais vraiment mais seulement la façade – fait de blague et d'arrogance – que je montre aux gens habituellement. C'est vrai que mise à part les Maraudeurs, personne ne sait qui je suis réellement. Et je doit l'avouer que j'ai peur de détruire cette façade pour que les gens me voient tel que je suis. Deuxièmement, Je suis c**- elle ne l'a pas dit mais je sais qu'elle le pense. Troisièmement, Je ne la connaît pas vraiment et en réalité je n'ai jamais appris à la connaître. Et en plus, je l'a fait souffrir et rien que d'y penser j'ai envie de sauter par la fenêtre. Elle avait raison, je ne vaux pas mieux que se Servilus de malheur. Qu'es que je m'en veux de lui faire tend de mal alors que je l'aime à ne rêver que d'elle la nuit. PUTAIN QUEL C** !!! pensai-je à haute voix.

P- Euh ça va ? Se risqua Peter en fessant une grimace.

J- Non !

Et je partie à mon tour du compartiment, les laissant seuls.

Une fois à l'extérieur je croisa Frank.

F- Salut James, T'aurais pas vu Alice ?

Pour toute réponse je lui pointa le couloir à ma gauche. Il allait partir quand il se ravisa et il se planta en face de moi.

F- Euh... ça va ?

J- Non...

F- C'est Lily, hein ?

J- Ouais

F- Et...dit-il pour que je lui explique ce qui c'était passé

Frank était un bon ami avec de bons conseils alors je décida de lu raconter se qui c'était déroulé il y a à peine quelques minutes devant ce même compartiment où nous nous trouvions actuellement.Puis je conclus :

J- Et je suis le plus gros con du monde des sorcier

F- Dis pas n'importe quoi enfin, il y a toujours se bon vieux Malfoy dont sa connerie est inégalable.

Je souris doucement en le remerciant pour ses paroles toujours pleines de sagesse, il rit doucement, il allait ajouter quelque chose mais je le devança, mon sourire sincère disparut et laissa place à un sourire coupable et désolé puis j'ajouta :

-Et... Pour Alice je suis pas sûr que ça soit vraiment le moment.

F- c'est pas bien grace j'ai toute l'anné devant moi, c'est pas urgent.

Du Frank tout craché, je savais il avait envie de la voir, que c'était même la seul chose au monde qu'il désirait mais il ne dit rien. Il savait que je me sentais déjà assez coupable comme ça et qu'il n'avait aucunement besoin d'en ajouter.

J- Sirius est partit rejoindre Lily, Tu crois qu'il m'en veut ?

F- Non c'est im-pos-sible. Vous êtes comme les deux faces d'un gallion tout les deux. IL ne peux pas t'en vouloir ...

Je sais que Frank a raison mais en même temps je me dit que si Sirius m'en voulais je ne pouvais pas l'en blâmer car c'était MOI le fautif.

J- Putain, Pourquoi es-que je doit toujours jouer au con. Dit-je en tapant contre la fenêtre du couloir.

F- Tu veux peut-être que je te laisse seul ?

J- Ouais, j'ai besoin de réfléchir.Mais merci pour tout ce que tu m'as dis,t'es vraiment un pote. Lui dis-je en lui faisant un faible sourire et en le frappant amicalement sur l'épaule.

F- De rien les amis c'est fait pour ça. Et te torture pas trop comme même.

J- Hum,Hum...

F- Bon, bah je te laisse à tes pensés. A plus.

J- Salut.

Et Frank retourna de la où il venait pour retourner , certeinement, dans son compartiment.

PDV Lily :

Elles étaient toutes autour de moi, elles essayaient chacune de me réconforter sans grand succès. Je n'en pouvais plus, j'étais à bout. Cet arrogant de Potter qui me mettait hors de moi sans raison et en vérité il n'avait pas fait grand-chose, il n'avait même rien fait du tout, en faite . Il a même eu la gentillesse de mettre fin à ce début de dispute que j'ai provoquée. Il n'avait rien fait, ni rien dit avant que je le provoque. Sirius venait d'arriver et me tira de mes penser.

S- ça va ?

L- Pourquoi Sirius, pourquoi ?

S- Parce que tout ça te touche même sans qu'il intervienne. Et tu n'a pas envie qu'il te crois faible et puis je sais que tu l'aime bien plus que tu veux bien l'admettre. Me murmura-t-il à l'oreille en me serrant contre lui pour me bercer .

L- Tu devrais peut-être aller le voir. Lui chuchotai-je, ma tête posée sur son épaule.

S- Il ne pleure pas que je sache.

L- Justement Sirius, tu ne le sais pas.

PDV Sirius :

S- Et merde ! Soufflais-je

Depuis 6 ans que je le connaissait, James avait toujours était là pour moi, jamais il ne m'aurait laissé tomber (même pas pour une fille). Et même si Lily est mon amie, James est mon frère, mon frère de cœur et ça, ça passe avant tout le reste.

S- Tu ne m'en veux pas si...

L- Va-y. Me chuchota-t-elle avec un faible sourire

S- Merci.Chuchotai-je, avant de lui faire un bisou sur le front et de partir chercher mon frère de cœur, qui m'en voudrait peut-être à l'heure qui l'est.

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Je le trouva là, devant le compartiment, il avait un mélange de tristesse et de colère dans le regard. Aller je me lance.

S- Désolé...

Il tourne la tête et je vois dans ses yeux de la surprise puis de incompréhension.

J- Désolé de quoi ?dit-il d'un air perdu.

S- De t'avoir laisser tomber.

J- Tu as bien fait parce que ...

S- Ne joue pas à ça avec moi. Je sais très bien à quoi tu pense et même Lily ne passera jamais avant toi. Tu m'entend ?! Les frères d'abord !

J- J'ai fait le con, hein ?

S- Pas autant que tu le crois. Disons juste que tu as accéléré l'inévitable.

J- Tu crois ? Me demande-t-il avec espoir

S- J'en suis sûr. Attend demain, présente lui des excuses, si tu veux et voilà. C'est pas votre 1ère dispute de toute façon.

J- Ouais, ça c'est sûr. Dit-il un peu dépité

S- Aller viens on va aller mettre nos robes, on va bientôt arriver.

J- Ouais...Eh Patmol ?

S- Oui

J- Comment elle va ?

S- Pas pire qu'hier Cornedrue, pas pire qu'hier. Dis-je en le prenant par l'épaule.