Chapitre 4 : De retour à la maison

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PDV Lily

A- ça va mieux ? Dit-elle doucement comme pour ne pas me priser et que je me met à nouveau à pleurer.

L- Oui. dit-je avec un faible sourire

M- C'est repartie pour une nouvelle année ! dit-elle plein d'enthousiasme, bras dessus bras dessous avec Alice et moi .

Nous descendîmes du train et nous prenions une diligence apparemment tirée par des sombrales mais aucunes de nous ne les voyait. Une fois arrivées devant les grandes portes de Poudlard, je m'écriai

L- Enfin de de retour à la maison.

A-Que c'est dramatique. Dit-elle avec un air faussement peinée.

Pour toute réponse je lui tira la langue.

M- Je vois que tu va mieux ça fait plaisir.

Je lui fit un clin d'œil au moment où nous pénétrons dans la grande salle. Oui je souffrais de tout mes problèmes mais être à Poudlard en présence de tout mes amis ne pouvaient me faire que du bien. Je sortie de mes pensés quand les premières année entraient dans la grande salle. Je me rappela que je n'avait pas besoin de retenir leur prénoms puisque c'était les préfets de 5 ème année qui les conduiraient dans leurs salles communes. Je me replongea donc dans mes pensés. Je n'aurais pas dût m'énerver pour une chose aussi futile, pour une fois qu'il fait de son mieux pour ne pas m'énerver... J'ai eux l'impression qu'il me traitait comme une petite chose fragile, déjà que mes amis le font, je les aime mes amis mais je ne veut pas de leurs pitiés et encore moins celle de Potter. Je crois que en réalité c'est ça qui m'a énervée.... Et ce que m'a dit Sirius, que "je l'aime bien plus que je veux bien l'admettre", qu'es que ça veux bien dire ?! Une voix me tire de mes pensées.

M- Tu ne mange pas ?

L- Hein...je...euh...oui dit-je légèrement perdu.

A- Si tu ne mange pas je te ferais manger de force.

L- Non merci, c'est pas la peine, j'étais juste dans mes pensées.

M- Ne te torture pas l'esprit Lil'.

L- Ne t'inquiète pas je pensais juste à...

A- A quoi ?

L- Vous entendez

M- Il n'y a rien Lil' arrête de changer de sujet.

L- Oui exactement il n'y a rien, pas un bruit suspect... dit-je pensive

A- Oui et ...

L-Où sont passés les maraudeurs ?

M- Quoi, Ils te manquent ?

L- Non, je me demande juste où ils peuvent bien être, ils ne ratent jamais une occasion de manger.

Le professeur Mcgonagall interrompit avant que je n'ai approfondit mes recherches sur se que faisaient les maraudeurs.

Mcgo- Excusez-moi Miss Evans, auriez vous vu Mr.Potter par hasard.

L- Désolé professeur mais je n'ai pas vu Potter depuis que le train est arrivé à Pré-au-lard. Je crois qu'il n'ai pas venu manger.

Mcgo- Je me disais bien que c'était un peu trop calme. murmura-t-elle plus pour elle que pour moi même si j'ai entendu, elle poursuivit : Merci comme même Miss Evans et bonne fin de soirée dit-elle sûrement déjà dans ses pensées.

L- A vous aussi Professeur.

Et Mcgo partit.

Avant que j'ai le temps de leur dire que j'avais raison Alice dit :

A- ça vous dit on va dans notre dortoir.

M- Bien sûr ma ptite marmotte. dit-elle plein de joie comme a son habitude.

Pour toute réponse elle lui tira la langue et nous montions dans notre salle commune.

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L- Mandragora ! dit-je à la grosse dame et elle pivota.

A- J'aime tellement cette salle, si chaleureuse et accueillante.dit- elle en m'imitant de façon niaise.

L- Hé euh.dit-je en faisant une fausse moue contrariée.Tu es méchante.

A- Oui, oui c'est ça. Viens plutôt.dit-elle en me tirant dans notre dortoir où les filles y était déjà.
À peine rentrée j'entendis Marlène criée:

M- Réunion !

A- Je suis là, j'arrive et je suis même accompagnée par le sujet de notre petite réunion.

L- Hé...euh ... Je suis pas un objet je vous signale. dis-je boudeuse.

M- Ça c'est sûr ! Les objets, eux ne peuvent pas être triste comme tu l'es aujourd'hui... Et ne nie pas. Dit-elle avant que je puisent parler.

Toute la nuit, nous parlions de nos vacances - et bizarrement plus des miennes-, des cours, de mes problèmes, des mecs ( bah quoi on est des filles toute même ); de gens agaçants comme Potter et ses groupies de malheur qui ne font que glousser à longueur de temps, puis des choses et d'autres plus ou moins triste ou plus ou moins drôles. Et durant cette soirée à rire et à pleurer ensemble je me suis rendu compte à quel point j'étais contente d'être ici avec mes deux meilleures amies.

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PVD de James

Cependant, chez les Maraudeurs l'ambiance était quelque peu différente.

S- Allez James !! Arrête de déprimer.

J- Mais elle et triste par ma faute. dis-je en mettant mes mains devant mon visage pour cacher ma tristesse et mon désarroi.

S- Et bien trouve un moyen pour qu'elle ne le soit plus.

J- Tu pense à quelque chose en particuliers. dis-je en levant la tête et en le regardant plein d'espoir.

S- Tu es un Maraudeurs, James, agis comme tel. Dit-il d'un air solanaine

R- Mais c'est qu'il devient philosophe le p'tit Patmol.

S- Je l'ai toujours été, enfin, mon p'tit Lunard.

R- Mais oui, bien sûr on va te croire

S- Bien sûr ! dit-il plein d'enthousiasme avant d'éclater de rire bientôt suivit par le reste des maraudeurs.

Peter fut le premier à se calmer et il s'exclama :

P- Tout ça est bien drôle mais comment réussir cet exploit ?

J- Un peu d'imagination Peter.

Et les idées allaient de bon train jusqu'à que Sirius s'exclama :

S- Je sais.

J- On t'écoute. dis-je plein d'excitation en attendant que mon frère de coeur ne parle.

S- Nous savons tous qu'Evans t'accuse de ne pas l'écouter alors pour une fois on va écouter se qu'elle a dire.

R- Où tu veux en venir Patmol.

S- Cornedrue, tu te rappelle se que Lily ta dit.

J- Oh je crois savoir où tu veux en venir.

S- Alors qu'es que tu en dit, Cornedrue ?

J- Je dis que sa fait longtemps que Poudlard n'a pas entendu les doux crie mélodieux d'Evans.

P- Es-que quelqu'un peut nous expliquer ? non, parce que j'ai rien compris et je pense sincèrement que Remus et dans le même cas que moi.

R- En effet, se serais gentil de votre part de nous expliquer.

J- Alors...

Et ils discutèrent toute la nuit de leur plan et de se qui valait utiliser. Et même si il fallait se lever tôt pour mettre se plan à exécution, le jeu en valait la chandelle.  

Tu seras mienne, parole de MaraudeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant