chapitre 10

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PDV MICHEAL

Quand O'Brien quitta l'appartement de mon ami, je reste ici quelques secondes et parti à mon tour. Dans la rue je me dirige vers le bâtiment de la prison SONA pour allé chercher Linc. Une fois devant, je regarde la prison de l'extétieur et je me dis comment on peut allé là dedans? Bon, la réponse je pensais l'avoir mais je n'étais pas sûr. Je rentre dans le bâtiment et dis au gardien
Moi: euh...je viens chercher mon frère Lincoln Burrows.
Sans même me regarder il me répond.
Gardien: qui être vous? Il lève la tete et finalement me regarde et se repris aussi tôt a oui! Excusez moi je- il se stop net.
Au même moment, de loin, je vis le jeune homme qui était venu me voir en cellule. Il m'avait l'air gentil au premier à bord, Newt je crois que c'est comme ça qu'il c'est présenter au téléphone l'autre fois.    
Quand ce Newt s'avance vers moi pour sortir du bâtiment, il me vit et me fais signe de venir avec lui à l'extérieur. Je sentais sur son visage, que quelque chose n'allait pas, mais je le suit et sorti dehors à mon tour.
Newt alla dans un coin et se retourne d'un air énerver.
Newt: toi et ton frère, vous allez vous barrer d'ici. Dylan ma dit que tu lui avait montrer une caméra sur son frère qui se fais abattre par ce T-Bag. Pourquoi ta voulu l'aider?! Me fit il d'un ton énervé.
Moi: mon frère ne tue pas des gens! Lui répondit je C'est pour mon frère que j'ai fais ça pas pour ton patron!! Sur un ton sec. Je m'en fou de votre patron, c'est clair?
Newt: Dylan n'est pas mon patron.
Moi: cool! Mais je m'en fiche encore plus. Patron ou pas, il se démerde! Ok? Je fis une pause dans mes paroles et repris en m'avançant vers lui d'un pas rapide maintenant, dis moi ou est mon frère!?
Newt: il est parti il y a cinq minutes.
Moi: par où est il aller?!
Newt: je n'en sais rien! Dégage de ma vue. Me dit-il en partant.

Je soupir et commence à partir à la recherche de Linc, mais je voulais d'abord appeler Sara et lui dire que j'allais bien enfin mieux mais, je venais de me rendre compte que je n'avais pas de téléphone sur moi. Pourtant je suis sur que je l'avais avant que tout ça n'arrive. Je décide avant toute chose, d'aller à l'hôpital voir Sara pour la rassurée et lui dire que je vais bien, ensuite je partirais chercher Linc.
Dans la rue les passants me regardaient d'un air bizarre, comme si j'était un clochard. Bon, c'est vrais que je ne mettais pas laver depuis que j'avais était kidnapper, enfin bref.

Je marche depuis quelques minutes et je sentais qu'on m'oberservais. Je décide de marcher plus vite mais j'avais toujours ce même sentiment que quelqu'un me suivait, et je fini par courir en tournant à l'angle de la prochaine rue, puis de celle d'après. Je vérifie si elle ou lui me suit mais personne à l'horizon. La personne qui me suivait n'était plus la, sans doute par ce que je l'avais semé.
Je me retrouve devant le bâtiment de l'hôpital ou travail Sara ouf arrivé! Me disais je.
Je rentre et cherche Sara du regard. Personne.
Une dame était l'accueil qui était au téléphone me regarde. Elle raccroche et se lève de son fauteuil.
Dame: bonjour Monsieur. Je peux vous aidez? Ajouta elle en me souriant
Moi: euh oui je m'avance jusqu'à son bureau je cherche le docteur Sara Tancredi enfin Scof-
Dame: ah oui elle est en soins intensifs au 2 ème étage.
Moi: merci en lui souriant
Je me dirige vers l'escalier pour monter au 2 eme étage. Sur la porte je vit écrit soins intensifs. Je ne m'étais pas tromper c'est bien ici, je pousse la porte et entre dans le service.
Ce service de soins était lugubre, on sentait que la mort n'était pas loin. Les murs était blancs et il y avais des brancars par tout.
Je vis des infirmières qui courraient partout comme si il y avait une urgence.
Infirmière: vite! On l'emmène au bloc d'urgence! Il nous fais une crise cardiaque! Elle se précipite dans les couloirs et tenais un truc pour que le patient respire.
Dans le tas des infirmierès, je vis Sara qui me regarda en coup de vent et qui suivit les autres en courant.
Sara: Mélissa, s'il vous plaît allez prévenir son fils...je sens qu'il n'en à plus pour tres longtemps! Ajouta elle précipitamment.
Mélissa: oui, tout de suite elle alla dans le burreau des infirmière et appela le fameux fils du patient malade.
Comme je n'était pas très loin du bureau du coup, j'entendit la conversation téléphonique de cette Mélissa.

Conversation téléphonique:

Mélissa: bonjour, Monsieur O'Brien?
O'Brien: ....
Mélissa: c'est l'hôpital. Vous devez venir, votre père fait une crise cardiaque..
O'Brien: ....

Fin de la conversation:

Elle raccroche et se précipite vers une porte où il y avait marquer " bloc opératoire". Je me souviens du nom qu'elle a dis avant de raccocher.
O'Brien. Mais bien sur! C'est lui qui m'a kidnappé mais aussi libérer de sa "prison". Je décide de rester un peu pour voir si Sara viendrait et l'embrasser, ce qui me fis sourire.

Un peu plus tard dans l'après midi, Sara n'était toujours pas sortie du bloc. Ça commence à m'inquièter car je trouvais le temps long. Tout a coup, je vis O'Brien pousser la porte en vitesse et courir vers le bloc.
Il avait l'air très stresser et en panique. Mais que se passait t-il? Pour quel personne était il en train de courir? Sans doute son père, oui c'est ça. Mais si c'est son père? Pourquoi appeler seulement son fils et non pas aussi sa femme?   

PDV SARA

Nous étions, mes collègues et moi même au bloc car un de nos patients est très malade. Il a un cancer généralisé et ce matin il nous fais une crise cardiaque. J'ai du demander à Mélissa d'appeler son fils pour que son père puisse lui dire au revoir.
Moi: allez... s'il vous plaît...respirez monsieur... en lui faisant du bouche à bouche oh ce n'est pas vrais ... il ne respire plus! Criais je
Mélissa arrive à ce moment la et me dit
Mélissa: j'ai prévenus son fils il n'arrive que dans deux heures car il est loin. Qu'est ce qu'on fais?
Moi: tout ce qu'on peut... toujour en massant le patient

2H plus tard

Cela fait presque maintenant deux heures que mes collègues et moi même essayons temps bien que mal de maintenir le père de Monsieur O'Brien en vie mais malheureusement le coeur de se pauvre homme viens de lâcher.
Je regarde mes collègues et leur dit du regarde que c'est fini, qu'il n'y a plus rien a faire.
Moi: on aura fais tout ce qu'on a pu.. heure du-
Je ne pu fini ma phrase que j'entendis un bruit fort dans les couloirs.
Infirmière : qu'est ce que c'est?
Moi: je euh..bon Rachel faites le diagnostique je vais voir.
Je marche en direction du bruit et entendit Rachel.
Rachel: heure du décès, 15h45.   

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Chapitre fini ;)
Merci à tous de lire ma fiction :)
  

Dans La Peau De Michael Scofield [ TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant