chapitre 11

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PDV DYLAN

L'infirmière de l'hopital ma appeler et je sentit à sa voix que quelque chose n'allais pas. Je raccroche en lui disant que je ferais tout mon possible pour être la dans les derniers instants de mon père car j'étais a 2h de l'hôpital.

Je part du bureau et pris ma voiture en direction de l'hôpital. Sur le chemin je me sentait pas bien mes mains tremblaient sur le volant et je me pose une question. Pourquoi mon père était sur le point de mourir? Certes, il était malade mais des infirmières que j'avais eu au téléphone quelques jours avant mont dis qu'il allait mieux. Il faut que je sache ce qu'il c'est passé!
Une fois sur place je gare la voiture sur le parking, inspire profondément  et sort de la voiture, la verrouille puis rentre dans le bâtiment blanc de l'hôpital. J'envoie vite fais un message à Lydia et lui dis où je suis. Je m'avance vers la dame de l'accueil qui  était âgée d'une soixantaine d'années châtain les cheveux relevés en queu de cheval et lui dit
Moi: bonjour je suis Monsieur O'Brien je viens voir mon père...
Dame: oui bien sur, quel est le nom de votre père?
Moi: Patrick.. Patrick O'Brien dis-je précipitamment
Dame: oui je vois, allez y il est en soins intensifs au 2e étage.
Moi: merci.

Je me précipite au 2e étage en montant par les escaliers. Je vois sur la porte "soins intensifs" je la pousse brutalement pour entré et vit Scofield assis sur une chaise, la tête posée sur ses mains. Mon coeur battait à cent à l'heure. J'avais peur.
Je vis des infirmières qui couraient dans tout les sens allant d'une chambre à l'autre.
Moi: qu'est ce qui se passe? Dis je sans vraiment comprendre
Michael: un patient viens de mourir je crois en regardant devant lui comme si il ne m'avait pas vu.
Je tourne la tête vers lui et répondi
Moi: comment ça? Quel patient?   
Michael: j'ai entendu une des infirmières qui disait que c'était votre... en tournant la tête de mon côté
Moi: mon...mon coeur rate un battement par ce que je pensais entendre non! Non!
Tout à coup un sentiment de rage me fit perdre le contrôle que je me retourne et mis un grand coup de poing dans le mur blanc de l'hôpital qui était derrière moi, puis posa la tête contre celui ci.
Une infirmière arrive juste à ce moment la, je ne me retourne pas encore car je ne pouvais pas croire une telle chose.
...: Monsieur O'Brien?
Je pivote brusquement vers elle et la reconue tout de suite, c'est le docteur Tancredi. La dernière fois c'est elle qui m'avait soigner et dit les choses dont j'avais besoin à propos de T-Bag. Elle ne me dit rien de plus mais baisse la tête.
Je savais. Je su mais je ne voulais pas y croire. La tristesse viens s'installer en moi et je me mis à trembler de tout mon corps.
Moi: NON!! J'en avait les larmes aux yeux ce n'est possible, pas lui!! Hurlais-je
Il fallait que j'évaqut tout ce manque, cette rage, cette peine. 
Sara: je suis désoler il a fermé les yeux il y a quelques minutes ajouta-elle doucement 
Moi: je veux le voir! Grogne ai-je sous la peur C'est impossible...vous ..m'avez dit...il y quelques jours... qu'il... allait mieux... Bafouilaige
Sara: on a fait tout ce qu'on a pu. Essayer de...Calmez vous en me regardant droit dans les yeux
Moi: me calmer?! Vous voulez que je me calme? Comment?! Je viens de perdre mon père vous comprenez! Je sent que je n'allais pas tenir longtemps à retenir mes larmes, mais il fallait que je montre aucunes émotion, du moins je devais essayer devant Scofield
Je regarde Michael pendant une seconde puis fini par m'assoir a côté de lui la tête entre les mains. "Retient-toi Dylan" me disais-je au fond de moi.
Sara: écoutez, vous pourrez revenir demain matin mais la je ne peux vous laissez le voir...je suis désoler me dit elle en s'agenouillant devant moi, puis elle repartie en disant
Sara: Micheal, je fini dans trente minutes tu veux rester?
Michael: oui bien sur, je tattends la.
Je les entendient parler mais je n'écoute pas leurs conversation.

Toujours la tête entre les mains, je veux me retenir pour ne pas pleuré mais c'est trop dure, j'éclate soudainement en sanglot avec un petit couinement, mes larmes se mirent à coulées sur mes joues. Je ne pouvais pas les retenir plus longtemps. Mon coeur se déchira en milles morceaux. Je n'étais pas la.
Quand il est mort, je ne suis pas rester au près de mon père. J'aurais du. Je sent une main se poser sur mon épaule mais je fais rien. La tristesse m'envahie un peu plus chaque seconde, les larmes qui coulaient sur mes jouent puis allant jusqu'au sol avaient pratiquement formées une petite flaque. Je relève la tête, la tourne légèrement et voit que la main apartenait à Micheal qui ne dis rien et me regarde. Je pleurais tellement que j'en ai les yeux rouge.
Michael: je suis désoler pour votre père...
Je ne répond rien et me lève brusquement en partant vers la sortie. Les personnes de l'hôpital me me regarde avec l'air désoler comme si ils savaient tous que mon père venait de fermer les fermer les yeux pour toujours.
Je sort du bâtiment, et me retrouve dehors, je regarde un peu partout et vit des centenaires qui appartiennent  sûrement à l'hôpital était dans un petit coin. Je me dirige vers elles d'un pas rapide, arriver devant je leur donne des coups de pieds assez fort. A cet instant, j'avais envie de tout démolir, je pris une poubelle et la pousse violemment contre le mur pour qu'elle tombe. Je pris une autre et fit la même chose tout en pleurant, hurlants à pleins poumons. Je met mes mains sur le mur et baisse la tête tout en pleurant et fini par serrer le poing de la main gauche et donne un coup de poing dans le mur en face de moi.
Je frappe. Je frappe encore mais avec plus de forces dans mon élan. Je refappe une fois, puis une autre. Le sang commence à prendre place sur le mur mais je m'en fiche. 
Je sens mes phalanges heurté le mur et la douleur commence à venir. Je frappe encore une fois ignorant les passant de l'hôpital qui me regarde. J'arme mon poing et redonne un coup à nouveau et un cris de douleur atroce sort de ma bouche en pleurant.
J'allais remettre un autre coup quand quelqu'un me pris par les épaules et me recule du mur.
Moi: lâchez moi! Criais je en me débattant sans savoir qui c'était
...: Dylan stop! Sa suffit...
Je n'écoute pas la personne et réussi à me dégager de son emprise et me retourne vers elle.
Newt.
Newt: Dylan s'il te plaît-
Moi: Non! Il est- je commence à partir mais il me retient par le bras lâche moi! Sur un ton sec
Newt: Dylan tu vas où?
Moi: je t'es dis de me lâcher! Le regard dure.

Il me lâche le bras et je pars vers la voiture pour rentre chez moi. Je monte dedans du côté conducteur et la démarre. 

     

Dans La Peau De Michael Scofield [ TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant