5 : Le retard.

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2 jours , de long jours que j'essaie de ne pas reprendre cette lame qui cri mon nom , chaque fois que J'entre dans ma chambre.

Je n'en peux plus , le bien que j'ai ressenti quand elle a toucher ma cuisse , je ne l'ai pas ressenti depuis plus d'un mois.
Qu'elle horreur. Je n'en peux plus.
J'en ai besoin.

Je suis sous la douche , et mon père me demande de me dépêche pour ne pas arriver en retard en cours.
Cela ne prendra que quelque seconde apres tout...

-' Molly , tout va bien ? '

Je rassure mon père a travers la porte et sors finalement de la douche.

Aujourd'hui , c'est lui qui me dépose.
Une fois prete nous partons donc.

Je marche dans le couloir du collège tête baisser et les mains tremblante.
Je suis en retard , et cela me fait peur.

J'entend du bruit derrière moi. Alors je me retourne et fais face a mes "amies" .

-' Regardez qui est retard les filles.'

-' Salut les filles...'

-' A parce que tu parle toi maintenant? '

-' je..'

-' Ho ta gueule , si tu crois qu'on en as quelque chose a faire de ce que tu penses !'

Je baisse les yeux , que je mettais permise de lever, pour voir qui etait derrière moi.

-' Bien sur qu'on en a rien faire de ce que tu pense. Qui , pourrais s'intéresser a toi? Hein ?! Personne !'

-' On se demande qu'est ce que tu fou sur terre ma pauvre '

Deux d'entre elle se mette a mes côté.
L'une,  regarde mes cheveux , elle les attrapes et les tires en rigolant tout en disant des phrases tel que " bah ! C'est quoi ca ? Tu connais le shampooing ou pas ?"
C'est peut être nul comme phrase , mais ça m'ateint quand même. Et elles le savent. L'autre m'éxaminent de haut en bas en se moquant de ma tenue. Les deux autres sont toujours face a moi , a macher leurs shewing gum .

Les deux filles " au shewing-gum" , on subitement la même idée.
Elles l'expliquent au deux autres pendant que moi je les fixes ne sachant pas quoi faire.

Rapidement,  elle m'attrape et me traine jusque dans un coin cacher.
Seule une des 4 deigne me lacher .
Mais seulement,  elle sort un ciseau de son sac. J'ai tout de suite compris.

-' Non ! Ne fais pas ça! '

-' Ta gueule on va t'entendre. '

-' Et arrête de chialer ta pas deux ans.'

Elle rient toutes ensemble et mes cheveux floterrent dans les aires avant de s'écraser sur le sol.
Mes larmes inondent mes joues .
Une fois qu'elles ont finis leur jeu , je recois quelques coup dans le ventre avant de finir seule dans ce coin qui m'est inconnue.

Je me recroqueville sur moi même  , et me balance , tentant de me bercer pour calmer mes larmes. Mes long cheveux , m'arrivent maintenant aux épaules.

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Le sentiment de ne pas être aimer , et la plus grande des pauvretés.


●M●

L'encre de ma lame. {TERMINEE}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant