Save Youth- Chapitre 23

155 8 2
                                    


C'est ça le pire, avec la peur. Ca réveille en nous ce qu'il y a de plus laid.La peur sape toute logique                  → † ←


Harry ce réveilla la boule au ventre ce matin là. Il observa Niall dormir paisiblement a ses cotés. A ce moment là il comprit qu'il ne devait pas s'inquièter parce qu'il n'était plus seul face a cette épreuve. Niall serait a ses cotés, son doux regard océan posé sur lui. Il savait que ce serait dure, douloureux mais grâce à Niall ce serait supportable. Après cela il pourrait avancer, il pourrait tirer un trait définitif sur les cinq dernière années de sa vie et envisager un futur. Un futur ou il ne serait plus seul, un futur ou il n'aurait plus peur, un futur ou il pourrait vivre, ou il n'aurait plus a survivre. Un futur ou il n'aurait plus envie d'en finir avec sa douloureuse vie, ou il n'aurait plus cette impression de vide immense. Ou il pourrait, qui sait, profiter du restant de sa vie. Après ce moment douloureux il serait un homme libre, libre de grandir, d'aimer, de ce construire. Il allait enfin pouvoir ce libérer de sa douleur, la laisser s'en aller sans la retenir prisonnière. Il ce leva, ce dirigea dans le couloir et monta au dernière étage pour rejoindre le toit. Il s'installa par terre et observa le jour ce levé. Un magnifique soleil s'installer. Le signe d'un nouveau départ, peut être. Assis en tailleur par terre il fixa l'horizon. Il était passé par tellement de douleur. Il avait touché le fond tellement de fois. Avait encaissé tellement de coups, que bien souvent son corps lui rappelait. Il avait vécu des moment de souffrance insurmontable. Avec l'envie de ne jamais revoir le soleil ce lever. Et pourtant aujourd'hui il était encore la, vivant, il pouvait respirer a plein poumons. Il pouvait regarder l'horizon et trouvé cela magnifique. Il pouvait aimer a s'en arracher le cœur sans avoir peur d'une chute. Il n'avait plus peur. Il n'avait plus mal. Lui, Harry Styles cet enfant dépressif, torturé, maltraité allait bien. Il allait bien. Il ferma les yeux et de douce larmes perlèrent sur son visage. Des larmes de joie car il ce rendait maintenant compte qu'il était un rescapé. Qu'il avait survécu l'insurmontable, qu'il c'était autorisé à aimer, a être heureux. Il pouvait maintenant regarder l'horizon et voir l'avenir. Il n'avait plus envie de pleurer pour un passé auquel il ne pouvais de toute façon rien changé. Par contre il pouvait changé sa destiné. Il laissa la brise matinal caressé sa chevelure, faire frissonner son doux visage.Il avait changé le cours de sa vie. Il était devenus un adulte. Il avait grandit et remerciait du plus profond de son cœur ces personnes qui avaient changé le cours de sa vie. Madame Scoll qui c'était battus pour l'aider a s'en sortir. Zayn, Liam, Louis qui avaient toujours été la pour lui. Qui ne l'avait jamais abandonné puis Niall qui avait remis en question sa vision du monde, qui lui avait montré l'amour et la patience. Ils étaient sa famille, sa vrai famille.

Il observa une dernière fois l'horizon avant de redescendre dans sa chambre ou Niall dormait encore. Il ce glissa a côté de lui pour ce serrer contre lui, embrassant doucement sa joue. Son aîné souri avant d'ouvrir doucement les yeux.

- Déjà debout ? Demanda l'irlandais d'une voix endormis.

Harry sourit. Niall était une véritable marmotte. Il l'embrassa chastement comme simple réponse, posant sa tête sur le torse du blond qui l'encercla de ses bras. Il était heureux, au oui Harry Styles était sur un peu nuage. Niall lui donnait la sensation d'être sur un petit nuage. Il ce sentait parfaitement bien. Et ça c'était nouveau pour lui. Des papillons dans le ventre, il caressa le torse nu de Niall. Une douceur incomparable qui berça les deux garçons, qui ce rendormirent complètement enlacé.


Madame Scoll préparait ses dossiers. C'était un jour difficile pour ses patients qui allaient revivre certain traumatisme surtout pour le jeune Harry. Elle avait peur que son patient replonge violemment dans une dépression après ce jugement, peur de sa réaction face a son père. Elle ne pouvait pas savoir la façon dont Harry encaisserait la douleur et c'était ce qui l'inquiétait au plus au point. Une rechute serait fatale pour le jeune bouclé, ça elle en était certaine.

- Madame Scoll Harry Styles et Niall Horan ne ce sont pas lever devons-nous les réveiller ? Demanda une infirmière en entrant dans le bureau ouvert.

- Laissez je m'en occupe. Répondit la psychiatre en souriant. Tout les résidents convoqué sont debout ? Et les forces de l'ordre son tels arrivé ?

- Oui les résidents sont debout et attendent dans le hall. Les camions de police sont garé dans la cours.

La jeune infirmière quitta le bureau. Madame Scoll ce cala dans son fauteuil observant la chaise devant son bureau. Elle avait si souvent vue ces patients pleurer devant elle, exprimé leurs douleurs, leurs peine. Elle avait vue des adolescent dépressif, violent, suicidaire, droguée, torturé, apeurée et malgré leur passé elle trouvait du bon en eux. Car ils l'étaient tous finalement. Ils n'étaient pas là parce qu'ils étaient dangereux, ils étaient là parce qu'ils avaient été éduquer a la violence, a la souffrance. Quand elle revoyait leurs parcours elle était fier d'eux. Ceux qu'elle considérait comme ses enfants.Liam et Louis pour commencer quand elle était rentrer a Save Youth elle c'était interroger sur leurs cas, puis elle avait compris. Ils n'étaient que des enfants. Louis avait manqué de tué son grand frère suite a des attouchements que ces parents refusaient de voir, Liam avait perdu sa mère, ce qui avait développer chez lui un refus total de l'autorité. Il c'était retrouvé seul a l'âge de dix ans avec une grave dépression. Ils étaient tous les deux gravement en danger. Elle avait appris a les connaître, elles les avaient vue grandir, s'aimer, ce détester. Elle avait comprit que quelque chose ce passerait entre eux deux. Louis comblait le manque que ressentait Liam et Liam l'avait réconcilier avec l'amour lui faisant presque oublier son passé. Ils étaient tout l'un pour l'autre. Finalement son travail n'avait pas été très important chez les deux garçons, elle avait juste été présenté pour les réconforte, pour leurs enseigner la vie, l'espoir, l'amour. Elle savait maintenant qu'ils iraient loin ensemble. Qu'ils vivraient leurs vie ensemble. Elle referma donc le dossier des deux jeunes hommes en souriant.Puis elle ouvrit celui de Zayn. Ce jeune métis un peu rebelle. Un adolescent lui aussi briser par la vie. Il avait sauver sa mère et ses sœurs d'un avenir sans lendemain. Il avait lui aussi été a deux doigts de tué son beau père. L'homme en question avait frôler la mort de prêt. Zayn avait fait de lui un légume. Le jeune métis aurait du finir entre les murs d'une prison mais la encore la juge Horan avait étudié son cas et en avait conclu qu'il méritait une chance. Les pères et beau père violents c'était son credo. Elle connaissait cela par cœur maintenant. Pourtant cet personne formidable n'avait pas mérité d'être séparer de sa famille. Et pourtant. Zayn contenait tellement de colère en lui quelle cru ne jamais en venir a bout. Puis le jeune métis c'était attaché a Harry, avait vue du bon en lui, avait pris soin de lui. Madame Scoll était formel, Zayn avait eu l'impression de sauver ses sœurs. Il avait l'impression d'être utile. Pourtant le jeune bouclé lui en avait fait voir de toute les couleurs. Combien de fois elle avait du faire face a des doutes, des craintes, des angoisse. Zayn aidait Harry comme il l'aurait fait avec ses sœur, et savoir qu'il ne pouvait finalement rien faire était quelque chose insurmontable pour le métis. Zayn était un jeune homme avec un douceur que personne ne voyait vraiment. Mais elle, elle le voyait. Elle voyait en chacun d'eux. Puis elle ouvrit le dossier Harry. Ce patient était celui qui marquerait a jamais sa vie. Pas parce qu'il avait été difficile a cerné, non c'était un cas de violence, de maltraitance banale. Mon dieu qu'elle n'aimait pas ce mot. Comment une tel cruauté en vers un enfants pouvait être banale ? Pourtant dans son métier c'était un fait. Harry était plus qu'un adolescent, dépressif, suicidaire, hystérique et déconnecter de la réalité. Il était plus que ça. Il avait un cœur surdimensionnée, une gentillesse incroyable. Il avait une soif d'apprendre. Et finalement cette soif d'apprendre allait plus loin que ça. Il avait envie de vivre. D'être heureux. Il était si bouleversant. De par sa façon de voir le monde. Souvent Harry avait remis en question sa vision de voir le monde. De voir les relations avec les gens. Harry était un homme dotée d'une humanité gigantesque. Cette humanité faisait de lui quelqu'un d'exceptionnel. Harry avait cette capacité a comprendre les gens, a les apaisé. Madame Scoll appelait cela la" magie Harry ". Chacun de ses patients était exceptionnel, mais Harry était plus que ça. Harry avait été le patient qui l'avait fait évoluer finalement. Souvent le jeune homme l'a remerciait, mais pourquoi ? Elle avait fait son métier. Certaine fois elle le remerciait. Elle le remerciait pour l'homme qu'il était avec elle. Pour l'avoir fait évoluer. Elle voulait remercier Harry pour avoir si souvent remis en doute ses conviction pour l'avoir pousser a ce surpasser. Elle voulait le remercier car elle l'avait peut être fait grandir mais lui l'avait fait mûrir. Elle referma aussi son dossier. Pour ouvrir celui de Niall. Elle avait vue en lui plus qu'un adolescent baigné a l'alcool, la cocaïne, et la haine. Elle avait vue en lui un sauveteur. Il avait fait son deuil de lui même, avait avancé. Tout cela en partie grâce a Harry. Ils ce complétaient finalement bien tous les deux. Ils étaient a deux l'équilibre parfait de la balance de leurs vie. Ils avaient sus ce surpassé. Elle boucla leurs dossier et ce leva quand elle sortit de son bureau elle trouva tous ses résidents prêts. Ils étaient prêt pour leurs dernier combat. Harry lui sourit. Un doux sourit.

A ce moment la madame Scoll comprit qu'Harry n'avait jamais été aussi sereins, aussi sur de lui. Elle lui répondit de la même façon. Maintenant elle en était certaine ses patients irait bien. Elles les regarda tous, prêt a affronter leurs tortionnaire, prêt a ce battre une dernière fois. Prêt a faire face une fois de plus a leurs passé douloureux.

Le chef de la police entra dans le hall, Niall le regarda en souriant. Il l'aimait bien cet homme a la carrure impressionnante, un visage doux et à la tendresse sans égale. Niall admirait le flic que le Chef de police était. Il l'admirait pour la patience qu'il avait eu avec lui, pour avoir été la pour lui. En lui Niall avait retrouver un père.


- Marciano va y saute moi dans les bras mon amour ! Rigola Niall.

- Je croyais qu'on avait mis un terme a notre relation Niall ? C'était pas finit entre nous ? Répondit l'officier de police en entrant dans le jeu du jeune homme.

- Oui mais qu'est ce que tu veux je peux pas me passer de toi.

- Moi j'aimerais bien ne plus voir ta jolie petite gueule. Lui répondit le chef de police en souriant. Tend moi t'es jolie minimes.

Niall lui tendit ses poignet, le chef de police lui attacha a l'aide de menotte sans trop l'ai serrer. Il savait que le jeune blond ne s'évaderait pas. Niall n'avait jamais fuit ses responsabilité, il avait toujours avouer la vérité, toujours fait face a la violence de ses actes. Et ces ce que Marciano admirait. Il avait vu Niall dans des états plus que déplorable mais même dans ces pire moment ce gamin assumait ses actes. Ce gamin, comme il l'appelait n'était pas mauvais de son point de vue c'était juste un môme torturer. Ce n'était jamais avec plaisir qui lui passait les menotte au poignet.

- Pourquoi vous lui mettez les menottes ? S'interposa le bouclé un air paniqué sur le visage

- Parce que ça l'excite. répondit Niall en rigolant.

- Parce que ton petit ami est considéré comme "dangereux". Répondit le policier en mimant les guillemet. C'est un ordre de la juge Strauss.

Niall leva les yeux aux ciels, cette femme ne l'aimait pas, en vérité cette femme n'aimait pas sa famille car sa tante avait plus de pouvoir qu'elle n'en n'aurait jamais. Sa tante était la juge la plus influente, la plus populaire et la plus puissante de Londres. Le juge Strauss passerait toujours en deuxième et pour ça elle en avait toujours voulut a la famille Horan. Alors quand Niall avait commencer à déconnecter, à désobéir délibérément au lois elle y avait vu une bonne occasion pour elle de ce venger. Niall savait d'avance que si elle était encore juge sur sa partie de l'affaire, il allait morfler.


- Habiller de la même façon que je t'ai coincer y a 6 mois. Remarqua le policier. Manque plus que je te poursuive. Et on ce croyais 6 mois en arrière. Le jeune blond portait un jean slim noir, avec un paire de supra blanche, un t-shirt blanc surplombé de sa veste en cuire. Exactement de la même façon qu'il avait été coincé six mois en arrière.

Niall sourit malgré lui. Il ce souvenait des nombres de fois ou il avait rendu fou la police de Londres. Des heures de courses poursuivit dans les rues de sa ville. La seule chose qui lui manquait réellement depuis qu'il était enfermer entre les murs de Save Youth était sa voiture. Le plaisir d'évacuer ses problème au volant, le plaisir de voir les paysage d'effilé, le son que produisait sa voiture quand il passait ses vitesse et qu'il appuyait sur la pédale d'accélération. Cette sensation d'être dans une bulle. Oui si une chose lui manquait réellement c'était cela, la liberté de voyager a travers les villes, a travers son pays. En trois ans il avait parcourus énormément de kilomètre, car finalement il avait l'impression, au volant de sa voiture d'avoir le contrôle sur sa vie a chaque accélération, a chaque passage de vitesse. Il avait l'impression de pouvoir décider du tournant que pourrait prendre sa vie. Au volant il avait la sensation d'être libre. D'être seul a pouvoir décider de son avenir.

- Me parle pas de ma voiture elle me manque grave. Son moteur 240 chevaux puissance maximal de 217 km/h. Ca c'était une bête de route. Dit Niall en repensant a sa voiture.

Sa voiture était un cadeau de son père, un cadeau que son frère lui avait remit a la mort de ses parent. Son père n'avait jamais eu le temps de lui offrir. Niall y tenait comme on tient a un bijoux transmit de mère à fille. C'était le dernier cadeau de son père. Un cadeau qui avait certes un prix quelques peu conséquent mais un cadeau auquel Niall portait un attachement presque affectif. C'était sa "titine", sa première voiture. Il avait dormit dedans, avait passer des heures entières au volant. Cette voiture l'avait mener aux quatre coin de l'Angleterre, dans cette voiture il avait éclater en larmes, avait pousser des crises de colère, avait hurler a s'en arracher les poumons, avait coucher avec les premiers venu. C'était défoncer au point de ne plus différencier la pédale d'accélération et la pédale de frein. Cette voiture détenait finalement ses plus grand secret et ses plus grandes peine. Dans cette voiture il avait songer a ce foutre en l'air. Poser sur une falaise au bord de la mer. Il avait penser a plonger avec elle. Niall avait tout vécu dans cette voiture, elle avait été sa meilleure amie finalement. Il ne s'attachait rarement au matériel mais cette voiture c'était le dernier cadeau de ces parent. Il y tenait comme à la prunelle de ses yeux. Jusqu'à la il avait toujours dis que si il devait mourir il partirait au volant de son Range Rover Evoque.

- Ouais ces ça. En attendant tu montes derrière. Et avant de recommencer a conduire illégalement passe ton permis.

- Avoue je conduisais bien même défoncer. ? Répondit Niall en souriant
- Je suis flic Niall je vais pas te dire bravo gamin tu conduis bien illégalement. Répondit le chef de la police en entraînant les jeunes dans la cours. Et tu n'aurai jamais du avoir comme cadeau de 16 ans une voiture flambant neuf avec un moteur aussi puissant sans avoir le permit.
Harry regarda l'échange entre son petit ami et le chef de police. Il ce demandait ce qu'il y avait eu entre eux. Ils étaient proche, comme deux amis. Ou plutôt comme un père et un fils. Le jeune bouclé monta à l'arrière du véhicule de police avec Zayn et Niall.
- Je conduit très bien. Ce défendit Niall. Et je peux dire merci papa. Je savais parfaitement conduire à l'âge de quinze ans. Laisse moi conduire sur le retour. Tu m'attache le poignet droit sur le volant. S'il te plaît. Le supplia-il
- On y est pas. Répondit le Chef de police en souriant.
- Je t'aime Marciano tu le sais ça ?
- Arrête tu vas me faire rougir. Répondit l'homme concerné. Il regarda les trois garçons dans son rétros avant de démarré.Ils étaient suivit de plusieurs cars de la police. Le chef de la police observa quelque fois les échanges qui ce déroulait derrière son siège. Et ne put que remarqué le sourire de Niall. Ce sourire qu'il avait perdu. Il observa l'amour naissant des deux amants et trouva cela magnifique. Le chef de la police était certain qu'ils iraient loin à deux.


Les voitures de police arrivèrent au niveau du Tribunal. Niall observa ce grand bâtiment qu'il connaissait par cœur, cette endroit ou il était venu ci souvent, peut être trop souvent. Il remarqua sa voiture de garé sur le parking, son frère serait de nouveau derrière lui. Il regrettait de faire subir une nouvelle fois à son frère un jugement de plusieurs heures. Il lui avait promit ce serait son dernier combat. Il sentit Harry ce redire quand ils entrèrent dans le parking sous terrain du tribunal. Lui murmurant à l'oreille « je serais là ne t'inquiète pas. On sera tous la babe ».

Harry sortit de la voiture, une sensation étrange dans le ventre, la peur, l'angoisse reprenait peut être le dessus finalement. Zayn s'approcha de lui et déposa un doux baiser sur sa joue. Un adorable sourire sur les lèvres, un sourire de compassion, un sourire de soutient, un sourire d'amitié. Harry regarda les menottes aux poignet de son ami. Il n'aimait pas cette façon qu'avait de les traité la police. Zayn, Louis, Niall était menotté, certes ils avaient un passé violent mais pour quel raisons décideraient-ils de mettre tout leurs efforts à la poubelle pour un procès tels que celui là ? Le bouclé était certain que les forces de l'ordre ne réfléchissait pas à tout cela. Ils traitaient ses amis comme de violent criminel. Alors que finalement ils avaient simplement défendus leurs famille, leurs convictions. Ils avaient agit par la violence parce qu'ils souffraient et la souffrance n'ait pas un acte criminel, c'est une torture que l'esprit s'inflige à lui même.Madame Scoll les réunissant tous. Elle ce mit devant eux. Elle regarda chacun d'eux. Et leurs sourit.- Je sais que certain d'entre vous doivent ce sentir angoissé, doivent avoir peur de ce qui les attendent là haut. Mais vous êtes forts. Sachez que quoi qu'il ce passera dans cette salle d'audience je suis fier de chacun de vous. Je suis fier de progrès que vous avez fait. Fier de vous voir ici prêt a affronté avec moi madame Goldia et son équipe. Prêt a affronté ces personnes qui vous ont fait souffrir. N'oublier pas que je suis fier de vous et que les infirmières le sont tout autant que moi. Dit-elle avec émotion.Elle n'attendait aucune réponses, puis des applaudissement ce fit entendre. Commençant doucement de Niall, suivit d'Harry, de Liam, de Louis, de tout ses patients. Harry s'avança et dit ce que tout le monde pensait tout bas.- On vous aimes madame. Nous sommes encore plus fier de vous, de la femme exceptionnel que vous êtes. Merci. La jeune psychiatre ne put retenir ses larmes, qu'elle sécha rapidement. Ce n'était pas le moment de pleurer devant ses patient. Ils avaient besoin d'elle. Forte et solide comme ils avaient toujours l'habitude de la voir.Le chef de la police fut ému de cette amour qu'avait tout ses jeunes pour cette femme. Ému du travail qu'elle faisait pour eux et de la façon dont ils l'a remerciait. Quand il regardait le tableau devant lui, il avait l'impression de voir une mère avec ses enfants. Elle était sans doute plus qu'une psychiatre pour la plupart d'entre eux. Elle était une mère, une meilleure amie, un pilier. Elle était ce à quoi ils ce rattachaient tous.


Les jeunes suivirent les forces de l'ordre, leurs psychiatre et tout le personnel encadrant. Certain d'entre eux avaient les poings liée, certain cas plus grave avait les pieds liée. Harry ne pu s'empêcher d'observer chacun de ses jeunes, d'observer sa psychiatre. Il pensait chaque mots qu'il avait prononcé. Il la remerciait car s'en elle, aucun d'eux ne serait là. Aucun d'eux n'irait mieux. Aucun d'eux n'aurait surmonté leurs passé. Ils avaient tous souffert d'une manière ou d'une autre, ils avaient tous derrière eux un passé qui pesait plus ou moins son poids. Mais peut importe ce qu'ils avaient pu faire par le passé madame Scoll ne l'ait avait jamais juger, ni sur leurs passé, ni sur leurs conviction. Elle c'était contenté de les épaulé, de leurs montré que la vie valait la peine d'être vécu. Que le passé n'ait que passé mais que l'avenir leurs appartenait. Que s'en sortir, avancé, grandir, vivre ou mourir tout cela ne dépendait que d'eux. Elle leurs avait montré que personne n'avait a décider pour eux, que personne ne pouvait leurs dicté une vie auquel ils ne croyaient pas. Harry remercierait cette femme tout le restant de sa vie car sans elle, il serait encore un adolescent dépressif, ou peut être bien qu'il serait mort depuis longtemps.Ils arrivèrent devant la plus grande salle du tribunal. Harry sentit Niall souffler, il l'observa fermer les yeux. Peut être bien que toute cette histoire angoissait Niall plus que cela ne l'angoissait lui. Le blond souffla une dernière fois suivit de Marciano qui ouvrit la salle.- Ta déployer toute ton unité ou quoi ? Demanda Niall en souriant.
- Très drôle assied toi et je t'en conjure Niall ferme là. Évite l'insolence. Toi comme moi on ne veut pas que tu finisse en taule. Lui dit le chef de la police en le regardant fixement.Niall hocha simplement la tête, mais il ne pouvait le promettre. C'était son moyen de défense l'insolence. Enfermer entre ses murs, entouré de tous ses grattes papiers, de tout ses avocats corrompus, de tout ses jury et juge qui pensait tout savoir alors qu'il ne savait rien pourrait-il tenir sa langue ? Il n'y croyait pas et Marciano savait pertinemment qu'il ne changerait sans doute jamais le caractère impulsif du jeune blond. Rien ne changerait la vision qu'il avait de la justice, du système. Harry, Liam, Louis et Zayn ce tenaient a ses cotés. Madame Scoll était assise aux cotés d'un avocat que Niall connaissait que trop bien. C'était l'avocat de sa famille, l'avocat qui avait essayer tant bien que mal de le défendre mais le jeune blond avait toujours refuser son aide, il n'en voulait pas, il n'en avait pas besoin. A quoi cela lui aurait servit ? Il savait pour quels raisons il ce trouvait dans une des plus grandes salles du tribunal. Tout les autres jeunes ce trouvaient derrières eux, certain rongé par l'angoisse, d'autre rongé par la colère. Du coté adverse un avocat tout aussi véreux ce préparait a recevoir toutes ses personnes qui avaient fait de Save Youth un enfer sur terre. Plus loin Niall pu y voir, son frère. La sœur d'Harry, tout un tas de personne qui était la pour soutenir leurs enfants, leurs famille.Ils attendirent plusieurs minutes avant que l'ancienne équipe de Save Youth ne ce présente. Ils étaient tous là, Madame Goldia, Carlos, Madame Cox, les infirmières, les éducateurs qui avaient de prêt ou de loin contribué aux coups qu'ils avaient tous subit dans ces fameuse pièce Blake. Niall sentit Harry ce rapproché de lui mais il ne pouvait en aucun cas le serrer dans ses bras, ses poings liée par les menottes l'empêchait de rassurer cette être qui avait sans doute plus besoin de lui maintenant qu'il n'aurait besoin de lui en toute une vie. Il ce contenta donc de serrer les doigts d'Harry dans les siens. Le jeune homme lui rendit un sourire qui ce voulait convainquant. La juge Strauss et la juge Horan ouvrirent la séance, lançant le débat, lança une confrontation entre les deux parties.La juge fit passé certain résident les uns après les autres, puis vint le tours de Niall. Il ce leva s'installa au coté de la juge Strauss. Il la fixa, il avait envie de lui manquer de respect, elle qui ce croyait si puissance puis il regarda madame Scoll qui semblait épuisé.- Niall bonjour. Lui dit son ancien avocat.- bonjour.- Jure-tu de dire la vérité et rien que la vérité.Niall jura, il n'avait aucune raison de mentir, a quoi bon.
L'avocat du camps adversaire s'avança vers lui, ce postant devant le jury. Niall s'ennuyait. Il ne pouvait pas simplement en venir au fait plutôt de jouer devant le jury.

- Nous voulons rappeler au jury la violence dont a fait preuve Niall James Horan par le passé.- Objection mon client à été juger pour ses actes passé. Cria l'avocat de Save Youth.- Certes madame la juge que monsieur Horan a été juré c'est précisément ce qui la conduit a Save Youth mais nous voulons simplement prouver que monsieur Horan était et est toujours quelqu'un de potentiellement violent, agressif. Les jury doivent savoir que mes clients on simplement agit tels qu'ils l'ont fait pour ce défendre.Harry eu envie de hurler. Niall était certes un grand impulsif mais il ne pouvait pas croire qu'il soit agressif et violent. C'était un être doux, attendrissant, adorable. Ce qui étonna Harry fut que son petit ami ne broncha pas. En temps normale, Niall aurait réagit par l'impulsivité en leurs rappelant gentiment d'aller ce faire foutre mais là il ne bougea pas, ne parla pas. Comme si il attendait le verdict. La juge permit à l'avocat du camps adverse de continuer.- Niall James Horan est un être violent, doté d'une impulsivité quelques peut incontrôlable. Les personnes que nous avons rencontré le juge d'instable, d'impulsif, de violent, d'agressif, de drogué et d'alcoolique invétéré. Monsieur Horan a un casier judiciaire plus que chargé. Commença l'avocat un dossier dans les mains.Agression sur vendeur, agression lors d'une soirée arrosé, menace de mort, détention de drogues, taux d'alcoolémie élever, excès de vitesse sans permit. Agression d'un agent de police. Et tout cela n'ait rien comparé à la longue et effroyable liste que je tiens sous les yeux. Monsieur Horan n'était pas à son coup d'essais quand il a été inculpé. Il avait plongé Monsieur Gregory Peltier jeune homme sans histoire dans un coma de quatre mois. A son réveil le jeune homme était défigurer suite ou coups de pieds, coups de poing, coups de genoux que lui avait infligé monsieur Horan suite à sa Monsieur Peltier doit maintenant faire face à de grave problème pulmonaire, de grave problème de coordination et de tout autant grave problème cérébraux. Monsieur Horan a détruit une vie alors je vous le demande croiez-vous réellement que mes clients n'ont pas du ce défendre quand monsieur Horan a décide que personne n'avait droit de le toucher. Et je cite il aurait dit « lâcher moi ou vous aller regretter d'être né enfoiré ». Encore une menace. Monsieur Horan marche à la haine, c'est une machine dont seul les poings fonctionne. Mes clients ont certainement des tords mais leurs butes est de maintenir l'institution à un certain équilibre. Alors qu'un être aussi violent que monsieur Horan n'acceptant pas de respecter les règles. Mes clients ce sont simplement défendus.Harry aurait voulus hurler qu'il jugeait Niall sans le connaître que sa colère était justifier et que Save Youth n'avait pas laisser le temps à Niall de s'expliquer, qu'il n'avait pas eu le temps de ce défendre.Niall resta stoïque un regard sévère sur le visage. Il savait pertinemment ce qu'on dirait de lui et c'était vrai. Il ne cachait pas la vérité il avait massacré Gregory, il avait quasiment manqué de le tuer et si la police était arriver cinq minutes après il serait sans doute mort. Mais c'était de l'histoire ancienne avec lequel il vivait. Puis l'avocat s'adressa directement à lui.- Monsieur Horan selon vous le rôle de madame Goldia n'était-il pas de protéger ses résidents de jeune comme vous ?Niall le fixa un moment, le regard noir. Si il avait pu il ce serait lever et lui aurait coller son poings dans la figure mais cela n'aurait que prouver la vérité. Il était violent, il réagissait par l'impulsivité mais il avait d'autres qualités l'insolence, le cynisme, le sarcasme. Peut importe ce qu'on attendait de lui, peut importe ce qu'on dirait de lui.- Le rôle de madame Goldia est effectivement de protéger ses résidents. Nous n'avions commis aucun crime. Et puis entre nous vous pouvez remuer tout mon passé que sa ne changera rien vous n'êtes qu'un avocat véreux qui camoufle derrière lui des comptes offshore. Je pense honnêtement que vous n'avez aucune conscience et que vous ne vous rendez pas compte que vos client on détruit des vies. Alors personnellement je m'en bat les couilles, vous pourrez me menotter, m'enfermer en taule pour les vingts prochaines années, vous pouvez ressortir toute la merde que j'ai fait et ceux pour quoi j'ai été juger sa ne changera rien car je ne me cache pas, je sais ce que j'ai fait, je sais pourquoi je l'ai fait et je l'assume. J'ai tabassé Gregory jusqu'à qu'il ne puisse quasiment plus respirer si les pompiers était arriver cinq minutes plus tard il serait mort comme une merde sur une air d'autoroute et je l'aurait tuer de mes mains. Je l'assume et je vis avec. J'ai consommé de la cocaïne pendant prêt de deux ans, j'ai fait des go fast dans toute l'Angleterre, j'ai conduit sans permit, j'ai bu a outrance. J'ai tabassé des personnes pour des raisons bien précise et j'en assume les conséquences mais contrairement à vous je peux aller me coucher ce soir en sachant que j'assume les conséquence de mes actes et que je l'ai paye assez chère mais vous monsieur accepterez vous d'avoir aider à la libération d'une équipe qui à martyrisé des enfants et jeunes adultes qui de fois n'avait absolument rien demander, que les services sociaux ont placer dans cette établissement pour leurs sécurité ? Je ne crois pas. Car personnellement vous pouvez m'attacher avec une camisole me tabassé jusqu'à que je ne soit plus capable de respirer, vous pouvez me plonger dans un bac d'eau gelé, me passer sous les électrochoc je ne dirais rien. J'ai appris avec les année a supporté la douleurs et parce que je sais que d'une façon ou d'une autre je le mérite j'ai fait du mal ce n'ait qu'un simple et justifier retour des choses. Raconta Niall avec froideur. Alors oui vous aurez la tune mais sachez une chose de la tune j'en ai je pourrait facilement vous faire payer de m'attaquer personnellement mais ça n'aurait aucun sens par contre une chose est certaine l'argent ce dilapide alors que la mémoire elle reste intacte. Remettez l'équipe de madame Goldia a Save Youth et vous finirez par avoir un mort sur la conscience monsieur. Et croyez moi tout l'argent du monde n'enlèvera jamais de votre conscience la mort d'un enfant. Ça vous suivra, et finira par vous rongé.Finit Niall.Marciano ce passa la main sur le visage mais étonnamment, il était fier de Niall. Fier de ce qu'il venait de dire. Une fois encore il prouvait qu'il n'avait en aucun cas besoin d'avocat, qu'il pouvait ce défendre lui même et remettre à sa place à un homme qui avait plusieurs année d'étude pour protéger ses simples intérêts.Harry sourit, ça c'était son petit ami. Il venait de calmer tout le monde. Il admirait son petit blond pour ça, pour assumer ses actes qu'ils soient monstrueux ou non. Niall assumait contrairement a la plus part des êtres humains qui préfère fuir.Greg observa son frère et fut fière de lui, malgré que tout cela l'ait replongé dans un passé qu'il voudrait oublier il ne pouvait être que fière de son frère. Fière de remettre encore une fois en place c'est avocat véreux.Niall fut réprimandé par la juge pour son manque de respect et le procès continuas. Ils étaient la dedans depuis plus de quatre heures quand les deux juges en charges de l'affaire demandèrent une pause. Niall sortit avec tout le monde, ils allèrent s'installer sur la parking avec Zayn, Liam, Louis, Harry et Marciano.Le chef de police sortit une cigarette de son paquet qu'il tendit à Niall. Il observa les cinq jeunes hommes avec lui, la fatigue ce lisant sur les traits. Harry embrassa Niall qui lui rendit sous le regard émerveillé de leurs ami.Niall s'approcha de sa voiture, clope a la main. Les poings lier il commençait à en avoir marre.- Mon bijoux papa te manque avoue ? Dit Niall en parlant à sa Range Rover Evoque.Zayn regarda ses amis en ouvrant de grand yeux Niall parlait à un cube chromé.- Ton cas devient inquiétant Niall tu parles a une bagnole. Lui signala Louis en rigolant.- Ce n'ait pas une bagnole, l'insulte pas. C'est un bijoux de technologie. Dit Niall en souriant. J'ai passer presque trois ans aux volant. C'était ma meilleure amie.Niall souffla d'ici peut de temps tout ce merdier serait finit, ils retourneraient a Save Youth finiraient leurs peine et sortiraient vivre leurs vies. Ils voulaient ce remettre de son horrible passé, il voulait qu'on arrête de le jugé par rapport a ce qu'il avait bien pu faire par le passé.Tout les cinq remontèrent dans la grande salles du tribunal en entrant Harry s'arrêta net. Le cœur serrer, les mains tremblantes, les yeux pétillants. Son père était là, assied du coté de l'accusé au coté de madame Goldia. Il paniqua, son souffle s'accéléra mais il sentit de douce mains venir ce poser sur les siennes.Madame Scoll le regardait tendrement. Lui murmurant des paroles rassurante. Il s'installa au coté de Niall, ce serrant à lui. Cherchant à éviter le regard meurtrier de son paternel. Il avait peur, vraiment peur. Il ce sentait mal, tout lui revenait au visage. Les coups, les bleues, le sang...Madame Scoll s'installa au coté de la juge, jurant serment. Elle répondit au avocat, elle expliqua que la violence que madame Goldia avait laisser entrer dans Save Youth était intolérable. Expliquant que le traumatisme était beaucoup trop lourd et qu'elle n'aurait jamais du faire revenir la source de la souffrance dans la vie de son patient. Harry l'écoutait et la remerciait intérieurement de prendre sa défense. Il n'osait pas tourner la tête, il sentait le regard de son père sur lui. Il sentait sa haine.Niall lui souffla à l'oreille « il ne peut rien t'arriver. Fais moi confiance mon amour il ne te fera plus aucun mal ». Il avait besoin de lui a cette instant précis. On l'appelait à témoigner. Il s'installa, le regard de son père, sur lui. Ses mains tremblante, il sentit les larmes monté. Il ce devait d'être fort. Niall lui avait dit, il ne lui arriverait rien.- Bonjour Harry. Lui dit gentiment leur avocate. On va simplement te demander de raconter ton histoire, de raconter ce que tu as vécu dans l'enceinte de Save Youth. Tu es prêt ?Harry hocha simplement la tête même si il ne l'était pas, il n'avait pas forcement le choix.- Je vais lire ce que j'ai dans mon dossier interromps moi si je me trompe. Lui sourit l'avocat. Il y a presque cinq ans tu as été placer à Save Youth par les services sociaux suite à tes nombreuses tentatives de suicide pour ton jeune âge. Il est établit que tu avais subit de nombreux sévices corporelle qui ont été camoufler par ta mère, Ann Cox, grâce à son statue dans la branche de la médecine. Qu'a tu subit pour que la court comprenne ce qu'un enfant de treize ans à subit sans que qui que ce soit ne bouge le petit doigts.Harry grimaça, fermant les yeux, essayant tant bien que mal de contrôler les tremblements. Il allait devoir tout expliquer, tout détailler.- On m'a briser les cotes, le poignet, le nez j'ai eu de nombreuse entorse, une tendinite. J'ai aussi eu une commotion cérébrales, une fracture à la rotule du genoux. J'ai subit un étranglement et de nombreux coups au visage, aux bassins. Et dans les jambes. Mais tout cela n'a jamais été réellement reconnus, les rapports disent normalement que je pratiquais de la musculation et de la danse et que c'est en pratiquant le sport que je me suis blesser. Répondit Harry la voix tremblanteL'avocate regarda le jeune garçon jouer nerveusement avec ses manches. Dans ces moment elle haïssait profondément son métier, profondément la justice. Comment un enfant de treize ans avait-il pu autant souffrir sans que personne ne bouge le petit doigts.- Je tiens à rappeler au jury que madame Cox est psychiatre que son devoir en tant que médecin et de venir en aide aux être humain. De sauver des vies . Souligna l'avocate. Tu as été diagnostiquer dépressif, hystérique etémotionnellement instable mai aussi déconnecter de la réalité. Peut tu expliquer à la cours de ton point de vue la raison ?Harry regarda son père, Madame Goldia, puis sont regard ce posa sur ses trois amis, sur son petit ami, sur sa psychiatre et sur tout ses jeunes qui avait peut être eux aussi vécu un traumatisme comme lui.Il pouvait crier haut et fort sa douleur, sa raison. Il pouvait ouvrir les vannes et tout lâcher. Sa voix allait être écoute. Sa douleurs allait peut être changer les choses.- Vous savez j'étais jeune et on me répétait que j'étais tomber, que je m'étais blesser seul et à l'époque sa me paraissait tellement plus réel que d'encaisser la vérité qui m'aurait tuer. Mon père me battait, ma mèrecamouflait ses actes et m'a sœur ne préférait pas y prêter attention. Tout le monde m'avait entendu hurler mais personne n'avait bouger. J'avais une mère psychiatre elle avait les connaissance pour me faire croire ce qu'elle voulait puis après tout quels enfants aurait pu croire que son père puisse le détruire. Ce lança Harry. J'avais mal, je souffrais, autant physiquement que moralement. Vous ne savez pas madame ce que sait que de voir son sang gicler, sentir sa tête heurter le sol, sentir le poids de l'homme qui était à une époque votre héro vous battre jusqu'à que vous perdiez connaissance. Alors j'ai fait ce que me paraissait à l'époque presque naturelle, j'ai couper court avec la réalité je pensais vivre dans un cauchemars. Je pensais réellement quand mourantdans mon rêve je me réveillerais. Je refusais de voir la vérité, je refusais d'admettre que mon père me battait, qu'il me brisait les os, qu'il me menaçait. Je refusais d'admettre qu'il m'avait détruit. J'étais un gamin a qui ont venait d'enlever son innocence madame. Je n'étais qu'un gamin. Ma mère a camoufler la réalité jusqu'au jours ou une infirmière a comprit, elle a comprit qu'aucun enfant de mon age ne devait être suicidaire sans raison.Dit Harry les larmes coulant le long de ses joues. Je voulais mourir, c'était le meilleur moyen, la seule solution. Je souffrais réellement j'avais l'impression d'étouffer, de mourir a petit feu. Vous n'avez pas la moindre idée de ce qu'ait le sentiments de ne ressentir que de la souffrance. Vous ne savez pas ce que ces de n'être qu'une coquille vide, plus de rage au bide, plus d'amour, plus rien. Juste du vide et de la tristesse étouffante, suppliante. Votre corps entier vous supplie de le laisser partir et votre raison vous hurle de toutlâcher. Ils ont détruit ma vite, j'ai perdu mon adolescence et la confiance que j'avais en moi. Quand j'allais un peu mieux madame Goldia a fait rentrer tout cela dans ma vie une fois de plus et j'ai crus et je ne voulais surtout plus jamais revoir la lumière du jours.Étrangement cela lui avait fait du bien, il avait avouer la vérité devant une assemblé, devant sa pseudo famille, et devant ses jurés. Il avait ouvert les vannes, avait tout vider. Même si les larmes coulait a flot sur son visage, il souri a madame Scoll qui le regardait tristement. Il avait réussit, il avait réussis a affronté le regard de son père, de sa mère. Niall le regardait avec amour et il sentit au plus profond de lui qu'il avait grandit que tout cette douloureuse torture était terminé.L'avocate le regarda avec un pincement au cœur. Oui elle haïssait son métier. Comment le système avait pu laisser un jeune homme souffrir à ce point. Elle s'avança vers le jeune bouclé et lui sourit.- Que voudrait tu maintenant ?- Vis à vis de quoi ? Demanda Harry en fronçant les sourcils.- Vis à vis de ce jugement, de ta vie, de ton avenir ? Arrives tu à penser à l'avenir maintenant ? Si tu pouvais rêver ta vie maintenant que voudrais tu Harry ? Aimes tu toujours de la même façon ?- Bien sur que oui j'aime toujours de la même façon. Âpres tout pourquoi devrais-je en avoir honte ? C'est mon identité. Je n'ai pas honte de mon passé, ces ce qui a fait de moi ce que je suis. Mais je pense que ces troispersonne qui disait être ma famille, ne l'ont jamais été. J'ai trouver une famille, une vraie famille. Alors je pense que toute personne doit payer pour ce qu'il a fait au autre. On ne peut faire du mal a un être humain sans un payer les conséquences. Je suis en paix avec moi même maintenant et je peux aider. Aider des jeunes comme moi, des jeunes qui souffre et qui ont souffert. Qui ont crus que le monde s'arrêtait de tourner, despersonne qui comme moi ne croyait plus en l'humanité, qui ne croyait plus en l'amour, qui ne croyait plus en la vie. Maintenant je voie plus claire et maintenant je vais mieux. J'ai grandit. Je suis devenus quelqu'un de bien. Et de toute façon mon passé resteras toujours mon passé je ne peux rien y changer. Je suis amoureux, dépendant d'une personne qui a ma vie entre ses mains. Qui me rend heureux, qui me rend le sourire qui m'aide chaque jours à laisser aux passé ce qui appartient au passé. Je veux maintenant avancé, construire ma vie, ma battre pour la vie car après tout qui y a t-il de plus beau et pure que la vie elle même. Dit Harry en souriant.
Harry alla rejoindre ses amis, passant devant madame Scoll qui le félicita dans un murmure. Niall plaqua ses lèvres sur les siennes en plein tribunal ce qui eu pour effet de faire rougir le jeune bouclé. Le père de ce dernier jura en s'installant au coté des juges. Il affirma avoir voulus sauver son fils. Il voulait lui apprendre a devenir un homme.Niall du ce retenir de ne pas aller lui casser la figure. Il avait des envies de meurtre. Harry posa sa mains sur la cuisse du blond et lui sourit lui murmurant à l'oreille « je vais bien amour, grâce à toi maintenant je vais bien. »Des heures passèrent encore, liée comme les cinq doigts de la mains les amis attendait le verdicts. Ils attendaient le verdicts qui joueraient sur leurs vies, sur leurs avenirs. Harry serrait les doigts de Niall, lui embrassant la joue.Liam avait la tête de cacher dans le cou de lui alors que Zayn reposait son front sur le banc en face de lui. Ils espéraient tous qu'on leurs permettraient de vivre, de vivre ensemble, de vivre enfin une vie qu'ils avaient tous largement mérité. Pour une fois ils espéraient pour souffler et ce dire « ont est en sécurité. »Les juges arrivèrent, les jury ce tenaient debout, les avocats espéraient que ce procès ce termine. Tout le monde étaient stresser, angoissé. C'était soit le commencement d'une nouvelle vie, soit le début d'un combat sans fin. 


VOICI LE DERNIERS CHAPITRE JE VOUS REMERCIE D'AVOIR SUIVI MA FICTION, D'ÊTRE RESTER MALGRE MAIS LONGUE ABSENCES. 

Narry Storan~Save Youth~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant