16 avril 2016
Je fillais le parfait amour avec Maxime. Entre fou rire et moment torride, on avait pas le temps de s'ennuyer.
Le procès de mon père avait conclu par une ordonnance d'éloignement envers moi et une peine de 3 ans de prison avec sursis.
À ce moment là, il était extrêmement tard aux alentours de 23 heures.
Nos relations était similaires aux mois précédents.
Il me regardait avec des yeux que je connaissait bien. Il était à l'opposé de la pièce et venait juste de fermer la porte.
Il s'adossa à cette dernière en pliant une jambe et se mordait la lèvre.
Je m'approchais de lui a petit pas et passait ma main sur son torse en le caressant sensuellement.
Les films tournaient dans ma tête.
Je deposait un baiser sur ses lèvres et les invitaient à me laisser passer.
Il accepta volontier et commença à passer sa main dans mes cheveux.
Ses doigts fin me donnaient des milliers de frissons.
Sa respiration était saccadée et le temps semblait figer dans la pierre.
Je voyais ses yeux fermés, ses paumettes remontées et ses lèvres délicieuse.
Sa peau était douce et chaude.
Il decolla ses lèvres des miennes pour les approché de mon oreille.
- j'ai envie de toi Aïden.
Il m'avait dit ça en susurrant. Ses mots avaient réveillés une partie de moi.
Il me retourna dos au mur et commençais à enlever mon T-shirt qu'il fit voler à travers la pièce.
Il déposai des baiser papillons sur mon torse tout en continuant de descendre de plus en plus bas
Arrivé au niveau de mon nombril, il defit mon bouton de pantalon et se relevais pour m'embrasser tout en posant sa main sur mon caleçon.
Sa main enchainait les caresses sur mes bourses et mon sexe bien bandé tout en restant au dessus du caleçon.
Cette sensation était divine et je levais la tête au ciel et me mordant la lèvre.
Il en profitais pour m'y déposer des baiser mouillés.
Des milliers de décharges électriques s'affollaient dans mon bas ventre quand il retourna sur des genoux pour baisser mon pantalon.
Je priait intérieurement pour qu'il fasse la même chose avec mon caleçon car mon érection me faisait extrêmement mal.
Il ne perdit pas de temps pour exhausser mes prières et entamer de légère traînée de doigts
Il était entrain de me torturer. Ses doigts étaient d'une lenteur presque insoutenable.
Ses simples caresses me faisaient lâcher des soupir de frustration.
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l'Étérnel [Boy x Boy] (Terminée)
Romance- Quoi qu'il advienne, tu restera notre enfant. Disaient t'ils. Était-ce des paroles en l'air ou des paroles sincerent. Moi c'est Aïden coleen. Et à 16 ans, j'ai été trahis par mes propres parents.