Chapitre XIV

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J'étais éblouie par une blancheur omniprésente, mes yeux avaient du mal à s'habituer. Je me sentais pourtant détendu.

Je venais de réaliser. J'étais mort. Tué par les coups de mon père.

J'avançais doucement dans cette clarté paradisiaque quand je sentis un énorme choc dans ma poitrine.

C'était douloureux et régulier. Je sentais un aura chaud autour de mes lèvres.

Les chocs s'intensifient et étaient de plus en plus fréquent.

J'entendais une voix assez lointaine comme si elle était derrière un mur.

- Allez mon garçon !! Reste là ! Tiens le coup.

Un des chocs se démarquait des autre de par sa puissance.

Je redressa mon dos instantanément et j'avais l'impression que mes poumons étaient asséchés.

Je toussa à pleine gorge et manquait de m'étouffer. J'étais dépayser.

J'étais attacher un brancard et les lumières bleu et rouges de l'ambulance me faisaient tourner la tête.

Je n'avais pas rêver ! J'étais bel et bien mort. une sensation bizarre parcourait tout mon être.

les ambulanciers me regardaient avec un certain air inquiet. je ne savais plus quoi penser de tout ça mais a cet instant la pour moi le principal c'était que j'étais en vie. même si je doit admettre que le lieu ou j'étais apres ma mort était plutôt confortable et agréable.

je venais d'arriver à l'hôpital ou une horde d'infirmier s'étaient réunis pour me faire subir une batterie d'examens tous plus long les uns que les autres.

je ne comptais plus le nombre de médecins différents que j'avais pu voir passer en moins de deux heures. des pneumologues, des cardiologues et j'en passe biensur.

les heures se faisaient longues et la seule personnes que j'avais en tête a cet instant la c'était mon père. cet être odieux et malfaisant qui avait oser me lever la mains dessus a deux reprises déjà. ses mains puissantes me donnaient la nausée.

un peu plus tard la porte s'ouvrit et Maxime me sauta dans les bras.

- tu...tu étais..M..mmm

- shht tu n'est pas obligé de le dire si tu ne veux pas mon ange.

il ne me repondis pas et se contenta de me sauter dans les bras en guise de réconfort.

ses bras étaient comme un refuge ou je pouvait exprimer toute ma peine sans pour autant avoir a dire un seul mot.

Avec lui j'étais juste bien.

nous avons passé le reste de la soirée a attendre les médecins pour les résultats tous positif je m'en tirait simplement avec quelques hématomes et égratignure. j'avais eu beaucoup de chance a cet instant précis.

les médecins m'avaient annoncer qu'ils préféraient me garder en observation pour la nuit et que maxime pouvait rester si il le voulait.

- Et Sylvie dans tout ca ?

- elle est sous le choc tu sais on a parler avant que j'arrive. Elle non plus elle n'aurait jamais penser ton père capable de faire ça.

- je comprend bien... mais elle n'est pas blesser rassure moi ?

- Non ne t'inquiète pas petit prince.

je ne répondais pas et me contentais de rester perplexe a regarder le plafond songeusement.

l'Étérnel [Boy x Boy] (Terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant