l'Étérnel [Boy x Boy] (Terminée)

Chapitre IX

Je pouvais presque sentir la chaleur de ses lèvres contre les miennes, c'était l'instant parfait.

Je me laissait emporter par la situation et je fermais les yeux.

Son visage venais de me réapparaître. Cet être repugant en plein de crasse qui m'avait violé.

Je n'étais pas prêt. Je tourna délicatement la tête pour éviter de le surprendre pour que ses lèvres atterrissent sur ma joue.

- Je ... Suis désolé Maxime, c'est trop tôt. Je ne suis pas prêt, chaque fois que je ferme les yeux je vois son visage et je ne veux pas associé son visage au goût de tes lèvres. Mais surtout, je ne veux pas que la situation t'oblige à faire ça.

Il ne disait rien et se contentais de me regarder en souriant.

- je t'en prie répond moi Maxime !! Dit moi quelque-chose.

- tu sais Aïden, si ça peux te rassurer, ma mère est aux courant pour mon orientation sexuelle et elle l'as très bien pris. Quand je t'ai ramener hier soir en voyant ton état, elle est limite tomber à genoux en priant pour que ça aille.

Il se mit à pleurer.

- Je ne comprend pas comment tes parents ont pu te faire ça à toi la chaire de leur chaire. Rassure toi Aïden, tu restera ici tant que tu veux.

Il commençais à regarder ses mains et à se tordre les doigts.

- Et en ce qui te concerne, je n'ai pas mis longtemps à m'en rendre compte tu sais... Au fur et à mesure de nos conversations, j'ai sur que j'avais craquer pour toi et quand je t'ai rattraper sur le pont et que j'ai déposer un baiser sur tes lèvres, ça a été le meilleur instant de ma vie. J'ai chercher à te rattraper puis je suis finalement rester sur le pont ou je me suis assis sur le rebord en pensant à tout ces moments passer avec toi à rire pour rien. J'avais peur de tomber amoureux de quelqu'un d'hetero. J'attendrai le temps qu'il faudra.

Sa tirade m'avais laisser perplexe, je ne savais pas quoi repindre. Il laissa un blanc et sortis de la pièce.

Je me detendais un maximum dans l'eau avant de fermer les yeux la tête en arrière et encore une fois de revoir cette tête trop familière. Ce flash back fut d'autant plus violent que j'eus une énorme douleurs à l'anus.

Je me suis remis à me gratter jusqu'au sang jusqu'au moment où j'appercu une commode à ma porter à côté de la baignore. J'ouvris un tiroir et j'y trouvais un rasoir jetable. Ni une ni deux, j'avais détacher la lame et laisser le rasoir par terre.

Je commençais de nombreuse entailles sur mon avant bras droit. Chacune d'elle me faisait verser des larmes de peine et de honte.

- 78..79..80.

Je lâchais la lame sur le tapis de bain et regardais avec admiration mon bras se vider de son sang. Les goutes de ce précieux liquide glissaient le long de la baignoire venant casser le blanc pur de cette dernière. Je me sentais comme libérer de tout les maux qui pesaient sur moi. Je m'en voulait de ne pas avoir répondu au baiser de Maxime mais j'avais peur. J'avais peur de ne rien apprécier avec lui si je m'y prenais trop tôt.

Je me sentais encore très mal dans ma peau mes ongles continuaient de frotter frénétiquement ma peau.

J'avais une haine incontestable envers mes parents. Mon père m'avais craché dessus et ça, ça me faisait limite plus mal que tout le reste.

On était pourtant si proche.

Je laissais ma main glisser sur tout mon corps afin de laver tout ces excès de crasse sur ma peau. L'eau se colorait par mon sang et terminait rouge vive.