Chapitre 5 : C'est mon tour.

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Devon est étrange c'est temps-ci, on dirait qu'il est... préoccupé par quelque chose.

Il est assez beau garçon. Il est légèrement plus grand que moi, il n'est pas très gros, il a les cheveux noir ébène mais surtout il a des magnifiques yeux vert. Vert émeraude, et au milieu, une pupille aussi noire que ses cheveux.

Aussi loin que mes souvenirs remontent, c'est à dire pas très loin,  on a toujours étaient ensemble. Je n'ai aucun souvenirs de mes parents. Nous nous sommes connu à la maison d'enfance, la maison d'enfance est l'endroit où tous les enfants orphelins son hébergé jusqu'à leur quinze ans, ils reçoivent ensuite un appartement et font des corvées chaque jour pour recevoir de l'argent. J'y suis arrivé a mes trois ans, je crois. Lui, à ses six ans, j'en avais cinq. Je m'en souviens bien. Il était arrivé en pleurant et en criant qu'il ne voulait pas quitté ses parents. Ce jour là, ses yeux entier était noir, noir de colère et de tristesse. Ensuite, il a fini par les oublié, car on essaye toujours d'enfouir au plus profond de nous les souvenirs douloureux. Nous étions devenus très proches lui et moi, un lien étrange et indescriptible nous liés. Nous n'étions pas méchants...juste turbulents. Un jour, nous avions mis des asticots dans les pâtes de la cantine. Nous avons été puni pendant trois mois.

Puis, à nos quinze ans, nous sommes partis, je crois qu'ils étaient heureux que nous partions enfin.

  J'étais en plein millieux de la rue, perdu dans mes pensées. Des gens me regardé bizarrement. Je revins à l'instant présent et répartie chez moi. Malgré tous sa, les cris de l'homme résonnait toujours dans ma tête. Je rentra dans mon petit appartement. Je pris un rond rouge dans mon sac et me mit à le mangé. C'était tellement bon... et juteux, bien mieux que la nourriture en sachet. Je pris la parole.

-"pouvait vous allumé l'écran s'il vous plait, chaîne information."

-"Bien sûr, mademoiselle." me répondis la voix robotique.

Un écran sorti du plafond. Je partie m'installée dans le canapé. Un clic se fit entendre et la télé s'alluma.

-"...il est une heure et onze minutes de l'après-midi."

Toujours si précis...

Le présentateur avait les cheveux cendré, signe de sa vieillesse. Les enfants des personnes haut-placé ne sont pas marqué d'un chiffre sur le bras droit. Il vivent plus longtemp que nous. Les riches sont privilégiés, comme depuis toujours...

-"Nous allons parler de l'aide apporté par des troupes de gardiens, qui, au dépens de leurs vies, aides dans les pays les plus démunis. Voici un repo..."

Un clic retentit. J'avais éteint. A quoi bon regardé des choses fausses ? Tous sa n'était que des conneries...Je sais très bien que c'est la guerre dans les pays pauvres, ils se rebellent car ils n'ont rien. Nous on obéit car on a tous. Nourriture, logement, soin... la liberté est la seule chose que nous n'avons pas. Pendant que j'étais assise dans mon canapé, j'entendis des cris provenant de la rue. Je m'approcha de la fenêtre et l'ouvrit. Mes cheveux volait doucement au grès du vent. Je regarda et écouta attentivement.

-"Bonjour Madame, connaissez-vous cette jeune femme ?"

Un gardien sûrement haut-placé vu l'attitude des autres gardien, tendit une feuille sous le nez de la pauvre dame effrayée. Il était chauve, grand et trapu. Il fit craquer ses doigts et elle pâlit. On aurait dit qu'elle pouvait perdre connaissance à tous moment.

-"Non...s...son visage ne...ne m...me dit rien du t...tout."

-"Mauvaise réponse."

Il la bouscula et elle tomba violement à terre. Elle était terrifiée.

The fight to liveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant