Tomorrow's world

C H A P T E R 7

Je me dirige a grand pas vers la sortie, toute apeuré et trop faible pour affronter la situation. Fuir a toujours était mon issu de secours. Zach me rattrape par le poignet et me fais signe de me calme, ce qui est bien impossible en ce moment.

- Zach lâche moi! Je ne peut pas resté ici plus longtemps. Aboiyai-je d'un tons au début autoritaire mais qui devin ensuite suppliant.

- Je sais, mais tu ne dois pas partir maintenant et encore moins dans cet état. De toute façon le policier devant la porte ne te laissera jamais partir avant que tu n'est répondu a leur questions.

Zach a quelque chose qui fait que dans n'importe quelle situation, il a le dons de calmer et apaisé les personnes autour de lui. Même si il est lui même mal, il a toujours cette luire au fond du regard qui donne envie de se relevé pour continuer a se battre.

Je me retourne et constata qu'il a raison, un policier se tient devant la grande porte et ne laisse apparemment personne sortir. Un autre officié de police un peut plus loin me fais signe de la main, je lâche Zach qui continue de me suivre et je m'approche de lui, il me souris franchement et me donne une chaise.

- Je suis l'officier Clark. J'aimerais que tu réponde a quelques question avant de pouvoir t'en aller. Dit-il en souriant.

Après une séries de 10 questions consternant toute les personnes a qui j'ai "adressée la parole" depuis que je suis arrivé dans ce monde et après avoir hésité si oui ou non je devais cité le chauffeur de taxi ou encore la caissière d'un magasin, il ordonna a un autre officier de me conduire jusqu'à la grotte.

***

Le lieu est toujours aussi sombre sinistre et j'ai l'impression qu'il l'est encore plus quand je sais que quelqu'un a tenté de me tuer. Je ne voie toujours pas l'échelle et j'ai de plus en plus peur, je me décide a piqué un sprint en espérant rallongé l'instant de panique qui duré encore mais ce dernier ne dura que 30 seconde jusqu'à ce que je me cogne violemment a quelque chose de très dur et qui fait mal, l'échelle. Heureusement que je suis seul parce-que je dois vraiment avoir l'air ridicule, je suis tombé comme une nul que je suis sur le sable. En même temps si je n'avais pas était seule je n'aurait pas eu peur et donc je n'aurait pas couru comme une folle. Je me relève et secoue énergiquement ma chemise pour enlever tous le sable qui s'est accroché dessus. Je monte l'échelle encore un peut sonné et arriver en haut je constate a la lumière du réverbère que ma main et taché avec ce qui semble être du sang, sa dois être plus grave que je le pensé.

Je parcours les 50 mètres qui sépare le chêne de la maison et monte rapidement a la salle de bain, je m'apprête a ouvrir la porte quand quelqu'un le fait a ma place de l'intérieur, c'est Samy évidemment. Il me regarde l'air ahuri, plus je le regarde, plus je constate qu'il a l'air crevé et encore plus sonné que moi.

- Il t'es arrivé quoi? Me questionna-t'il.

- Laisse tombé, c'est tout bête. Sur se, je baissa la tête et m'apprêta a m'engager dans la salle de bain mais il me retint par l'épaule et me fi faire volte-face.

- Non Sofia! Je crois pas que je vais juste "laissé tombé". Non pas seulement parce que je veux pas mais aussi parce que je ne peut pas! Je suis censé veillé sur toi merde et tu ne me rend pas la tâche facile, au contraire. Tu rentre a minuit d'une fête a laquelle tu ne t'es même pas rendu vue quelle n'avait même pas lieu! Oui, figure toi que j'ai appelé Dave quand t'a commencé a tarder.
Tu cesse de détruire les espoirs que j'ai toujours en toi. Tu a changé Sofia et pas en bien. S'écria-t'il avant de laisser échapper un sanglot qu'il s'efforça de cacher.

Les larmes qui entamèrent leur course le long de mes joues me fit comprendre quelque chose: Plus je me reconstruisé, plus il se détruisé. On est tous les deux fautif dans ça. Lui car j'ai bien l'impression qu'il ne fait aucun effort pour faire son deuil même après un ans, comme si il au fond, il préféré resté renfermé, comme si il n'avait pas d'autre choix que d'accepté toute sa souffrance au lieu de la combattre et de luter pour en faire une force qui puisse l'aider a avancé. C'est ce que j'avait fais. Je transformé chaque souvenir douloureux en un appuie qui m'a permis de me relever.