Je l'aime, il m'a découverte, je le déteste. [Fanfiction/Amour sucré]

Chapitre huit

J'enfile une de mes robes. Une bleu marine et noir. J'adore ces couleurs. Simple et sobre à la fois. J'ai aussi mis l'un de mes plus long gilet au niveau des manches. Il est noir suivit de mes escarpins de même couleurs. Je me suis aussi maquillée de façon simple, à vrai dire, comme tous les jours, mais j'ai juste lissée mes cheveux. J'attends le sms de Li qui me signalerai qu'elles seraient en bas de chez moi. J'espère pouvoir penser à autre chose ce soir. Mon téléphone vibre, et le prends.

«On est devant chez toi, on t'attends.»

Je prends mon sac de rechange au cas où que je dors chez une des filles et descend. Mes parents ne sont pas au courant et à vrai dire c'est bien le dernier de mes soucis. Je n'ai pas prévenu Nathaniel pour pas qu'il s'inquiète d'avantage pour moi, je ne le supporterai pas. Je descends lentement les escaliers espérant de pas faire trop de bruit. Le cœur battant je sors de chez moi et me dirige vers la voiture de Charlotte.

«Salut vous deux, je lance.
—Enfin, on a failli t'attendre !» dit Li.

Je lui souris et enfile mes écouteurs activant la musique. Je pose ma tête sur le carreau, et laisse mes yeux regardaient pleinement le paysage noir nuit. Mes pensées se perdant peu à peu, me déconnectant de la réalité. Le temps est plutôt mauvais ce soir. La pluie claque contre la vitre. Mais je trouve ça jolie. La pluie. Ça détend. Enfin c'est mon avis. Ça me fait dériver plus encore dans mes pensées. Enfin surtout vers lui. Castiel. Quand est-ce que j'arrêterai de penser à lui. Quand arrêterai-je de de souffrir. Qu'est-ce que le bonheur ? Mais l'ai-je seulement déjà connue ? Vécue ?
Oui, bien sûr que oui.

#Flash Back#

Au pied du grand arbre dans le parc. Castiel, un garçon âgé d'une dizaine d'années, était couché sur le sol vert nature. Les yeux fermaient mais le sourire aux lèvres, on pourrait croire qu'il est au pays des rêves.

«Castiel ! Castiel !» criait une jeune blonde frisée.

Le jeune homme ouvrit un œil pour apercevoir la petite fille courir vers lui, son sourire s'élargissait un peu plus encore. Mais revenant vite faible. Comme pour cacher son bonheur de voir la jeune fille.

«Castiel ! criait-elle encore plus fort.
—Quoi ? fit-il monotonement.
—Tu veux pas jouer avec moi ?
—Non j'ai pas envie.
—Steuplaiiiiiiit Cassy !
—Arrête de m'appeler comme ça, et fiche moi la paix Ambre !»