Chapitre 22 : Nouveau cap

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KATE

Nous étions là tous les trois sur le canapé, c'était l'idée que je me faisais des soirées familiales, un bon repas, un bon film, blottie dans les bras de mon amoureux et sa fille calée contre mon épaule. Je sentis Alexis pendre ma main dans la sienne et sans m'en rendre compte je la caressais doucement. Rick lui, avait passé sa main dans mes cheveux et me massait la nuque ce qui me fit un bien fou et me tira quelques frissons. Vers le milieu du film Alexis nous laissa pour aller se coucher, après nous avoir embrassés tendrement elle monta et je me retrouvais seule avec mon écrivain. J'entendis la jeune fille fermer sa porte, je me demandais si c'était vraiment la fatigue ou si elle voulait nous laisser seuls pour nos retrouvailles. Cette fille était vraiment un ange, Rick faisait vraiment un père idéal et je me verrais bien avoir des enfants avec lui plus tard mais je ne savais pas si lui en voulais d'autre. Pour le moment le temps était à la réconciliation, pour les enfants nous verrons plus tard. Je me tournais vers lui, il me fixait et dans son regard brillait une lueur que j'espérais voir très souvent.

- Pourquoi tu me fixe comme ça ?

- Parce que tu es belle, et que je suis heureux que nous formions enfin une famille, j'aimerais passer des soirées comme celle-ci le plus souvent possible.

- Merci Rick, c'est vrai que je me sens vraiment bien dans ta famille...

- Non Kate, notre famille, ce n'est pas officiel mais je te le dis, tu fais partie de cette famille.

Je me tendais vers lui et l'embrassais tendrement. Cet accueil de la part de tous m'avais fait du bien mais la confirmation de la part de mon homme fini de lever mes derniers doutes.

- Et maintenant, quelle est la suite de la soirée, veux-tu voir la fin du film ou.....

- Ne m'avais tu pas promis des trucs sympa pour nos retrouvailles ?

- Si et je n'attendais plus que ça ?

Je me mis à califourchon sur ses jambes ce qui fit remonter ma jupe jusqu'à mi-cuisse et pris son visage entre mes mains, nos lèvres s'effleuraient, s'apprivoisaient. Avec ma langue je dessinais le contour de ses lèvres si tentantes, Rick passa ses mains dans mon dos, nous rapprocha encore plus pour approfondir le baiser et nos mains se firent de plus en plus baladeuses. Je déboutonnais sa chemise avec empressement et la faisais voler dans la pièce, ses mains non plus n'étaient pas en reste et ma blouse se retrouva au sol aussi rapidement que la sienne. Sa bouche glissa le long de ma mâchoire, arrivée dans mon cou il aspira entre ses lèvres chaudes un bout de peau ce qui me fit émettre un gémissement. Ses mains s'aventurèrent le long de mes cuisses et ma jupe remonta sur ma taille. Commençant à sentir l'envie de mon homme durcir contre mon intimité, je me levais et lui tendais la main.

- Viens, je crois que nous serons mieux dans ton lit.

Il me saisit par la taille et c'est collés l'un à l'autre que nous rejoignîmes sa chambre. À peine le seuil franchit qu'il me plaqua contre la porte, la refermant par la même occasion ce qui me fit pousser un cri de surprise. Sa bouche plongea dans mon cou puis laissa une trainée de baisers humides jusqu'à la naissance de mes seins les embrassant par-dessus leur écrin de satin.

En un éclair ma jupe tomba au sol bientôt rejoint par mon soutien-gorge, voulant nous mettre exæquo, je défis sa ceinture et les boutons de son jeans qui glissa le long de ses jambes, il s'en débarrassa en deux coups de pieds. Je remontais ma jambe contre lui et rapprochais nos intimités, un frisson naquit dans le creux de mes reins suivi par une douce chaleur enivrante. Rick fit lentement glisser sa main brûlante de ma cheville à ma cuisse, laissant ses doigts caresser ma peau devenue sensible à son touché. Arrivé en haut de ma cuisse, ses doigts glissèrent sous mon shorty en dentelle pour un examen minutieux de ma féminité ce qui me fit soupirer de plaisir. Alors que ses caresses s'approfondirent sur mon bouton de nerf, les gémissements que je poussais étaient proportionnels au plaisir qu'il me donnait surtout que sa bouche trouva mon sein gauche et que sa langue s'appliqua à faire monter la température en titillant mes pointes durcies.

le coup de la panneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant