Imagine 20 : Minho

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Commande de : LovelyMarjo29

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Sous un soleil aux rayons aux rayons beaucoup trop perçants, à même le sable, buvant les dernières gouttes d'eau. Le jeune homme, asiatique, qui semblait être le chef du groupe, se leva, vite suivit par le reste de la tribut. Les quelques adolescents repartaient marcher, sans vraiment savoir où.

- Il fait bientôt nuit Minho, on pourrait s'arrête dormir non ?
- Pour la millième fois Marjo', on vient juste de s'arrêter, il fallait en profiter.
- Mais on en à tous marre de marcher, et c'est pas avec ta pause de quinze secondes que sa ira mieux ! Tu peux arrêter de penser qu'à toi ! S'emballe la jeune fille.
- Si on ne s'arrête pas, c'est pour éviter de finir griller avec se soleil !
- Oui bien sûr, et puis quand tu en auras assez de marcher on s'arrêtera c'est sa ?!

L'asiatique souffla fortement, agacé. Mais la prenommé Marjo' n'était pas du tout décidé à le laisser tranquille. Si ils n'arretaient pas de marcher très prochainement, ses forces la lâcherais surement.

- Tu dis plus rien ? C'est qu'on va pouvoir dormir ?

Minho expira profondement, sentant la colère monter en lui. Il aurait tellement voulu, lui aussi, s'arrêter, une bonne nuit de sommeil est en se moment son plus grand rêve. Mais il avait peur de se que pouvait prévoir un désert surchauffé au moindre ronflement, et n'osait l'imaginer.
Soudain, la jeune fille fut tirée en arrière surprenant le jeune homme. À peine se retourna-t-il qu'il apperçut Newt, le "meilleur ami" de la dénommé Marjorie. C'est ce que disait les deux supposé amis, et se qu'espèrait plus que tout Minho. L'asiatique était très protecteur malgré ses remarques ou ses gestes démontrant le contraire, il détestait par dessus tout que l'on touche à se qu'il aime, et cette jeune fille faisait partie de ces personnes, si cher aux yeux du garçon. Alors, à chaque fois que Newt prenait son "amie" dans ses bras, lui tenait la main ou pire, dormait avec elle, imaginez bien ses nerfs en fusions. S'empêchant donc de faire un meurtre, l'asiatique doubla l'allure de ses pas. Finalement, quand le soleil fut couché depuis bientôt trois heures, le chef autorisa sa troupe à dormir. Minho et Marjorie, comme bon rancunier qu'ils sont, ne se sont toujours pas adressé la parole. Minhi avait insisté pour surveillé les alentours lors du repos des autres, sous les plaintes des anciens blocards. Ceux qui conaissait l'asiatique depuis maintenant quelques années savent très bien que quelque chose le perturbe, qu'il n'arrivera pas à trouver sommeil, et prend la surveillance comme alibi.
Alors que le désert était plongé dans un silence à faire peur, en plus de sa sombretée, Minho apperçut au loin de petite lumière, ainsi que des bruits à peine auditible. Cela l'importait peu, enfin jusqu'à se que ses lumières se rapproche de plus en plus vite. Minho fit rapidement la conclusion d'un violent orage, et réveilla rapidement ses amis, en panique. Sous les indiquations, ou plutôt cris, du chef, les anciens blocards partèrent le plus vite possible vers la bâtiment qu'ils apperçevaient au loin. L'asiatique fermait la marche, la jeune fille à qui il n'avait toujours pas adressé la parole juste devant. Alors que le bâtiment se trouvait à quelques mètres de là, Minho sentit quelque chose s'abattre sur son dos, faisait remonter la douleur le long de sa colonne vertebrale. Le garçon, qui n'avait pas encore prit consiance qu'il se faisait attaquer par la foudre, se fit en partie brûler vif, ainsi que son T-shirt. Dans un cris perçant, qui était à peine un murmure dans se vacarme, Minho tomba sur le sable qui volant, sans pourtant se faire entendre. Enfin, c'est ce qu'il eut cru. Marjorie, qui se trouvait à deux pas du garçon, entendit un cris, et, sans attendre, se retourna. Elle vit son ami, son asiatique, inerte au sol, son haut ainsi que sa peau carbonisé. La jeune fille paniqua en voyant au loin les éclaires s'approcher, et prit sans plus réfléchire Minho sur son dos. L'asiatique ne pesait pas dix kilos, il était connu pour son amour envers la nourriture, se n'était donc pas la plus faciles des tâches pour l'ancienne blocarde. Mais elle persistait, pour rien au monde elle ne le laisserait tomber. Le tonnere se rapprochait à vive allure, mais il restait à peine quelques mètres à Marjorie pour enfin arriver à l'abris. Pour sa plus grande joie, Thomas, qui était devant elle venait de se retourner, voyant le chef sur le dos de la jeune fille. Il s'était précipité à leur rencontre, prenant à son tour Minhi sur son dos, laissant Marjo' aller se réfugier plus rapidement dans le bâtiment abandoné. Elle s'en voualit terriblement. Si le chef ne s'en sortait pas, qu'allait-elle faire ?

Thomas déposa doucement l'asiatique au sol alors qu'un cercle se formait autour d'eux. Marjorie fut prise d'un petit cris d'effrois en voyant son ami tel : des brûlures lui hornait le torse, son T-shirt avait totalement flambé, il était couvert de sang séché ou de sable trop collant, et sa respiration se faisait de plus en plus rare. Thomas et Newt semblait chercher le plus rapidement possible une solution. De son coté, la jeune fille voulait leurs benir en aide, mais son corp refusait catégoriquement tout mouvement. Finalement, Marjo' s'assit lentement aux cotée de l'inconsiant, lui attrapant doucement la main. Tous les anciens blocards avaient compris et s'était reculés du jeune brûlé, laissant seulement la jeune fille à ses coté pour lui parler.

- Minho, réveilles-toi, s'il te plais, tu peux pas mourir à cause d'un orage ! Je suis désolée pour tout à l'heure, mais tu as l'habitude, non ? Aller Min' tu vas pas nous laisser, on a peur sans toi ! Ces tocards ne le diront peut être jamais mais on est totalement perdus sans notre chef.. Je m'en veux, j'aurais du venir m'exuser !

Une larme solitaire dévala la joue de la jolie fille qui tentait de masquer un sanglot. Mais, surprenant la jeune femme, Minho secoua doucement sa tête, ramenant sans bras à celle-ci avec ses dernières forces. Petit à petit, il entre-ouvrit les yeux, ayant juste le temps de voir une ombre plonger sur lui. Elle l'étreignait fortement, comme ayant peur qu'il reparte. Puis Marjorie, car c'était elle, se décala rapidement, consiante que ses brûlures devant lui faire très mal. Les deux adolescents se jugèrent longuement du regard, une étincèles de douceur caché derrière leurs rancœur. Et comme si se geste était évident, les deux amis se rapprochèrent, ne laissant plus que quelques millimètre entre eux. Ce fut Marjo' qui voupa nette cette distance, surprenant  le bel asiatique. Enfin, son bel asiatique. L'ancien inconsient fut bizzarement prise d'une grande joie, et était prêt à repartir marcher pendant des heures..

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Voilàà j'espère qu'il te plais. J'ai adorée l'écrire, c'est pas siuvent que je fais des points de vus de se genre, dites moi si vous préférez sa ou pas.
Sinon j'ai poster un peu tard, désoler, mais c'est quand j'ai voulue postée que je me suis rendue compte que j'avais pas tout recopiée (douééé) et qu'il me manquait une fin digne de se nom.
Enfin, merci d'avoir lu,
Tchoa p'tits coureurs !

Imagine/Préférence The Maze RunnerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant