NDA: dsl j'avais déjà publié ce chapitre mais suite à quelques bugs (voir bcq merci wattpad😤😩) j'ai du supprimer le segment et le publier de nouveau.
Voili voilou sur ce, bonne lecture pour ceux qui n'aurait ps encore lu ce chapitre , et encore dsl pour ceux qui l'on déjà lu😓😓😓
------------------------------------------------------------NOOOOOON!
D'un geste brusque Allan se dégagea de l'emprise de l'exécuteur , et dans un élan de désespoir, il tenta de courir jusqu'aux escaliers. Son instinct de survie s'était éveillé d'un coup sec. À présent la seule chose qui comptait, c'était de fuir. Par n'importe quel moyen. À n'importe quel prix. Il se fichait de la douleur.
Mais ses jambes mutilées ne suivaient pas la cadance. Il tomba, se releva expressément et monta les escaliers quatre à quatre,puis défonça la porte et se rattrapa avec ses mains sur le sol. Alors qu'il essayait de se relever, quelque chose lui empoigna la cheville...
Lance l'attira en arrière avec une force incroyable. Allan étouffa un cri avant de dévaler les marches et de retomber sur le dos. Pendant quelques secondes il perdit connaissance, ses oreilles bourdonnèrent et sa vision se troubla.
L'autre psychopathe en profita pour le traîner au sol et l'amener près de la table. Il s'assit à califourchon sur lui, et lui donna une claque pour qu'il revienne à lui.-Allez Allan, je suis pas d'humeur a jouer à ça avec toi...
Celui-ci tourna la tête ,plissa les yeux, un peu confus , et réalisa subitement se qu'il venait de se passer.
Il regarda avec horreur Lance installé sur lui. Celui-ci le considérait avec intérêt.-Tu me fais perdre du temps et de l'énergie...je ne vois pas pourquoi je devrait te garder plus longtemps ici finalement, annonça alors l'homme avec dédain.
Allan savait ce que cela voulait dire. Il aurait aimé avoir une réaction classe comme dans ces films à la con où le héro sur le point de mourir sort une phrase tellement cool...mais on était pas dans un film. Et c'était pas un héro. Lui, il était pitoyable.
À bout de nerf, il pleura toutes les larmes de son corps , tapa du poing le sol , et fut pris de spams plus ou moins violent à certains moment.
Lance resta là à l'observer. Puis il prit la cuillère qu'il avait remis sur la table . Allan sanglota de plus belle.-Je t'aimais, articula difficilement celui-ci. J'aimais tes...tes cheveux , ton sourire ,ton regard... La façon dont tu fronçait les sourcils , ton piercing a l'arcade, ton odeur mêlée à celle de la mer...j'aimais tout en toi...et je pensais que c'était réciproque, que j'aurais pu repartir de zéro...
Lance le coupa en l'embrassant. Il était fougueux mais tentait de se retenir pour ne pas faire davantage de mal à Allan.
-C'est ça que je voulais entendre,chuchota celui-ci en passant sa main dans les cheveux du brun.
"...sauf que t'as tout gâché"
Il l'avait aimé si fort...
Au début , Allan pensait que ce Lance "normal" se cachait quelque part dans ce monstre cruel, et qu'il referait surface a un moment ou l'autre, mais avec le temps il avait comprit que ce n'était plus possible.Lance balança le couvert à l'autre bout de la pièce. Il caressa le visage de sa victime et lui déposa un baiser sur le front.
-On oublie tout ça , tu veux bien?
Allan fit mine d'approuver et suivi l'autre garçon du regard qui se posta devant le cadavre du trentenaire.
-C'est pas tout ça mais j'ai du pain sur la planche avec ce gros lard.
Tronçonneuse en main, il démarra l'engin et coupa un bras.
La victime ouvrit les yeux et poussa des bruit qui s'apparentaient à des cris de douleurs.
Il était encore vivant?!
Allan hésitait entre vomir ses tripes et tomber dans les pommes.-Oh merde mais c'est qu'il m'a fait peur ce con!, s'écria Lance avec un mouvement de recul.
Une expression de dégoût transparu d'abord sur son visage, puis, il esquissa un sourire sadique.
-Je sens que ça va être plus drôle que je ne l'aurais imaginé...
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Allan
عاطفيةIl lui avait tout pris...son innocence...sa liberté...sa virginité. C'était le plus sombre des connards, un pervers dégénéré, et pourtant Allan l'aimait comme un fou , d'une avidité sordide. Inconsciemment ils se complètaient comme deux pièces d'un...