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-Oui ! Impressionant n'est-ce pas ? C'était une veille voiture appartenant à mon père que je conduisais cette nuit là, un 4x4, comme tu le sais, pourquoi ne m'a ton pas retrouver ? Tout simplement parce que mon père avait l'intention de faire brûler la voiture et qu'elle n'avait déjà plus de plaque d'immatriculation. Et oui, c'était moi, l'automobiliste qui ne s'est même pas arrêter !

Je le regardais, sans pouvoir réellement enregistrer tout ce qu'il me disait.

-Louis... tu... tu n'es pas sérieux... mais pourquoi t'es tu proposer pour ma rééducation alors ?

-Tout simplement par culnabilité bien sûr ! Je me demandais si tu étais toujours vivante, alors mon père m'a encouragé à prendre ce job qu'il m'a si facilement trouvé, c'est le directeur de cet hôpital vois-tu !

-Tu... tu as fais tout ça juste pour t'assurer qu'aucune culbapilité... ne te resterais sur la conscience ?

-Exactement, maintenant que je sais que je pourrais dormir tranquille sans ma conscience poir venir me hanter je vais te laisser. Mon père n'aura aucun mal à trouver un remplaçant.

Et il me planta là, abasourdie, démunie, anéantie. Mon cerveau bouillonais à toute vitesse, ma tête me brulait, mes yeux aussi, ls larmes coulèrent d'elles mêmes et je m'éffondra, me laissa tomber au sol.
Comment pouvais-t-on être comme ça ? Comment fesait-il pour me raconter tout cela sans difficulté, sans émotions, sans sentiments ? N'avait-il donc pas de cœur ? Oui, c'étais cela, il n'avait pas de cœur. Mais comment ne pouvait-on pas avoir de cœur et être si touché à la fois ? Comment cela se fesait-il qu'il était si touché à chaque fois que je passais une étape importante de ma guérison ?
Soudain tout me paru clair. Je saisie mes béquilles et m'élança dans me couloir en clopinant.

Louis avait bel et bien un cœur, cœur qui lui fesait sûrement mal à présent. Il m'amait mais ne pouvais s'empécher de s'en vouloir. Il s'en voulais terriblement de m'avoir renversé et cela le hanter. Alors il m'avait dit tout ces mensonges pour que je m'éloigne.

J'atteins le parking de l'hopital et pria pour qu'il soir encore là. Il était là, dans sa voiture, la portière encore ouverte, la tête poser contre le volant, anéanti comme je l'étais il y a quelque instant. J'ouvris la portière du passager et abandonna mes béquilles sur le parking pour m'assoir sur le siège. Il ne releva pas la tête.

-Je sais que tu as un cœur et que tu tent veux énormément de m'avoir renverser, mais tu ne fais rien de bon à par nous brisé le cœur à tout les deux.

Il leva ses grands yeux sombre et attristés vers moi. Dieu qu'il était beau !

-Je suis désolé, je suis un idiot.

-Je te pardonne mon grand idiot !

Il sourit faiblement, me caressa les cheveux et la nuque en me regardant intensément et m'embrassa. Ceci était le début d'une belle histoire. ♡

L'accident (fini)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant