Ayano Aishi était une simple lycéenne qui prétendait être "normale". Elle ne ressentait aucun sentiment jusqu'à ce jour où elle fit la rencontre de Senpai... Mais une fille vint lui faire obstacle, et en quelques secondes, son Senpai s'évaporait de...
On est mardi matin, il est exactement 6h55, et je suis accompagnée de ma grande sœur pour aller au lycée ?
- Euh... Dis-moi pourquoi t'es là ?
- Ah mais je ne te l'ai pas dis, moi aussi je veux tuer des gens !
- Ah...
- C'est pas la vraie vie, tu peux tuer autant de personne que possible !
Elle m'a l'air étonnamment posé. Elle n'est pas stressée à l'idée de tuer des gens ? Elle m'étonnera toujours.
- Ah mais tu m'as toujours pas dit pourquoi tu me suis en fait.
- Quelle question ! Pour tuer des gens en ta compagnie dans ton lycée !
- Quoi ?
Elle ne prit pas le temps de répondre à ma question qu'elle couru comme une fillette de 5 ans. Je souris en la voyant s'amuser pour un rien. Et c'est vraiment pour rien qu'elle s'amuse là !
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Tel est le message envoyé par Info-chan. Plus je le lisais et plus mes sourcils fronçaient. Je détestais les Sœurs Basu, mais comment le sait-elle ? J'ai soudain sentis un gros poids lourd sur mon dos. Je rangeais furtivement mon téléphone, voyant que la personne ayant les 65 kg était Osana.
- O-Osana !
- Aya-chan~ !
Une idée me vint en tête.
- O-Osana... N-Ne t'approche pas !
- Quoi ?
- J-Je... J'ai un rhume ! Et je n'ai pas envie que tu l'attrapes !
- Ah... En plus, je tombe malade facilement. Désolé...
- Non non... Ne t'inquiète pas...
Elle repartit la mine triste. Ça le fait vraiment de la peine mais je ne lui ai pas dis que, auparavant, j'étais une Yandere. Je ne peux pas risquer de tout lui dire. J'ai, malgré moi, commencer ma mission. Je suis directement allée à l'infirmerie pour prendre le poison.
- C'est quoi ça ?!
Il y avait une femme. Une femme en blouse. Une infirmière ?! Avant, l'infirmière n'était jamais là. Elle avait de court cheveux bruns et toujours cette poitrine imposante. Je soupirai bruyamment, ne sachant pas quoi faire. J'ai comme même essayer de prendre la clé accrochée à sa blouse. N'étant pas assez rapide, elle se retourna brusquement me regarda de haut.
- Je... ne sais pas ce que tu essayes de faire... Mais si c'est une blague... Ce n'est pas très drôle...
Pensait-elle que j'essayai de lui toucher son postérieur ?! J'en ai déjà un, ça sert à rien. J'ai fait mine de sortir, mais en fait je guettais le bon moment. Il fallait qu'elle s'arrête et qu'a ce moment-là, je devais lui piquer ses clés pour pouvoir ouvrir le placard où se trouve le poison. Parfait.
